du cavalier Ah Dieu ! que la guerre est jolie Avec ses chants ses
longs
loisirs Cette bague je l’ai polie Le vent se mêle
Les Sapins Les sapins en bonnets pointus De
longues
robes revêtus Comme des astrologues Saluent leurs
es et enneigés. Aux Noëls bienheureuses Fêtes des sapins ensongés Aux
longues
branches langoureuses. Les sapins, beaux musici
revient à en vomir le revenant Ils ont demandé tant de ces bouteilles
longues
Comme les longs cyprès d’un grand jardin rhénan
le revenant Ils ont demandé tant de ces bouteilles longues Comme les
longs
cyprès d’un grand jardin rhénan Un phonographe
giorno C’est un banquet que s’offre la terre Elle a faim et ouvre de
longues
bouches pâles La terre a faim et voici son festin
j’ai coulé dans la douceur de cette guerre avec toute ma compagnie au
long
des longs boyaux Quelques cris de flamme annoncen
é dans la douceur de cette guerre avec toute ma compagnie au long des
longs
boyaux Quelques cris de flamme annoncent sans ces
t C’est moi qui commence cette chose des siècles à venir Ce sera plus
long
à réaliser que non la fable d’Icare volant Je lèg
I. Saltimbanques Dans la plaine les baladins S’éloignent au
long
des jardins, Devant l’huis des auberges grises, P
ins tu feras bien de tenir la porte ouverte Et puis le vent scieur de
long
Suscitera en toi la terreur des fantômes
nte avoir vu, sous la lune, sept femmes Tordre leurs cheveux verts et
longs
jusqu’à leurs pieds. Debout, chantez plus haut
r votre Dimanche à Garches Il fait un peu lourd et vos cheveux sont
longs
O bon petit poète un peu bête et trop blond Vos y
Ispahan Pour tes roses J’aurais fait Un voyage plus
long
encore Ton soleil n’est pas celui Qui luit Part
it un temps béni La guerre continue Les Servants ont limé la bague au
long
des mois Le Conducteur écoute abrité dans les boi
et langoureuses J’aurais dégusté lentement et tout seul Pendant de
longues
soirées Le tokay épais ou la malvoisie J’aurais m
res Kermesses, Carrousels. — O fraîcheur des matins. Tendresse des
longs
soirs alanguis dans les Flandres, Grands ports qu
oir En face de moi la paroi de craie s’effrite Il y a des cassures De
longues
traces d’outils traces lisses et qui semblent êtr
vivre loin l’un de l’autre Tendons nos bras et sur ces rails roule un
long
train de marchandises Tu pleurais assise près d
sol Et tandis que le monde vivait et variait Le cortège des femmes
long
comme un jour sans pain Suivait dans la rue de la
e l’électricité. Les tramways, feux verts sur l’échine, Musiquent, au
long
des portées De rails, leur folie de machines. L
ujourd’hui de cette guerre Entre nous et pour vous amis Je juge cette
longue
querelle de la tradition et de l’invention
tre place Et que LES ARMEES ne périront jamais Les mois ne sont pas
longs
ni les jours ni les nuits C’est la guerre qui est
s ne sont pas longs ni les jours ni les nuits C’est la guerre qui est
longue
ITALIE Toi notre mère et notre fille quelque ch
s de l’Océan en soufflant leurs menaces, Laissaient en ses cheveux de
longs
baisers mouillés. Des émigrants tendaient, vers l
’on jouait aux cartes, Et toi, tu m’avais oublié. Te souviens-tu du
long
orphelinat des gares ? Nous trouvâmes des villes
de l’Océan en soufflant leurs menaces, Laissaient dans ses cheveux de
longs
baisers mouillés. Des émigrants tendaient, vers l
splendides pilules. Un squelette de reine innocente est pendu À un
long
fil d’étoile en désespoir sévère. La nuit, les bo
ures D’avoir des hiboux morts cloués à leur plafond. Mes kilomètres
longs
, mes tristesses plénières, Les squelettes de doig
te A nos vêtements et dans vos cheveux, Un beau sermon à l’église, De
longs
discours après le banquet Et de la musique, De la
te A nos vêtements et dans vos cheveux. Un beau sermon à l’église, De
longs
discours après le banquet Et de la musique, De la
ible Mes grappes d’hommes forts saignent dans le pressoir Tu boiras à
longs
traits tout le sang de l’Europe Parce que tu es b
i Et d’Amérique vient le petit colibri De Chine sont venus les pi-his
longs
et souples Qui n’ont qu’une seule aile et qui vol
i Et d’Amérique vient le petit colibri De Chine sont venus les pi-his
longs
et souples Qui n’ont qu’une seule aile et qui vol