n que l’on se damne, Mais l’espoir d’aimer en chemin Nous fait penser
main
dans la main A ce qu’a prédit la tzigane. Honnef
damne, Mais l’espoir d’aimer en chemin Nous fait penser main dans la
main
A ce qu’a prédit la tzigane. Honnef, 1902.
que l’on se damne, Mais l’espoir d’aimer en chemin Nous fait penser,
main
dans la main, A ce qu’a prédit la Tsigane.
damne, Mais l’espoir d’aimer en chemin Nous fait penser, main dans la
main
, A ce qu’a prédit la Tsigane.
sanglots s’étaient brisés Après la neige aux purs pétales Comme ses
mains
sur tes baisers Tombaient les feuilles automnales
sier II Je flambe dans le brasier à l’ardeur adorable, Et les
mains
des croyants m’y rejettent multiple, innombrablem
grands vaisseaux passent et repassent. Je trempe une fois encore mes
mains
dans l’Océan. Voici le paquebot et ma vie renou
sonne l’heure, Les jours s’en vont, je demeure. Les
mains
dans les mains, restons face à face Tandis que so
Les jours s’en vont, je demeure. Les mains dans les
mains
, restons face à face Tandis que sous le pont de n
son des rêveurs Qui s’étaient arraché le cœur Et le portaient dans la
main
droite Souviens-t’en cher
il au cœur de tous les hommes Voici voici nos
mains
que la vie fit esclaves Est mort d’amour ou c’est
lez-vous en Regards impénitents Et l’Europe l’Europe Regards sacrés
Mains
énamourées Et les amants s’aimèrent Tant que prêc
ille trompée un prince arrive Dix fois de toi fera le tour Toutes tes
mains
à la dérive Maigre comme un cou de vautour Mais
es étranges dans les boîtes et les yeux voyons mon cher enfant en vos
mains
on ne pourra redire.
L’Émigrant de Landor Road Le chapeau à la
main
, il entra, du pied droit Chez un tailleur très ch
it en mêlant Des ombres sans amour qui se traînaient par terre Et des
mains
, vers le ciel plein de lacs de lumière, S’envolai
ant. Puis, dans un port d’automne aux feuilles indécises, Quand les
mains
de la foule y feuillolaient aussi, Sur le pont du
longs baisers mouillés. Des émigrants tendaient, vers le port, leurs
mains
lasses Et d’autres, en pleurant, s’étaient agenou
L’Émigrant de Landor Road Le chapeau à la
main
, il entra, du pied droit Chez un tailleur très ch
it en mêlant Des ombres sans amour qui se traînaient par terre Et des
mains
, vers le ciel plein de lacs de lumière, S’envolai
ant. Puis, dans un port d’automne aux feuilles indécises, Quand les
mains
de la foule y feuillolaient aussi, Sur le pont du
longs baisers mouillés. Des émigrants tendaient, vers le port, leurs
mains
lasses Et d’autres, en pleurant, s’étaient agenou
puissants. les ricombres, Quand en signe de peur ils dresseront leurs
mains
, Calmes devant le feu, les maisons qui s’effondre
sons et la mort des amants. Or, nous aurons bien soin de garder nos
mains
pures Et nous admirerons, la nuit, comme Néron, L
s purs car les lacs et les mers, Suffiront bien à effacer le sang des
mains
. Guillaume Apollinaire.
