res ») A M. P. Du joli bateau de Port-Vendres Tes yeux étaient les
matelots
Et comme les flots étaient tendres Dans les parag
le jour tournaient Et vomissaient la nuit le soleil des journées. O
matelots
, ô femmes sombres, et vous, mes compagnons
uvenez-vous-en. Deux matelots qui ne s’étaient jamais quittés, Deux
matelots
qui ne s’étaient jamais parlé, Le plus jeune en m
dans le feu ? C’était, tu t’en souviens, à la fin de l’été. Deux
matelots
qui ne s’étaient jamais quittés : L’aîné portait
fente évoquait la grenade qu’égrène Aux échos des récifs le chœur des
matelots
Belles chairs de cristal, les joyaux les squele
récif ni d’un chant de sirène Qui s’incantent peut-être au chœur des
matelots
. Horreur ! Horreur de nous des joyaux, des sque
ise J’ai vu feuilloler nos forêts. Mer, le soleil se gargarise Où les
matelots
désiraient Que vergues et mâts reverdissent. *
ise J’ai vu feuilloler nos forêts. Mer, le soleil se gargarise Où les
matelots
désiraient Que vergues et mâts reverdissent. Je
éloigner en chantant. * * * [« Au tournant d’une rue, je vis des
matelots
»] Au tournant d’une rue, je vis des matelots
une rue, je vis des matelots »] Au tournant d’une rue, je vis des
matelots
Qui dansaient, le cou nu, au son d’un accordéon.
e Veut être ô mer vivante infidèle comme toi La mer qui a trahi des
matelots
sans nombre Engloutit mes grands cris comme des d