éléphonique Traumatisme géant Il fait couler les yeux Voilà une jolie
jeune
feuille parmi les jeunes Turinaises Le pauvre jeu
géant Il fait couler les yeux Voilà une jolie jeune feuille parmi les
jeunes
Turinaises Le pauvre jeune homme se mouchait dans
Petit balai Je nettoyai le trou Voilà qu’un
jeune
fou Par derrière me pince la taille Le ba
’écoute On fore dans la direction « des bruits entendus » Les
jeunes
de la classe 1915 Et ces fils de fer électrisés N
coute On fore dans la direction « des bruits entendus » Les
jeunes
de la classe 1915 Et ces fils de fer électrisés N
écoute, On fore dans la direction des bruits « entendus »… Les
jeunes
de la classe 1915, [é
er alors De ce péché sexagénaire ? » « J’ai l’âme
jeune
en un vieux corps, J’aime me rappeler ce beau péc
e en regardant La barbe rougie au henné Du Soleil qui ressemble A ces
jeunes
marchands barbus Abrités sous leur ombrelle blanc
jamais quittés, Deux matelots qui ne s’étaient jamais parlé, Le plus
jeune
en mourant tomba sur le côté.
ent jamais quittés : L’aîné portait au cou une chaîne de fer, Le plus
jeune
mettait ses cheveux blonds en tresse. Ouvrez-mo
e géant Il fait couler les yeux Voilà une jolie jeune fille parmi les
jeunes
Turinaises Le pauvre jeune homme se mouchait dans
cès rend les gens stupides et tranquilles A l’Institut des
jeunes
aveugles on a demandé N’avez-vous point ici de je
l’Institut des jeunes aveugles on a demandé N’avez-vous point ici de
jeune
aveugle ailé O Bouches l’homme est à la recherc
L’Ignorance Icare Soleil je suis
jeune
et c’est à cause de toi Mon ombre pour être faust
nt une pipe Le lièvre détale et voici un russieau que j’aime Et cette
jeune
femme nous salue charretiers
iques De l’humanité. L’étudiant passa une bague A l’annulaire de la
jeune
morte : — Voici le gage de mon amour, De nos fian
ts. A l’avant du bateau que je gouvernais, Un mort parlait avec une
jeune
femme Vêtue d’une robe jaune, D’un corsage noir A
iques De l’humanité. L’étudiant passa une bague A l’annulaire de la
jeune
morte : Voici le gage de mon amour, De nos fiança
ts, A l’avant du bateau que je gouvernais, Un mort parlait avec une
jeune
femme Vêtue d’une robe jaune, D’un corsage noir A
il Et soudain le printemps d’amour et d’héroïsme Amena par la main un
jeune
jour d’avril. Les voies qui viennent de l’ouest
iner Vous n’êtes que des masques sur des faces masquées Il souriait
jeune
nageur entre les rives Et les noyés flottant sur
Paris entre la rue Aumont-Thiéville et l’avenue des Ternes Voilà la
jeune
rue et tu n’es encore qu’un petit enfant Ta mère
Paris entre la rue Aumont-Thiéville et l’avenue des Ternes Voilà la
jeune
rue et tu n’es encore qu’un petit enfant Ta mère
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