n revenir. Oh ! je ne veux pas que tu sortes L’automne est plein de
mains
coupées Non, non, ce sont des feuilles mortes Ce
in de mains coupées Non, non, ce sont des feuilles mortes Ce sont les
mains
des chères mortes Ce sont tes mains coupées. No
t des feuilles mortes Ce sont les mains des chères mortes Ce sont tes
mains
coupées. Nous avons tant pleuré aujourd’hui Ave
rni Regardons l’abeille Et ne songeons pas à l’avenir Regardons nos
mains
Qui sont la neige La rose et l’abeille Ainsi que
uton de rose doux comme un papillon comme une fleur mourant entre les
mains
d’un soldat blessé un jet d’eau la queue d’un pao
ac tac monotone et bref plein de dégoût Je désire te serrer dans ma
main
Main de Massiges Si décharnée sur la carte Le b
c monotone et bref plein de dégoût Je désire te serrer dans ma main
Main
de Massiges Si décharnée sur la carte Le boyau
au vent ses douleurs. Mon Automne éternel, ô ma Saison mentale, Les
mains
des Amantes d’antan jonchent ton sol ; Une Épouse
vent ses douleurs. Mon Automne éternelle, ô ma saison mentale, Les
mains
des amantes d’antan jonchent ton sol, Une épouse
ts, m’arrêtant aux jasmins, Me grisant du parfum des lys, tendant les
mains
Vers les iris fées gardés par les grenouilles. Et
J’ai peur du dard de feu de cette abeille, Arcture, Qui posa dans mes
mains
des rayons décevants Et prit son miel lunaire à l
sommes que deux ou trois hommes libres de tous liens Donnons-nous la
main
Violente pluie qui peigne les fumées Cordes Cor
ieu, son Ciel Guerre paisible ascèse solitude métaphysique Enfant aux
mains
coupées parmi les roses oriflammes
ieu, son Ciel Guerre paisible ascèse solitude métaphysique Enfant aux
mains
coupées parmi les roses oriflammes
asse la douleur de mourir [heures] Mon cœur les yeux l’enfant Agla la
main
Tircis semaine l’infini redressé par un fous de p
ur le pont léger portent dans leurs
mains
le bouquet de d
J’ai jeté dans le noble feu Que je transporte et que j’adore De vives
mains
et même feu Ce passé, ces têtes de morts. Flamme,
agiles. II Je flambe dans le pyrée à l’ardeur adorable Et les
mains
des croyants m’y rejettent multiple, innombrablem
e grands vaisseaux passent et repassent Je trempe une fois encore mes
mains
dans l’Océan Voici le paquebot et ma vie renouv
J’ai jeté dans le noble feu Que je transporte et que j’adore De vives
mains
et même feu Ce passé, ces têtes de morts. Flamme,
iles. II Je flambe dans le brasier à l’ardeur adorable Et les
mains
des croyants m’y rejettent multiple, innombrablem
grands vaisseaux passent et repassent, Je trempe une fois encore mes
mains
dans l’Océan, Voici le paquebot et ma vie renouv
’emporte Et qu’il le dépose à sa porte N’est plus qu’un jouet dans sa
main
Les loups jadis étaient fidèles Comme sont les
Sonnet Tes
mains
introduiront mon beau membre asinin Dans le sacré
Sonnet Tes
mains
introduiront mon beau membre asinin Dans le sacré
e l’amour — ce pendu jaune et vert — Je voulais que brûlât l’horrible
main
de gloire. Le pendu, le beau masque et cet homm
Sais-je où s’en iront tes cheveux Et tes
mains
feuilles de l’automne Que jonc
on nombril Et soudain le printemps d’amour et d’héroïsme Amena par la
main
un jeune jour d’avril. Les voies qui viennent d
s, le vent défripait ses atours. Puis les pâles amants joignant leurs
mains
démentes L’entrelaces de leurs doigts fut leur se
le morte en mimant la douleur. » ………………………………………………………………. Et leurs
mains
s’élevaient comme un vol de colombes, Clarté sur
Ce rire se répand Partout Parlez avec les
mains
faites claquer vos doigts Tapez-vous sur la joue
e et c’est un dieu qui tremble Avance et soutiens-moi je regrette les
mains
De ceux qui les tendaient et m’adoraient ensemble
êtu que non l’hydre de Lerne La rue où nagent mes deux
mains
Aux doigts subtils fouillant la vi
d’amont en aval nos pensées ô rivières Les oreilles des écoles et nos
mains
rapprochées Aux doigts allongés nos mains les clo
oreilles des écoles et nos mains rapprochées Aux doigts allongés nos
mains
les clochers Et nous t’apportons aussi cette soup
ert engrossent les nuées Comme fit autrefois l’Ixion mécanique Et nos
mains
innombrables Usines manufactures fabriques mains
ion mécanique Et nos mains innombrables Usines manufactures fabriques
mains
Oui mains où les ouvriers nus semblables à nos do
que Et nos mains innombrables Usines manufactures fabriques mains Oui
mains
où les ouvriers nus semblables à nos doigts Fabri
