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1 (1917) Fusée-signal « Fusée-signal »
ieur de long Suscitera en toi la terreur des fantômes              Ta langue Le poisson rouge dans le bocal              De ta
2 (1917) La Victoire « La Victoire »
st à la recherche d’un nouveau langage Auquel le grammairien d’aucune langue n’aura rien à dire Et ces vieilles langues sont
l le grammairien d’aucune langue n’aura rien à dire Et ces vieilles langues sont tellement près de mourir Que c’est vraiment
  Mais entêtons-nous à parler                              Remuons la langue                              Lançons des postillo
  Laissez petiller un son nasal et continu       Faites claquer votre langue Servez-vous du bruit sourd de celui qui mange san
3 (1907) Lul de Faltenin « Lul de Faltenin »
ague Frick. Sirènes, j’ai campé vers vos Grottes, tiriez aux mers la langue En dansant devant leurs chevaux, Puis, battiez de
cuses Et les torches de mon tourment. * Oiseaux, tiriez aux mers la langue . Le soleil d’hier m’a rejoint. Les otelles nous e
4 (1907) Fragment « Fragment »
Apollinaire Sirènes, j’ai rampé vers vos Grottes, tiriez aux mers la langue En dansant devant leurs chevaux ; Puis, battiez d
excuses Et les torches de mon tourment. Oiseaux, tiriez aux mers la langue . Le soleil d’hier m’a rejoint. Les otelles nous e
5 (1905) Le Mendiant « Le Mendiant »
ve Adapte un masque hilare et drape l’oripeau. Va. L’histrion tire la langue aux attentives. J’attends que passe Thanatos et s
6 (1915) Les Saisons « Les Saisons »
es Va-t’en de bon matin pieds nus et sans chapeau Et vite comme va la langue d’un crapaud Se décollaient soudain et collaient
7 (1915) Les Saisons « Les Saisons »
es Va-t’en de bon matin pieds nus et sans chapeau Et vite comme va la langue d’un crapaud Se décollaient soudain et collaient
8 (1917) Les Saisons « Les Saisons »
es Va-t-en de bon matin pieds nus et sans chapeau Et vite comme va la langue d’un crapaud L’amour blessait au cœur les fous co
9 (1905) Dans le palais de Rosemonde « Dans le Palais de Rosemonde »
c crié ces entrecôtes, Ces grands pâtés, os à la moelle et mirotons ? Langues de feu, où sont-elles, mes pentecôtes, Pour mes p
10 (1915) 2e canonnier conducteur « 2e canonnier conducteur »
plus doux après la victoire [Tour Eiffel] salut monde dont je suis la langue éloquente que sa bouche ô Paris tire et tirera to
11 (1917) Chevaux de frise « Chevaux de frise »
d                  O double colombe de ta poitrine Et vient délier ma langue de poète                  Pour te redire je t’aim
12 (1911) Dans le palais de Rosemonde « Dans le palais de Rosemonde »
donc crié ces entrecôtes Ces grands pâtés os à la moelle et mirotons Langues de feu où sont-elles mes pentecôtes Pour mes pens
13 (1911) Cortège « Cortège »
iers. De voir leurs pieds paniques, un seul de leurs cheveux, Ou leur langue quand il me plaît de faire le médecin, Ou leurs e
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