Attention on va jeter l’ancre Attention à l’encre que l’on
jette
Il serait bon que vous vinssiez du ciel Le chèvre
st-il donc deux dans Grenade Qui pleurent sur ton seul péché Ici l’on
jette
la grenade Qui se change en un œuf coché Puisqu
’abri caverne Je me jette vers toi et il me semble aussi que tu te
jettes
vers moi Une force part de nous qui est un feu so
ue en ont péri. Mes yeux ce sont des flammes, et non des pierreries
Jetez
, jetez aux flammes cette sorcellerie. — — Je fl
nt péri. Mes yeux ce sont des flammes, et non des pierreries Jetez,
jetez
aux flammes cette sorcellerie. — — Je flambe da
Le Brasier A mon ami, le grand poète P.-N. Roinard. I J’ai
jeté
dans le noble feu Que je transporte et que j’ador
ncore rire. La table et les deux verres devinrent un mourant qui nous
jeta
le dernier regard d’Orphée. Les verres tombèrent,
e est la nourriture que tous espèrent, Ni : parce que nos verres nous
jettent
encore une fois le regard d’Orphée mourant, Ni :
suis jeune et c’est à cause de toi Mon ombre pour être fauste je l’ai
jetée
Pardon je ne fais pas plus d’ombre qu’une étoile
sser une pipe de terre qui est vraiment mauvaise il faut aussi que je
jette
quelques pipes en bois qui petent vraiment trop p
faire la part des choses Et il n’y a pas plus de folie chez celui qui
jette
les grenades que chez celui qui plume les patates
comme des yeux d’escargots Et les obus en tombant sont des chiens qui
jettent
de la terre avec leurs pattes après avoir fait le
i ressemblait à Mon amour, vint à ma rencontre, Et le regard qu’il me
jeta
Me fit baisser les yeux de honte. Je suivis ce
xieux, seul et debout, comme une borne. Seigneur, le Christ est nu.
Jetez
, jetez sur lui La robe sans couture. Eteignez les
seul et debout, comme une borne. Seigneur, le Christ est nu. Jetez,
jetez
sur lui La robe sans couture. Eteignez les ardeur
ique se tut et ce furent des pourparlers avec le public Qui sou à sou
jeta
sur le tapis la somme de deux francs cinquante Au
comme des dieux noyés Et la mer au soleil ne supporte que l’ombre Que
jettent
des oiseaux les ailes éployées La parole est so
que se tut et ce furent des pourparlers avec le public, Qui sou à sou
jeta
sur le tapis la somme de deux francs cinquante Au
s et chantaient l’hymne à la belle mais noire Les chevaucheurs nous
jetèrent
dans l’avenir Les alcancies pleines de cendre ou
et chantaient l’hymne à la belle, mais noire. Les chevaucheurs nous
jetèrent
dans l’avenir Les alcancies pleines de cendre ou