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1 (1914) Etoile « Etoile »
appellaient papa Au fond du golfe calme en face des sept îles Gaspard marche et regrette et le riz et le thè           La voie
iz et le thè           La voie lactée La nuit car naturellement il ne marche Que la nuit attire souvent ses regards           
2 (1902) Élégie du voyageur aux pieds blessés « Élégie du voyageur aux pieds blessés »
ert bâton que tu coupas Un dieu meurt — tu ne le sais pas ! —  Ah ! marche l’homme sans déesses Ni tutélaires ni traîtresses
e voyant feignent de rire Et troublent l’eau quand tu t’y mires. Tu marches saluant les croix, Du bord des routes qui poudroi
3 (1913) Montparnasse (incipit : « O porte de l’hôtel avec deux plantes vertes ») « Montparnasse (incipit : « O porte de l’hôtel avec deux plantes vertes ») »
nnaissez de son pavé Ces raies sur lesquelles il ne faut pas que l’on marche                    Et vous rêvez D’aller passer v
4 (1917) Le Voyage du Kabyle « Le Voyage du Kabyle »
iron [à droite, verticalement de gauche à droite] il n’écoute pas il marche vite         et chacun danse à sa manière lorsq
5 (1911) Dans le palais de Rosemonde « Dans le palais de Rosemonde »
ui donc attendez-vous Mes plus belles voisines De rêveuses pensées en marche à l’Orient Toc toc Entrez dans l’antichambre Le
6 (1912) Zône « Zône »
-his de la Chine Fraternisent avec la volante machine Maintenant tu marches dans Paris tout seul parmi la foule Des troupeaux
mbre musée Et quelquefois tu vas le regarder de près Aujourd’hui tu marches dans Paris les femmes sont ensanglantées C’était
ool brûlant comme ta vie Ta vie que tu bois comme une eau-de-vie Tu marches vers Auteuil tu veux aller chez toi à pied Dormir
7 (1913) Zône « Zône »
-his de la Chine Fraternisent avec la volante machine Maintenant tu marches dans Paris tout seul parmi la foule Des troupeaux
mbre musée Et quelquefois tu vas le regarder de près Aujourd’hui tu marches dans Paris les femmes sont ensanglantées C’étai
ool brûlant comme ta vie Ta vie que tu bois comme une eau-de-vie Tu marches vers Auteuil tu veux aller chez toi à pied Dormir
8 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
aints aémères, Aucun n’a consacré mes doux pains sans levain. Et je marche , je fuis, ô nuit, Lilith ulule Et clame vainement
urt l’espoir vert Quand meurt le jour avec un râle inattendu. Et je marche , je fuis. O jour, l’émoi de l’aube Ferma le regar
9 (1917) Le palais du tonnerre « Le palais du tonnerre »
palais souterrain creusé dans la craie si blanche et si neuve Et deux marches neuves                           Elles n’ont pas
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