est pas une action vile Et tous les hommes devraient avoir du pain La
mère
et les deux fils mangent et parlent Et des chants
ne fois Jean-Baptiste, Sire, je danserais mieux que les séraphins. Ma
mère
, dites-moi pourquoi vous êtes triste, En robe de
tête au lieu de ta marotte et danse. N’y touchez pas ; son front, ma
mère
, est déjà froid. Sire, marchez devant ; trabant
ne fois Jean-Baptiste, Sire, je danserais mieux que les séraphins. Ma
mère
, dites-moi, pourquoi vous êtes triste, En robe de
tête au lieu de ta marotte et danse. N’y touchez pas ; son front, ma
mère
, est déjà froid. Sire, marchez devant ; trabans
ne fois Jean-Baptiste, Sire, je danserais mieux que les séraphins. Ma
mère
, dites-moi, pourquoi vous êtes triste, En robe de
tête au lieu de ta marotte et danse. N’y touchez pas ; son front, ma
mère
, est déjà froid. Sire, marchez devant ; taraban
ouant de l’harmonica. Ils cueillent les colchiques qui sont comme des
mères
Filles de leurs filles et sont couleur de tes pau
ouant de l’harmonica. Ils cueillent les colchiques qui sont comme des
mères
, Filles de leurs filles, et sont comme tes paupiè
mon âge Il faudrait le demander à l’évêque Si doux si doux avec ma
mère
De beurre de beurre avec ma sœur C’était
mon âge Il faudrait le demander à l’évêque Si doux si doux avec ma
mère
De beurre de beurre avec ma sœur C’était
ns l’hypogée que j’ai creusé moi-même C’est à toi que je songe ITALIE
mère
de mes pensées Et dejà quand von Kluck marchait
ado et l’Arétin Je me disais Est-il possible que la nation Qui est la
mère
de la civilisation Regarde sans la défendre les e
ement le dos ITALIE Mais ne t’en fais pas nous t’aimons bien ITALIE f
mère
qui es aussi notre fille Nous sommes là tranqui
jours ni les nuits C’est la guerre qui est longue ITALIE Toi notre
mère
et notre fille quelque chose comme une sœur J’ai
u 324 un homme en l’air un veau qui regarde à travers le ventre de sa
mère
J’ai cherché longtemps sur les routes Tant d’ye
ussitôt. Les destins Rient dans les moissons d’or et dans le sein des
mères
. Nous renaîtrons aussi, nous fêtes populaires Ker
u 324 un homme en l’air un veau qui regarde à travers le ventre de sa
mère
J’ai cherché longtemps sur les routes Tant d’yeux
l tombe ailleurs que dans notre vallée Icare Pour éviter la Nuit ta
mère
incestueuse Dieu circulaire et bon je flotte entr
nent couvrir les morts. Des enfants morts parlent parfois avec leur
mère
, Et des mortes parfois voudraient bien revenir.
ntre Maternel, qui saignait lentement sur le ciel ; La lumière est ma
mère
, ô lumière sanglante ! Les nuages coulaient comme
Maraudeur étranger malhabile et malade Ton père fut un sphinx et ta
mère
une nuit Qui charma de lueurs Zacinthe et les Cyc
Maraudeur étranger, malhabile et malade, Ton père fut un sphinx et ta
mère
une nuit Qui charma de lueurs Zacinthe et les Cyc
s Ternes Voilà la jeune rue et tu n’es encore qu’un petit enfant Ta
mère
ne t’habille que de bleu et de blanc Tu es très p
s Ternes Voilà la jeune rue et tu n’es encore qu’un petit enfant Ta
mère
ne t’habille que de bleu et de blanc Tu es très p