ieur de long Suscitera en toi la terreur des fantômes Ta
langue
Le poisson rouge dans le bocal De ta
st à la recherche d’un nouveau langage Auquel le grammairien d’aucune
langue
n’aura rien à dire Et ces vieilles langues sont
l le grammairien d’aucune langue n’aura rien à dire Et ces vieilles
langues
sont tellement près de mourir Que c’est vraiment
Laissez petiller un son nasal et continu Faites claquer votre
langue
Servez-vous du bruit sourd de celui qui mange san
ague Frick. Sirènes, j’ai campé vers vos Grottes, tiriez aux mers la
langue
En dansant devant leurs chevaux, Puis, battiez de
cuses Et les torches de mon tourment. * Oiseaux, tiriez aux mers la
langue
. Le soleil d’hier m’a rejoint. Les otelles nous e
Apollinaire Sirènes, j’ai rampé vers vos Grottes, tiriez aux mers la
langue
En dansant devant leurs chevaux ; Puis, battiez d
excuses Et les torches de mon tourment. Oiseaux, tiriez aux mers la
langue
. Le soleil d’hier m’a rejoint. Les otelles nous e
ve Adapte un masque hilare et drape l’oripeau. Va. L’histrion tire la
langue
aux attentives. J’attends que passe Thanatos et s
es Va-t’en de bon matin pieds nus et sans chapeau Et vite comme va la
langue
d’un crapaud Se décollaient soudain et collaient
es Va-t’en de bon matin pieds nus et sans chapeau Et vite comme va la
langue
d’un crapaud Se décollaient soudain et collaient
es Va-t-en de bon matin pieds nus et sans chapeau Et vite comme va la
langue
d’un crapaud L’amour blessait au cœur les fous co
c crié ces entrecôtes, Ces grands pâtés, os à la moelle et mirotons ?
Langues
de feu, où sont-elles, mes pentecôtes, Pour mes p
plus doux après la victoire [Tour Eiffel] salut monde dont je suis la
langue
éloquente que sa bouche ô Paris tire et tirera to
donc crié ces entrecôtes Ces grands pâtés os à la moelle et mirotons
Langues
de feu où sont-elles mes pentecôtes Pour mes pens
iers. De voir leurs pieds paniques, un seul de leurs cheveux, Ou leur
langue
quand il me plaît de faire le médecin, Ou leurs e