r] un cœur plein de tous les printemps [hors motifs] le bonheur et le
malheur
marchent de compagnie/ Ecoutez-moi bien il y va d
pas le pire Ce trou presque mortel et qui s’est étoilé Mais le secret
malheur
qui nourrit mon délire Est bien plus grand qu’auc
éprises ma peine et la tienne peut-être ; Ta douleur de toujours, mon
malheur
de jamais. Nous pleurâmes ; c’était quand nous ve
fuient, ô bûcher divin qu’ornent Des astres, des fleurs du matin !
Malheur
, dieu pâle aux yeux d’ivoire, Tes prêtres fous t’
nt-ils paré ? Tes victimes en robe noire Ont-elles vainement pleuré ?
Malheur
, dieu qu’il ne faut pas croire ! Et toi, qui me
ires douleurs, Sont dans mon cœur et la folie Veut raisonner pour mon
malheur
, Comment voulez-vous que j’oublie ?
n la date que vous déchiffrez Anna sur ce banc de pierre Et que par
malheur
j’eusse été allemand Mais que par bonheur j’eusse
s, béguinages, Beffrois et carillons, négoces opulents. Qu’importe le
Malheur
! Sur les canaux dolents Comme des cygnes vont le
troquas ta tunique Contre le dolman bleu des braves douaniers. Le
malheur
s’acharna sur ta progéniture 1 , Tu perdis tes e
et de charognes vertes, Quand les vents apportaient des joies et des
malheurs
. Laissant sa mule, à petits pas, s’en vint l’am
lle Non parce que j’imagine qu’il y aura jamais plus de bonheur ou de
malheur
en ce monde Mais parce que comme toi j’aime à pen
éteindra, ô morts, à quarantaine. Je mire de ma mort la gloire et le
malheur
. Comme si je visais l’oiseau de la quintaine. *