Voyage (incipit : « Du joli bateau de Port-Vendres ») A M. P. Du
joli
bateau de Port-Vendres Tes yeux étaient les matel
r le Rhin, Des dames regardaient du haut de la montagne. Vous êtes si
jolies
! Mais la barque s’éloigne. Qui donc a fait pleur
nes rhénanes, Sur un fifre lointain, un air de régiment. Le mai, le
joli
mai a paré les ruines De lierre, de vigne vierge
! la charmante chose Quitter un pays morose Pour Paris Paris
joli
Qu’un jour Dut créer l’Amour Ah ! la charmant
L’Adieu du cavalier Ah Dieu ! que la guerre est
jolie
Avec ses chants ses longs loisirs Cette bague je
croire De nos deux étranges destins Du boulevard de la Chapelle Du
joli
Montmartre et d’Auteuil Je me souviens murmure-t-
assé C’est le printemps, viens-t’en, Pâquette, Te promener au bois
joli
. Les poules dans la cour caquètent, L’aube au cie
es kilomètres pendant que râlait Le vent d’ouest J’avais quitté les
jolis
bois Les écureuils y sont restés Ma pipe essaya
des kilomètres pendant que râlait Le vent d’ouest J’avais quitté le
joli
bois Les écureuils y sont restés Ma pipe essayait
Venez tous avec moi, là-bas, sous les quinconces. Ne pleure pas, ô
joli
fou du roi ; Prends cette tête au lieu de ta maro
Venez tous avec moi, là-bas, sous les quinconces. Ne pleure pas, ô
joli
fou du roi ; Prends cette tête au lieu de ta maro
Venez tous avec moi, là-bas, sous les quinconces. Ne pleure pas, ô
joli
fou du roi ; Prends cette tête au lieu de ta maro
sage téléphonique Traumatisme géant Il fait couler les yeux Voilà une
jolie
jeune feuille parmi les jeunes Turinaises Le pauv
sage téléphonique Traumatisme géant Il fait couler les yeux Voilà une
jolie
jeune fille parmi les jeunes Turinaises Le pauvre
Schinderhannes armé. Le brigand près de sa brigande Hennit d’amour au
joli
mai. Benzel accroupi lit la bible Sans voir que
principal au paysage à mon dernier voyage en chemin de fer et quelles
jolies
rumeurs dans le poteaux électriques sur les route
i pas le droit de l’aimer Il faut que je reste ici Où l’on fait de si
jolies
couronnes mortuaires en perles Il faudra que je t
i pas le droit de l’aimer Il faut que je reste ici Où l’on fait de si
jolies
couronnes mortuaires en perles Il faudra que je
raits des grands hommes et mille titres divers J’ai vu ce matin une
jolie
rue dont j’ai oublié le nom Neuve et propre du so
s’il sait voler qu’on l’appelle voleur Les anges voltigent autour du
joli
voltigeur Icare Enoch Elie Apollonius de Thyane F
rtraits des grands hommes et mille titres divers J’ai vu ce matin une
jolie
rue dont j’ai oublié le nom Neuve et propre du so
s’il sait voler qu’on l’appelle voleur Les anges voltigent autour du
joli
voltigeur Icare Enoch Elie Apollonius de Thyane F
agellez, flagellez les nuées du coucher Qui tendent sans espoir de si
jolis
culs roses. Et, c’est le soir, les fleurs de jour
mbre fleuve, je me rappelle Les ombres qui passaient n’étaient jamais
jolies
. * * * [« Je n’ai plus même pitié de moi »]