Adieu ! voici le boute-selle Il disparut dans un tournant Et mourut
là-bas
tandis qu’elle Riait au Destin surprenant
té longue Elle est passée enfin Demain sera ce que fut aujourd’hui Et
là-bas
sur le château enchanté Nous sommes las ce soir M
automne Qui cache les hameaux pauvres et vergogneux. En s’en allant
là-bas
le paysan chantonne Une chanson d’amour et d’infi
La nuit arrive tout à coup Comme l’amour dans ces ruines. Du Rhin,
là-bas
, sortent le cou, Des niebelungs et des ondines.
nes La reine des prés va fleurir Une petite hutte dans la forêt
Là-bas
plus blanche est la blessure [à gauche, vertica
La reine des prés va fleurir Une petite hutte dans la forêt
Là-bas
plus blanche est la blessure [à gauche, vertica
chanter Mais l’effraie ululant il trembla dans sa cage : « Ce cyprès
là-bas
a l’air du pape en voyage Sous la neige. » — « Le
du vieux bourgmestre brode une étole Pour la fête du curé. » La forêt
là-bas
Grâce au vent chantait à voix grave de grand orgu
synagogue en longeant le Rhin Et les coteaux où les vignes rougissent
là-bas
. Ils se disputent et crient des choses qu’on os
L’emmenèrent, se sont flétris dans mon jardin. Venez tous avec moi,
là-bas
, sous les quinconces. Ne pleure pas, ô joli fou d
L’emmenèrent, se sont flétris dans mon jardin. Venez tous avec moi,
là-bas
, sous les quinconces. Ne pleure pas, ô joli fou d
L’emmenèrent, se sont flétris dans mon jardin. Venez tous avec moi,
là-bas
, sous les quinconces. Ne pleure pas, ô joli fou d
s un charretier du neuf charroi de Nîmes L’Amour dit Reste ici mais
là-bas
les obus Epousent ardemment et sans cesse les but
lent contre mes grands cris Vos terribles bouches muettes. * Il y a
là-bas
la merveille. Au prix d’elle que valez-vous ? Le
halent contre mes grands cris Vos terribles bouches muettes. Il y a
là-bas
la merveille. Au prix d’elle, que valez-vous ? Le
pandant tout le sang des pastèques Et du blond empereur qu’on fusilla
là-bas
. Les tableaux que tu peins, tu les vis au Mexi
ses Madame Salmajour avait appris en Océanie à tirer les cartes C’est
là-bas
qu’elle avait eu encore l’occasion de participer
déroulés. Les chevaliers criaient : « Loreley ! Loreley ! » — Tout
là-bas
sur le Rhin s’en vient une nacelle. Et mon amant
que Barrabas, « Cornu comme les mauvais anges, « Quel Belzébuth es-tu
là-bas
, « Nourri d’immondice et de fange ? « Nous n’iron