y Sur la côte du Texas, Entre Mobile et Galveston, il y a Un grand jardin tout plein de roses ; Il contient aussi une villa

villa Qui est une grande rose. Une femme se promène souvent Dans le jardin toute seule, Et quand je passe sur la route, bord

Enfance Au jardin des cyprès, je filais en rêvant, Suivant longtemp

ouilles. Et pour moi les cyprès n’étaient que des quenouilles, Et mon jardin , un monde où je vivais exprès Pour y filer un jou

La Dame Toc toc Il a fermé sa porte Les lis du jardin sont flétris Quel est donc ce mort qu’on emporte

er leurs dédains Et que la grenade est touchante Dans nos effroyables jardins

Le Retour Toc, toc… « Il a fermé sa porte. Les lys du jardin sont flétris… Quel est donc ce mort qu’on emporte

Clotilde L’anémone et l’ancolie Ont pourri dans le jardin Où dort la Mélancolie Entre l’Amour et le Dédain.

Vers le Sud Mes désirs étaient-ils ces jardins sans limite Où le crapaud module un tendre cri d’

Vers le Sud Mes désirs étaient-ils ces jardins sans limite Où le crapaud module un tendre cri d’

nith          Tous ces regrets                                Ces jardins sans limite Où le crapaud module un tendre cri

nt                          Un clair de lune                  Dans un jardin pacifique Plein d’eaux vives et de jardiniers end

Saltimbanques Dans la plaine les baladins S’éloignent au long des jardins , Devant l’huis des auberges grises, Par les villa

ois dames et l’enfant vivaient à Cologne, Le haricot poussait dans un jardin rhénan Et le peintre ayant vu de hauts vols de ci

quelques oranges [à droite, verticalement de droite à gauche] DANS LE JARDIN          Et nous n’avons rien dit              

oré Ispahan aux musiques du matin Réveille l’odeur des roses de ses jardins J’ai parfumé mon âme A la rose Pour ma vie enti

uand vos soldats, ô roi Hérode L’emmenèrent, se sont flétris dans mon jardin . Venez tous avec moi, là-bas, sous les quinconc

andé tant de ces bouteilles longues Comme les longs cyprès d’un grand jardin rhénan Un phonographe énamouré pour dix pfening

and vos soldats, ô roi Hérode, L’emmenèrent, se sont flétris dans mon jardin . Venez tous avec moi, là-bas, sous les quinconc

and vos soldats, ô roi Hérode, L’emmenèrent, se sont flétris dans mon jardin . Venez tous avec moi, là-bas, sous les quinconc

Le Brasier III Descendant des hauteurs où pense la lumière Jardins rouant plus haut que tous les ciels mobiles, L’av

Dans le jardin d’Anna Certes si nous avions vécu en l’an dix-

Dans le Palais de Rosemonde On voit venir, au fond du jardin , mes pensées Qui sourient du concert joué par les

. L’air tremble de flammes et de prières Le cimetière est un beau jardin Plein de saules gris et de romarins Il vous vient

chairs fouettées des roses de la roseraie On voit venir au fond du jardin mes pensées Qui sourient du concert joué par les

ting Gramophones z z z z z z z z z z z z ou ou ou o o o o o o de vos jardins fleuris fermez les portes Les chaussures neuves d

ronds comme des âmes Et des amandes de pomme de pin jonchaient Votre jardin marin où j’ai laissé mes rames Et mon couteau pun

ien de fleurs Nous aurons des baisers florentins sans le dire Mais au jardin ce soir tu vins sage et voleur * *   * Ceux de

les brûlures. III Descendant des hauteurs où pense la lumière Jardins rouant plus haut que tous les ciels mobiles L’ave

es brûlures. III Descendant des hauteurs où pense la lumière, Jardins rouant plus haut que tous les ciels mobiles, L’av

ronds comme des âmes Et des amandes de pomme de pin jonchaient Votre jardin marin où j’ai laissé mes rames Et mon couteau pun

n de fleurs, Nous aurons des baisers florentins sans le dire, Mais au jardin , ce soir, tu vins, sage et voleur. * *    * Ceu

météores Ils fleurissaient en l’air pendant ces nuits où rien ne dort Jardins de la lumière où j’ai cueilli des bouquets Tu d

L’odeur des fleuves dans leurs villes, Le parfum des fleurs dans les jardins publics, L’odeur d’un petit chien, ô Corneille Ag

iver est mort tout enneigé ; On a brûlé les ruches blanches. Dans les jardins et les vergers Les oiseaux chantent sur les branc

ait la poésie, Et les roses de l’électricité s’ouvrent encore Dans le jardin de ma mémoire. Pardonnez-moi mon ignorance ; Par

armi les algues nagent les poissons images du Sauveur Tu es dans le jardin d’une auberge aux environs de Prague Tu te sens t

armi les algues nagent les poissons images du Sauveur Tu es dans le jardin d’une auberge aux environs de Prague Tu te sens t