trépas Vous fûtes par deux fois la presse qui féconde Le sens et la
mémoire
en l’un et l’autre monde Déjà l’écho répète à l’e
ces Et des oiseaux protègent de leurs ailes ma face et le soleil. O
mémoire
, combien de races qui forlignent Des Tyndarides a
tin m’accable, « Dont ce soleil de chair grelotte, veux-tu voir, « Ma
mémoire
venir et m’aimer, ma semblable, « Et quel fils ma
, Merlin s’en alla vers l’est, disant : « Qu’il monte « Le fils de la
Mémoire
, égale de l’amour. « Qu’il monte de la fange ou
ante de Sébaste Moins que ma vie, martyrisés… Mon beau navire, ô ma
mémoire
, Avons-nous assez navigué Dans une onde mauvaise
ces Et des oiseaux protègent de leurs ailes ma face et le soleil. O
mémoire
, combien de races qui forlignent Des Tyndarides a
ces Et des oiseaux protègent de leurs ailes ma face et le soleil. O
mémoire
, combien de races qui forlignent Des Tyndarides a
mieux possible En attendant la sépulture. Soudain, Rapide comme ma
mémoire
, Les yeux se rallumèrent De cellule vitrée en cel
une morte ? On devient si pur qu’on en arrive Dans les glaciers de la
mémoire
A se confondre avec le souvenir. On est fortifié
mieux possible En attendant la sépulture, Soudain, Rapide comme ma
mémoire
. Les yeux se rallumèrent De cellule vitrée en cel
une morte ? On devient si pur qu’on en arrive Dans les glaciers de la
mémoire
A se confondre avec le souvenir. On est fortifié
ettre grave comme un son de cloche A travers nos
mémoires
Nous n’aimons pas assez la joie De voir de bell
aussi des crochets et l’on y suspend mille choses Comme on fait à la
mémoire
Des musettes bleues des casaques bleues des crava
l inverse, oiseau Qui nidifie en l’air, A la limite où brille déjà ma
mémoire
, Baisse ta deuxième paupière Ni à cause du soleil
ce qu’elles ont laissé abandonné Sans regretter le jour la vie et la
mémoire
Il ne resta bientôt plus personne dans la rue de
, Et les roses de l’électricité s’ouvrent encore Dans le jardin de ma
mémoire
. Pardonnez-moi mon ignorance ; Pardonnez-moi de