es Le pré est vénéneux mais joli en automne. Les vaches y paissant
lentement
s’empoisonnent. Le colchique couleur de cerne et
olâtres comme leur cerne et comme cet automne Et ma vie pour tes yeux
lentement
s’empoisonne. Les enfants de l’école viennent a
es Le pré est vénéneux mais joli en automne. Les vaches y paissant
lentement
s’empoisonnent. Le colchique couleur de cerne et
lâtres comme leur cerne et comme cet automne, Et ma vie pour tes yeux
lentement
s’empoisonne. Les enfants de l’école viennent ave
Éclairent des formes de rêve Et le songe dans l’entrelac Des branches
lentement
s’élève Voici les dédains du regret Tout écorch
emonde Voulant pouvoir me rappeler Sa bouche fleurie en Hollande Puis
lentement
je m’en allai Pour quêter la Rose du Monde.
utomne Dans le brouillard s’en vont un paysan cagneux Et son bœuf,
lentement
, dans le brouillard d’automne Qui cache les hamea
flétris sont comme ses paupières. Sur le chemin du bord du fleuve,
lentement
, Un ours, un singe, un chien menés par des tsigan
é très bas De nobles dames grasses et langoureuses J’aurais dégusté
lentement
et tout seul Pendant de longues soirées Le tokay
à la cantine Des obus dans la nuit la splendeur argentine Je mâche
lentement
ma portion de bœuf Je me promène seul le soir de
es fanaux, Je me souviens de vous, eaux vertes des canaux Où glissent
lentement
les pensives bélandres. Guillaume APOLLINAIRE
s, Nous irons contempler le sourire des morts. Nous marcherons très
lentement
, les yeux ravis, Foulant aux pieds sous les gibet
Partira pour Corfou Tu traverses Paris à pied très
lentement
La brise au voile mauve Etes-vous la maman
nes Partira pour Corfou Tu traverses Paris à pied très
lentement
La brise au voile mauve Etes-vous la maman
e soleil ce jour-là, s’étalait comme un ventre Maternel, qui saignait
lentement
sur le ciel ; La lumière est ma mère, ô lumière s
s chants d’universelle ivrognerie Et la nuit de septembre s’achevait
lentement
Les feux rouges des ponts s’éteignaient dans la S
rloge du quartier juif vont à rebours Et tu recules aussi dans ta vie
lentement
En montant au Hradchin et le soir en écoutant Dan
rloge du quartier juif vont à rebours Et tu recules aussi dans ta vie
lentement
En montant au Hradchin et le soir en écoutant Dan
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