appellaient papa Au fond du golfe calme en face des sept îles Gaspard
marche
et regrette et le riz et le thè La voie
iz et le thè La voie lactée La nuit car naturellement il ne
marche
Que la nuit attire souvent ses regards
ert bâton que tu coupas Un dieu meurt — tu ne le sais pas ! — Ah !
marche
l’homme sans déesses Ni tutélaires ni traîtresses
e voyant feignent de rire Et troublent l’eau quand tu t’y mires. Tu
marches
saluant les croix, Du bord des routes qui poudroi
nnaissez de son pavé Ces raies sur lesquelles il ne faut pas que l’on
marche
Et vous rêvez D’aller passer v
iron [à droite, verticalement de gauche à droite] il n’écoute pas il
marche
vite et chacun danse à sa manière lorsq
ui donc attendez-vous Mes plus belles voisines De rêveuses pensées en
marche
à l’Orient Toc toc Entrez dans l’antichambre Le
-his de la Chine Fraternisent avec la volante machine Maintenant tu
marches
dans Paris tout seul parmi la foule Des troupeaux
mbre musée Et quelquefois tu vas le regarder de près Aujourd’hui tu
marches
dans Paris les femmes sont ensanglantées C’était
ool brûlant comme ta vie Ta vie que tu bois comme une eau-de-vie Tu
marches
vers Auteuil tu veux aller chez toi à pied Dormir
-his de la Chine Fraternisent avec la volante machine Maintenant tu
marches
dans Paris tout seul parmi la foule Des troupeaux
mbre musée Et quelquefois tu vas le regarder de près Aujourd’hui tu
marches
dans Paris les femmes sont ensanglantées C’étai
ool brûlant comme ta vie Ta vie que tu bois comme une eau-de-vie Tu
marches
vers Auteuil tu veux aller chez toi à pied Dormir
aints aémères, Aucun n’a consacré mes doux pains sans levain. Et je
marche
, je fuis, ô nuit, Lilith ulule Et clame vainement
urt l’espoir vert Quand meurt le jour avec un râle inattendu. Et je
marche
, je fuis. O jour, l’émoi de l’aube Ferma le regar
palais souterrain creusé dans la craie si blanche et si neuve Et deux
marches
neuves Elles n’ont pas
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