rbres tremblants, Temple de la philosophie Que Rousseau gagnait à pas
lents
, Bien fol, bien fol est qui s’y fie. Guillaume
d’été ; Si bien que mon amour pour votre adolescence Accompagne à pas
lents
sa femme, votre absence, Qui, très douce, le mène
s Jusqu’au bassin mourant que pleurent les saulaies Je marchais à pas
lents
, m’arrêtant aux jasmins, Me grisant du parfum des
vent dément. Le gardien du troupeau chantonne en allemand. Tandis que
lentes
et meuglant les vaches abandonnent Pour toujours
rre est plein d’un vin trembleur comme une flamme. Ecoutez la chanson
lente
d’un batelier Qui raconte avoir vu, sous la lune,
vent dément. Le gardien du troupeau chantonne en allemand, Tandis que
lentes
et meuglant, les vaches abandonnent Pour toujours
s’en va comme cette eau courante, L’amour s’en va ; comme la vie est
lente
Et comme l’Espérance est violente !
la Champagne Tonnante, La nuit quand les convois traînent leur rumeur
lente
A travers la Champagne où tonnent nos canons Et l
la Champagne Tonnante, La nuit quand les convois traînent leur rumeur
lente
A travers la Champagne où tonnent nos canons Et l
dans l’an, c’étaient les journées veuves, Les vendredis sanglants et
lents
d’enterrements, Des blancs et de tout noirs, vain
dans l’an, c’étaient les journées veuves, Les vendredis sanglants et
lents
d’enterrements. Des blancs et de tout noirs, vain
ver à l’avenir En tournant machinalement un orgue de Barbarie Dont la
lente
voix se lamentait merveilleusement Les glouglous
ver à l’avenir En tournant machinalement un orgue de Barbarie Dont la
lente
voix se lamentait merveilleusement, Les glouglous