ageant avec un permis Je tâtai les gibbosités postérieures. O temps
lointains
! lointaines gares Que le gaz éclairait bien mal
un permis Je tâtai les gibbosités postérieures. O temps lointains !
lointaines
gares Que le gaz éclairait bien mal ! Le monsieur
ébarqués à Marseille hier matin J’entends mourir et remourir un chant
lointain
Humble comme je suis qui ne suis rien qui vaille
’à l’horizon décroît Un régiment de jours plus bleus que les collines
lointaines
et plus doux que ne sont les coussins de l’auto
mon âme Le grand soleil payen fait mourir en mourant Avec les bourgs
lointains
, le Christ indifférent. Neu Glück, 1901 Guillau
n âme, Le grand soleil païen fait mourir, en mourant, Avec les bourgs
lointains
, le christ indifférent. Neu Glück, 1901.
Les masques sont silencieux Et la musique est si
lointaine
Qu’elle semble venir des cieux
n âne, Tandis que s’éloignait, dans les vignes rhénanes, Sur un fifre
lointain
, un air de régiment. Le mai, le joli mai a paré
Les masques sont silencieux Et la musique est si
lointaine
Qu’elle semble venir des cieux. Oui
J’ai senti, pour ma part, un tel accord entre les détails proches et
lointains
, les précisions anciennes ou futures que l’avenir
aussi sur les bords de la Seine La plainte d’autres voix limpides et
lointaines
Et j’écoutai longtemps tous ces chants et ces cri
reflète en dormant nul feu dans ses deux eaux Dont quelque sifflement
lointain
parfois s’élance Troublant dans leur sommeil les
ndaient maintenant par centaines Je ne distinguais plus leurs paroles
lointaines
Et Trèves la ville ancienne A leur voix mêlait la
c mourir et que Dieu vous protège. Mon amant est parti pour un pays
lointain
, Faites-moi donc mourir puisque je n’aime rien.
i ma douleur et mon attente vaine J’entends mourir le son d’une flûte
lointaine
Guillaume Apollinaire
mourèrent, D’amour que nous aimons les dernières venues. Les villages
lointains
sont comme leurs paupières, Et parmi les citrons
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