yage Maisons-Laffitte et tout finit dans les parfums souvenez-vous-en
laisse
s’ouvrir la fleur et laisse pourrir le fruit et l
t finit dans les parfums souvenez-vous-en laisse s’ouvrir la fleur et
laisse
pourrir le fruit et laisse germer la graine tandi
uvenez-vous-en laisse s’ouvrir la fleur et laisse pourrir le fruit et
laisse
germer la graine tandis que soufflent les tempête
[Calligramme (jambe d’Arlequin)] [jambe d’Arlequin] et
laissez
le mystère de cette jambe d’Arlequin vous torture
bonté Surmonte l’ennemi et bois à sa santé Honore ton outil sans le
laisser
inerte Brise-le par amour au moment de ta perte
cueillerons-nous les airelles ? Lanturlu ! Mais
laissons
pousser sur la tombe, O folle ! ô
les rend sombres Avec elles disparaîtra. Les déités des eaux vives
Laissent
couler leurs cheveux… Passe ! Il faut que tu pour
ue et de plus moderne Homme Homme Homme Homme Homme Homme Homme Homme
Laissez
-vous allez à cet art où le sublime n’exclut pas l
l’oubli d’un continent Perdre Mais perdre vraiment Pour
laisser
place à la trouvaille
i d’un continent ??? Perdre Mais perdre vraiment Pour
laisser
place à la trouvaille
Perdre Mais perdre vraiment Pour
laisser
place à la trouvaille
ar derrière me pince la taille Le balai tombe au fond
Laissez
mon jupon Au même instant j’ajoute Monsieur Aïe !
ardiez le silence Peuple de Zanzibar ou plutôt de la France Il faut
laisser
le goût et garder la raison Il faut voyager loin
Et n’être aimé de personne Ne rien
laisser
derrière soi Et préparer le plai
ps passa. Des noms : Gauguin, Cézanne Me hantaient. Pour leur art, je
laissai
la douane Et gardant ce surnom : le douanier, J
La Loreley A Bacharach, il y avait une sorcière blonde Qui
laissait
mourir d’amour tous les hommes à la ronde Devan
les quatre, La Loreley au milieu traînait la savate. — Chevaliers,
laissez
-moi monter sur ce rocher si haut, Pour voir une f
t rien ne sera libre jusqu’à la fin des temps
Laissons
tout aux morts Et cachons
mes pures disputes. Adieu, adieu ! vous qui m’aimiez, oubliez-moi !
Laissez
-moi seule, triste et noire, dans la gare Attendre
avez-vous le mot ? Eh ! oui le mot fatal Aux créneaux. Aux créneaux.
Laissez
là les pioches. Comme un astre éperdu qui cherc
avez-vous le mot ? Eh ! oui le mot fatal Aux créneaux. Aux créneaux.
Laissez
là les pioches. * * * Comme un astre éperdu q
s Mais avez-vous le mot eh oui le mot fatal Aux créneaux aux créneaux
laissez
-là les pioches * * * Comme un astre éperdu qu
vous le mot ? eh ! oui, le mot fatal : « Aux créneaux, aux créneaux !
Laissez
-là les pioches ! » Comme un astre éperdu qui ch
allais à la campagne avec une charmante cheminée tenant sa chienne en
laisse
Il n’y en a plus tu n’as plus ton petit mirliton
allais à la campagne avec une charmante cheminée tenant sa chienne en
laisse
J’avais un mirliton que je n’aurais pas échangé c
Fiançailles [« Le printemps
laisse
errer les fiancés parjures »] Le printemps la
[« Le printemps laisse errer les fiancés parjures »] Le printemps
laisse
errer les fiancés parjures, Et laisse feuilloler
és parjures »] Le printemps laisse errer les fiancés parjures, Et
laisse
feuilloler longtemps les plumes bleues, Que secou
Lundi rue Christine La mère de la concierge et la concierge
laisseront
tout passer Si tu es un homme tu m’accompagneras
a tant de choses que je n’ose vous dire Tant de choses que vous ne me
laisseriez
pas dire Ayez pitié de moi Guillaume Apollinaire
Et s’assit. Les vents de l’Océan en soufflant leurs menaces,
Laissaient
en ses cheveux de longs baisers mouillés. Des émi
Et s’assit. Les vents de l’Océan en soufflant leurs menaces,
Laissaient
dans ses cheveux de longs baisers mouillés. Des é
ètent sourdement Imitez le son de la toupie
Laissez
petiller un son nasal et continu Faites cla
tins Avaient une saveur amère Qui a rebuté nos destins. Ses regards
laissaient
une traîne D’étoiles dans les soirs tremblants ;
entrèrent sans regarder derrière elles Sans regretter ce qu’elles ont
laissé
abandonné Sans regretter le jour la vie et la mém
oût naturel de la perfection que nous avons l’un et l’autre si on les
laissait
faire serait vite remplacé par je ne sais quelles
is, le soir, les couples s’enlaçant. Et je ne veux plus rien, sinon
laisser
se clore Mes yeux, couple lassé, au verger pantel
Et des amandes de pomme de pin jonchaient Votre jardin marin où j’ai
laissé
mes rames Et mon couteau punique au pied de ce pê
Et des amandes de pomme de pin jonchaient Votre jardin marin où j’ai
laissé
mes rames Et mon couteau punique au pied de ce pê
. Une morte, assise sur un banc, Près d’un buisson d’épine-vinette,
Laissait
un étudiant, Agenouillé à ses pieds, Lui parler d
. Une morte, assise sur un banc, Près d’un buisson d’épine-vinette,
Laissait
un étudiant Agenouillé à ses pieds, Lui parler de
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