ans savoir que tu es la réalité chantent ta gloire Mais nous liquides
mains
jointes pour la prière Nous menons vers le sel le
Sais-je où s’en iront tes cheveux Et tes
mains
, feuilles de l’automne Que jonchent
s sombre et terne, Une brume qui vient d’obscurcir les lanternes, Une
main
qui tout à coup, se pose devant les yeux, Une voû
es armateurs, la plume de mes confrères, La monnaie des aveugles, les
mains
des muets, Ou bien encore, à cause du vocabulaire
enait mille peuplades blanches Dont chaque homme tenait une rose à la
main
Et le langage qu’ils inventaient en chemin Je l’a
J’ai jeté dans le noble feu Que je transporte et que j’adore De vives
mains
et même feu Ce passé, ces têtes de morts. Flamme,
t bleus d’un beau-ciel Ce souvenir revit les rêves et les actives
mains
Orient plein de glaciers L’hiver est rigoureu
au bout de l’an des dieux Regarde la tête géante et immense la
main
verte L’argent sera vite remplacé par tout notr
un flambeau. La sixième, métal de gloire, C’est l’ami aux si douces
mains
Dont chaque matin nous sépare : « Adieu, voilà vo
rideau Et maintenant voilà que s’ouvre la fenêtre Araignées quand les
mains
tissaient la lumière Beauté, pâleur, insondables
rideau Et maintenant voilà que s’ouvre la fenêtre Araignées quand les
mains
tissaient la lumière Beauté Pâleur d’insondables
émence Ou le tac tac tac monotone et bref plein de dégoût Je te vois
main
de Massiges Si décharnée sur la carte Le boyau
ures Un grand air d’opéra toi l’écoutant tu pleures Je flatte de la
main
le petit canon gris Gris comme l’eau de Seine et
ussait des cris brefs Et saluait en écartant gentiment les avant-bras
Mains
ouvertes Une jambe en arrière prête à la génuflex
l’orgue cessa de jouer Et que l’organiste se cacha le visage dans les
mains
Aux doigts semblables aux descendants de son dest
as mais je regarde et j’écoute et notez Que je lis assez bien dans la
main
Car je ne crois pas mais je regarde et quand c’es
l’éblouissement Bateliers Un dieu choît dans la mer un dieu nu les
mains
vides Au semblant des noyés il ira sur une île Po
ssait des cris brefs, Et saluait en écartant gentiment les avant-bras
Mains
ouvertes, Une jambe en arrière, prête à la génu
l’orgue cessa de jouer Et que l’organiste se cacha le visage dans les
mains
Aux doigts semblables aux descendants de son dest
es paresses, Les mensonges. Pourtant j’attends qu’elle les dresse Ses
mains
enamourées devant moi, l’Inconnue. Seigneur que
rai vers les cités Et peut-être y mourir pour ma virginité, Parmi les
mains
, les peaux, les mots et les promesses. Malgré l
rt à présent que j’approche. En entrant j’ai béni les foules des deux
mains
. Cité, j’ai ri de tes palais tels que des truff
ton bel Orient où les lys Se changent en palmiers qui de leurs belles
mains
Me font signe de venir La fusée s’épanouit fleur
Et le soleil miroir des roses s’est brisé Le stigmate sanglant des
mains
contre les vitres Quel archer mal blessé du couch
ibuèrent aux enfants. Plus tard, dans un bal champêtre, Les couples
mains
sur les épaules, Dansèrent au son aigre des citha
sez cet amour défendu, Je suis mariée. Voyez l’anneau qui brille, Mes
mains
tremblent, Je pleure et je voudrais mourir. Les
reux ensemble ! Sur nous l’eau se refermera, Mais vous pleurez et vos
mains
tremblent, Aucun de nous ne reviendra. — On repri
buèrent aux enfants. Plus tard, dans un bal champêtre, Les couples,
mains
sur les épaules, Dansèrent au son aigre des citha
sez cet amour défendu. Je suis mariée. Voyez l’anneau qui brille, Mes
mains
tremblent, Je pleure et je voudrais mourir. Les
reux ensemble ! Sur nous l’eau se refermera, Mais vous pleurez et vos
mains
tremblent, Aucun de nous ne reviendra. On repri
sser les yeux de honte. Je suivis ce mauvais garçon Qui sifflotait,
mains
dans les poches ; Nous semblions, entre les maiso
maisons flambent, parce qu’on partira pour ne plus revenir ; Ni : ces
mains
agitées travailleront demain pour nous tous ; Ni
Plus précieuse Que ce qu’on a sous la
main
Dans ce palais souterrain creusé dans la craie si
des maisons Qui venaient par les rues traversières les yeux fous Les
mains
tendues vers le mélodieux ravisseur Il s’en allai
rir son amant Elle est la fille d’un sergent de ville de Jersey Ses
mains
que je n’avais pas vues sont dures et gercées J’a
rir son amant Elle est la fille d’un sergent de ville de Jersey Ses
mains
que je n’avais pas vues sont dures et gercées J’a
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