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1 (1915) Le Repas « Le Repas »
Le Repas Il n’y a que la mère et les deux fils           Tout est ensoleillé   
leillé           La table est ronde Dérrière la chaise où s’assied la mère           Il y a la fenêtre           Briller sou
est pas une action vile Et tous les hommes devraient avoir du pain La mère et les deux fils mangent et parlent Et des chants
2 (1905) Salomé « Salomé »
ne fois Jean-Baptiste, Sire, je danserais mieux que les séraphins. Ma mère , dites-moi pourquoi vous êtes triste, En robe de
tête au lieu de ta marotte et danse. N’y touchez pas ; son front, ma mère , est déjà froid. Sire, marchez devant ; trabant
3 (2019) Salomé « Salomé »
ne fois Jean-Baptiste, Sire, je danserais mieux que les séraphins. Ma mère , dites-moi, pourquoi vous êtes triste, En robe de
tête au lieu de ta marotte et danse. N’y touchez pas ; son front, ma mère , est déjà froid. Sire, marchez devant ; trabans
4 (1911) Salomé « Salomé »
ne fois Jean-Baptiste, Sire, je danserais mieux que les séraphins. Ma mère , dites-moi, pourquoi vous êtes triste, En robe de
tête au lieu de ta marotte et danse. N’y touchez pas ; son front, ma mère , est déjà froid. Sire, marchez devant ; taraban
5 (1902) Les Colchiques « Les Colchiques »
ouant de l’harmonica. Ils cueillent les colchiques qui sont comme des mères Filles de leurs filles et sont couleur de tes pau
6 (1912) Les Colchiques « Les Colchiques »
ouant de l’harmonica. Ils cueillent les colchiques qui sont comme des mères , Filles de leurs filles, et sont comme tes paupiè
7 (1911) Marie « Marie »
       Vous y dansiez petite fille                    Y danserez-vous mère grand                    C’est la Marlotte qui sa
8 (1915) Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] « Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] »
bus        De ma sœur au rire en folie             Et je revois    Ma mère la sorcière qui seule du village         Méprisai
mon âge Il faudrait le demander à l’évêque    Si doux si doux avec ma mère    De beurre de beurre avec ma sœur      C’était
9 (1915) Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] « Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] »
bus        De ma sœur au rire en folie             Et je revois    Ma mère la sorcière qui seule du village         Méprisai
mon âge Il faudrait le demander à l’évêque    Si doux si doux avec ma mère    De beurre de beurre avec ma sœur      C’était
10 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
ns l’hypogée que j’ai creusé moi-même C’est à toi que je songe ITALIE mère de mes pensées Et dejà quand von Kluck marchait
ado et l’Arétin Je me disais Est-il possible que la nation Qui est la mère de la civilisation Regarde sans la défendre les e
ement le dos ITALIE Mais ne t’en fais pas nous t’aimons bien ITALIE f mère qui es aussi notre fille Nous sommes là tranqui
jours ni les nuits C’est la guerre qui est longue ITALIE Toi notre mère et notre fille quelque chose comme une sœur J’ai
11 (1914) Rotsoge « Rotsoge »
u 324 un homme en l’air un veau qui regarde à travers le ventre de sa mère J’ai cherché longtemps sur les routes Tant d’ye
12 (1918) Souvenir des Flandres « Souvenir des Flandres »
ussitôt. Les destins Rient dans les moissons d’or et dans le sein des mères . Nous renaîtrons aussi, nous fêtes populaires Ker
13 (1914) Rotsoge « Rotsoge »
u 324 un homme en l’air un veau qui regarde à travers le ventre de sa mère J’ai cherché longtemps sur les routes Tant d’yeux
14 (1914) L'Ignorance « L’Ignorance »
l tombe ailleurs que dans notre vallée Icare Pour éviter la Nuit ta mère incestueuse Dieu circulaire et bon je flotte entr
15 (1913) Lundi rue Christine « Lundi rue Christine »
Lundi rue Christine La mère de la concierge et la concierge laisseront tout p
16 (1909) Le jour des morts « Le jour des morts »
nent couvrir les morts. Des enfants morts parlent parfois avec leur mère , Et des mortes parfois voudraient bien revenir.
17 (1912) Merlin et la vieille femme « Merlin et la vieille femme »
ntre Maternel, qui saignait lentement sur le ciel ; La lumière est ma mère , ô lumière sanglante ! Les nuages coulaient comme
18 (1911) Le Larron « Le Larron »
Maraudeur étranger malhabile et malade Ton père fut un sphinx et ta mère une nuit Qui charma de lueurs Zacinthe et les Cyc
19 (1903) Le Larron « Le Larron »
Maraudeur étranger, malhabile et malade, Ton père fut un sphinx et ta mère une nuit Qui charma de lueurs Zacinthe et les Cyc
20 (1912) Zône « Zône »
s Ternes Voilà la jeune rue et tu n’es encore qu’un petit enfant Ta mère ne t’habille que de bleu et de blanc Tu es très p
21 (1913) Zône « Zône »
s Ternes Voilà la jeune rue et tu n’es encore qu’un petit enfant Ta mère ne t’habille que de bleu et de blanc Tu es très p
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