ne Et la noblesse de la ligne : Elle est la voix que la
lumière
fit entendre Et dont parle Hermès Trismégiste en
s à la dérive Maigre comme un cou de vautour Maisons deviennent des
lumières
Des corps marchent sans intellect On dira beaucou
pinceaux des couleurs des toiles Afin que tes loisirs sacrés dans la
lumière
réelle Tu les consacres à peindre comme tu tiras
t voilà que s’ouvre la fenêtre Araignées quand les mains tissaient la
lumière
Beauté, pâleur, insondables violets Nous tenteron
t voilà que s’ouvre la fenêtre Araignées quand les mains tissaient la
lumière
Beauté Pâleur d’insondables violets Nous tenteron
x qu’un seul lien a liés D’autres liens plus ténus Blancs rayons de
lumière
Cordes et Concorde J’écris seulement pour vous
u soleil sans faire de poussière Ombre encre du soleil Ecriture de ma
lumière
Caisson de regrets Un dieu qui s’humilie GUILLAU
ampenois Le régiment arrive Le village est presque endormi dans la
lumière
parfumée Un prêtre a le casque en tête La bouteil
s morceaux de ciel et de terre En laissant au milieu Un grand trou de
lumière
Cette place carrée Meïdan Schah trop Grande pour
Le Brasier III Descendant des hauteurs où pense la
lumière
Jardins rouant plus haut que tous les ciels mobil
ait comme un ventre Maternel, qui saignait lentement sur le ciel ; La
lumière
est ma mère, ô lumière sanglante ! Les nuages cou
ernel, qui saignait lentement sur le ciel ; La lumière est ma mère, ô
lumière
sanglante ! Les nuages coulaient comme un flux me
t à coup, se pose devant les yeux, Une voûte entre vous et toutes les
lumières
Et je m’éloignerai, m’illuminant au milieu d’ombr
’intensité ira s’augmentant Au point qu’il deviendra un jour l’unique
lumière
. Un jour, Un jour je m’attendais moi-même, Je m
morts se réjouissaient De voir leurs corps trépassés entre eux et la
lumière
. Ils riaient de leur ombre et l’observaient Comme
plus clairs, plus clairs encore, Que les astres du firmament, Que la
lumière
de l’aurore, Que vos regards mon fiancé, Auront m
il, Comme le pigeon aime la colombe, Comme l’insecte nocturne Aime la
lumière
. — — Trop tard, répondait la vivante. Repoussez,
morts se réjouissaient De voir leurs corps trépassés entre eux et la
lumière
. Ils riaient de leur ombre et l’observaient Comme
plus clairs, plus clairs encore, Que les astres du firmament, Que la
lumière
de l’aurore, Que vos regards mon fiancé, Auront m
il, Comme le pigeon aime la colombe, Comme l’insecte nocturne Aime la
lumière
. ‒ Trop tard, répondait la vivante. Repoussez,
i se traînaient par terre Et des mains, vers le ciel plein de lacs de
lumière
, S’envolaient quelquefois comme des oiseaux blanc
i se traînaient par terre Et des mains, vers le ciel plein de lacs de
lumière
, S’envolaient quelquefois comme des oiseaux blanc
aîgnent les brûlures. III Descendant des hauteurs où pense la
lumière
Jardins rouant plus haut que tous les ciels mobil
que, Directeur du feu et des poètes, L’amour qui emplit ainsi que la
lumière
Tout le solide espace entre les étoiles et les pl
aignent les brûlures. III Descendant des hauteurs où pense la
lumière
, Jardins rouant plus haut que tous les ciels mobi
leurissaient en l’air pendant ces nuits où rien ne dort Jardins de la
lumière
où j’ai cueilli des bouquets Tu dois en avoir a