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1 (1917) L'Horloge de demain « L’Horloge de demain »
r] un cœur plein de tous les printemps [hors motifs] le bonheur et le malheur marchent de compagnie/ Ecoutez-moi bien il y va d
2 (1916) Tristesse d'une étoile « Tristesse d’une étoile »
pas le pire Ce trou presque mortel et qui s’est étoilé Mais le secret malheur qui nourrit mon délire Est bien plus grand qu’auc
3 (1905) Le Mendiant « Le Mendiant »
éprises ma peine et la tienne peut-être ; Ta douleur de toujours, mon malheur de jamais. Nous pleurâmes ; c’était quand nous ve
4 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
fuient, ô bûcher divin qu’ornent Des astres, des fleurs du matin ! Malheur , dieu pâle aux yeux d’ivoire, Tes prêtres fous t’
nt-ils paré ? Tes victimes en robe noire Ont-elles vainement pleuré ? Malheur , dieu qu’il ne faut pas croire ! Et toi, qui me
ires douleurs, Sont dans mon cœur et la folie Veut raisonner pour mon malheur , Comment voulez-vous que j’oublie ?
5 (1913) Dans le jardin d’Anna « Dans le jardin d’Anna »
n la date que vous déchiffrez Anna sur ce banc de pierre Et que par malheur j’eusse été allemand Mais que par bonheur j’eusse
6 (1918) Souvenir des Flandres « Souvenir des Flandres »
s, béguinages, Beffrois et carillons, négoces opulents. Qu’importe le Malheur  ! Sur les canaux dolents Comme des cygnes vont le
7 (1914) Poème sans titre (incipit : « Tu te souviens, Rousseau, du paysage astèque ») « Poème sans titre (incipit : « Tu te souviens, Rousseau, du paysage astèque ») »
troquas ta tunique Contre le dolman bleu des braves douaniers. Le malheur s’acharna sur ta progéniture 1 , Tu perdis tes e
8 (1912) Merlin et la vieille femme « Merlin et la vieille femme »
et de charognes vertes, Quand les vents apportaient des joies et des malheurs . Laissant sa mule, à petits pas, s’en vint l’am
9 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
lle Non parce que j’imagine qu’il y aura jamais plus de bonheur ou de malheur en ce monde Mais parce que comme toi j’aime à pen
10 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
éteindra, ô morts, à quarantaine. Je mire de ma mort la gloire et le malheur . Comme si je visais l’oiseau de la quintaine. *
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