sans titre (incipit : « Le vent souffle dans l’île. Il a plu, l’herbe
humide
») Le vent souffle dans l’île. Il a plu, l’her
u, l’herbe humide ») Le vent souffle dans l’île. Il a plu, l’herbe
humide
Fille de celle-là qu’il cueillait en rêvant Prend
e est belle et touchante, Pan sifflote dans la forêt, Les grenouilles
humides
chantent.
n’ai confié aucun secret sinon une chanson énigmatique Aux tourbières
humides
Les bruyères fleurant le miel Attiraient les ab
e cœur et leur bec cogner aux vitres Maison
humide
Maison ardente
ar tout notre or Morte pendue à l’hameçon… c’est la danse bleue L’
humide
voix des acrobates des maisons Grimace parmi le
aroi adverse qui semble en nougat On voit à gauche et à droite fuir l’
humide
couloir désert Où meurt étendue une pelle à la fa
es livides Du printemps cher aux pauvres gens Qui resourient les yeux
humides
. Et moi j’ai le cœur aussi gros Qu’un cul de da
s ventres pourront seuls nier l’aséité Vois les vases sont pleins d’
humides
fleurs morales Va-t’en mais dénudé puisque tout e
ventres pourront seuls nier l’aséité. Vois, les vases sont pleins d’
humides
fleurs morales. Va-t’en mais dénudé, puisque tout
▲