/ 36
1 (1917) [Calligramme (bouquet)] « [Calligramme (bouquet)] »
yage Maisons-Laffitte et tout finit dans les parfums souvenez-vous-en laisse s’ouvrir la fleur et laisse pourrir le fruit et l
t finit dans les parfums souvenez-vous-en laisse s’ouvrir la fleur et laisse pourrir le fruit et laisse germer la graine tandi
uvenez-vous-en laisse s’ouvrir la fleur et laisse pourrir le fruit et laisse germer la graine tandis que soufflent les tempête
2 (1917) [Calligramme (jambe d'Arlequin)] « [Calligramme (jambe d’Arlequin)] »
[Calligramme (jambe d’Arlequin)] [jambe d’Arlequin] et laissez le mystère de cette jambe d’Arlequin vous torture
3 (1913) Rencontre « Rencontre »
bonté Surmonte l’ennemi et bois à sa santé Honore ton outil sans le laisser inerte Brise-le par amour au moment de ta perte
4 (1909) Chanson « Chanson ») »
cueillerons-nous les airelles ?                     Lanturlu ! Mais laissons pousser sur la tombe,                 O folle ! ô
5 (1912) Clotilde « Clotilde »
les rend sombres Avec elles disparaîtra. Les déités des eaux vives Laissent couler leurs cheveux… Passe ! Il faut que tu pour
6 (1917) [Calligramme (cheval)] « [Calligramme (cheval)] »
ue et de plus moderne Homme Homme Homme Homme Homme Homme Homme Homme Laissez -vous allez à cet art où le sublime n’exclut pas l
7 (1915) Toujours « Toujours »
l’oubli d’un continent            Perdre    Mais perdre vraiment Pour laisser place à la trouvaille
8 (1915) Toujours « Toujours »
i d’un continent ???            Perdre    Mais perdre vraiment Pour laisser place à la trouvaille
9 (1917) Toujours « Toujours »
   Perdre                  Mais perdre vraiment                  Pour laisser place à la trouvaille                            
10 (1914) Petit balai « Petit balai »
ar derrière me pince la taille         Le balai tombe au fond          Laissez mon jupon Au même instant j’ajoute Monsieur Aïe !
11 (1917) à Howard « à Howard »
ardiez le silence Peuple de Zanzibar ou plutôt de la France Il faut laisser le goût et garder la raison Il faut voyager loin
12 (1917) Orphée « Orphée »
        Et n’être aimé de personne                            Ne rien laisser derrière soi                  Et préparer le plai
13 (1907) [Poème sans titre (incipit : « Trente ans debout à la frontière »)] « Poème sans titre (incipit : « Trente ans debout à la frontière ») »
ps passa. Des noms : Gauguin, Cézanne Me hantaient. Pour leur art, je laissai la douane Et gardant ce surnom : le douanier, J
14 (1902) La Loreley « La Loreley »
La Loreley A Bacharach, il y avait une sorcière blonde Qui laissait mourir d’amour tous les hommes à la ronde Devan
les quatre, La Loreley au milieu traînait la savate. — Chevaliers, laissez -moi monter sur ce rocher si haut, Pour voir une f
15 (1917) Sanglots « Sanglots »
t rien ne sera libre jusqu’à la fin des temps                          Laissons tout aux morts                         Et cachons
16 (1909) Le Départ « Le Départ ») »
mes pures disputes. Adieu, adieu ! vous qui m’aimiez, oubliez-moi ! Laissez -moi seule, triste et noire, dans la gare Attendre
17 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
avez-vous le mot ? Eh ! oui le mot fatal Aux créneaux. Aux créneaux. Laissez là les pioches. Comme un astre éperdu qui cherc
18 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
avez-vous le mot ? Eh ! oui le mot fatal Aux créneaux. Aux créneaux. Laissez là les pioches. * *   * Comme un astre éperdu q
19 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
s Mais avez-vous le mot eh oui le mot fatal Aux créneaux aux créneaux laissez -là les pioches * *   * Comme un astre éperdu qu
20 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « Nuit d’avril : 1915 »
vous le mot ? eh ! oui, le mot fatal : « Aux créneaux, aux créneaux ! Laissez -là les pioches ! » Comme un astre éperdu qui ch
21 (1914) Rotsoge « Rotsoge »
allais à la campagne avec une charmante cheminée tenant sa chienne en laisse Il n’y en a plus tu n’as plus ton petit mirliton
22 (1914) Rotsoge « Rotsoge »
allais à la campagne avec une charmante cheminée tenant sa chienne en laisse J’avais un mirliton que je n’aurais pas échangé c
23 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
Fiançailles [« Le printemps laisse errer les fiancés parjures »] Le printemps la
[« Le printemps laisse errer les fiancés parjures »] Le printemps laisse errer les fiancés parjures, Et laisse feuilloler
és parjures »] Le printemps laisse errer les fiancés parjures, Et laisse feuilloler longtemps les plumes bleues, Que secou
24 (1913) Lundi rue Christine « Lundi rue Christine »
Lundi rue Christine La mère de la concierge et la concierge laisseront tout passer Si tu es un homme tu m’accompagneras
25 (1918) La Jolie Rousse « La Jolie Rousse »
a tant de choses que je n’ose vous dire Tant de choses que vous ne me laisseriez pas dire Ayez pitié de moi Guillaume Apollinaire
26 (1905) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
       Et s’assit. Les vents de l’Océan en soufflant leurs menaces, Laissaient en ses cheveux de longs baisers mouillés. Des émi
27 (1912) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
       Et s’assit. Les vents de l’Océan en soufflant leurs menaces, Laissaient dans ses cheveux de longs baisers mouillés. Des é
28 (1917) La Victoire « La Victoire »
ètent sourdement                   Imitez le son de la toupie          Laissez petiller un son nasal et continu       Faites cla
29 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
tins Avaient une saveur amère Qui a rebuté nos destins. Ses regards laissaient une traîne D’étoiles dans les soirs tremblants ;
30 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
entrèrent sans regarder derrière elles Sans regretter ce qu’elles ont laissé abandonné Sans regretter le jour la vie et la mém
31 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
oût naturel de la perfection que nous avons l’un et l’autre si on les laissait faire serait vite remplacé par je ne sais quelles
32 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
is, le soir, les couples s’enlaçant. Et je ne veux plus rien, sinon laisser se clore Mes yeux, couple lassé, au verger pantel
33 (1911) Le Larron « Le Larron »
Et des amandes de pomme de pin jonchaient Votre jardin marin où j’ai laissé mes rames Et mon couteau punique au pied de ce pê
34 (1903) Le Larron « Le Larron »
Et des amandes de pomme de pin jonchaient Votre jardin marin où j’ai laissé mes rames Et mon couteau punique au pied de ce pê
35 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
. Une morte, assise sur un banc, Près d’un buisson d’épine-vinette, Laissait un étudiant, Agenouillé à ses pieds, Lui parler d
36 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
. Une morte, assise sur un banc, Près d’un buisson d’épine-vinette, Laissait un étudiant Agenouillé à ses pieds, Lui parler de
/ 36