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1 (1913) Poème sans titre (incipit : « Ermenonville, arbres tremblants ») « Poème sans titre (incipit : « Ermenonville, arbres tremblants ») »
rbres tremblants, Temple de la philosophie Que Rousseau gagnait à pas lents , Bien fol, bien fol est qui s’y fie. Guillaume
2 (1901) Épousailles « Épousailles »
d’été ; Si bien que mon amour pour votre adolescence Accompagne à pas lents sa femme, votre absence, Qui, très douce, le mène
3 (1909) Enfance « Enfance »
s Jusqu’au bassin mourant que pleurent les saulaies Je marchais à pas lents , m’arrêtant aux jasmins, Me grisant du parfum des
4 (1902) Les Colchiques « Les Colchiques »
vent dément. Le gardien du troupeau chantonne en allemand. Tandis que lentes et meuglant les vaches abandonnent Pour toujours
5 (1912) Nuit rhénane « Nuit rhénane »
rre est plein d’un vin trembleur comme une flamme. Ecoutez la chanson lente d’un batelier Qui raconte avoir vu, sous la lune,
6 (1912) Les Colchiques « Les Colchiques »
vent dément. Le gardien du troupeau chantonne en allemand, Tandis que lentes et meuglant, les vaches abandonnent Pour toujours
7 (1912) Le pont Mirabeau « Le Pont Mirabeau »
s’en va comme cette eau courante, L’amour s’en va ; comme la vie est lente Et comme l’Espérance est violente !            
8 (1916) Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne « Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne »
la Champagne Tonnante, La nuit quand les convois traînent leur rumeur lente A travers la Champagne où tonnent nos canons Et l
9 (1916) Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne « Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne »
la Champagne Tonnante, La nuit quand les convois traînent leur rumeur lente A travers la Champagne où tonnent nos canons Et l
10 (1905) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
dans l’an, c’étaient les journées veuves, Les vendredis sanglants et lents d’enterrements, Des blancs et de tout noirs, vain
11 (1912) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
dans l’an, c’étaient les journées veuves, Les vendredis sanglants et lents d’enterrements. Des blancs et de tout noirs, vain
12 (1914) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
ver à l’avenir En tournant machinalement un orgue de Barbarie Dont la lente voix se lamentait merveilleusement Les glouglous
13 (1913) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
ver à l’avenir En tournant machinalement un orgue de Barbarie Dont la lente voix se lamentait merveilleusement, Les glouglous
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