sation quoi qu’on pense n’est plus fondée sur les canons de la beauté
humaine
tous les efforts des artistes depuis l’impression
les foules et il en a exprimé la vie par le moyen de quelques ombres
humaines
il n’attend pas que le temps donne de l’originali
brûle divinement Mon corps qu’être divin voulut mon ignorance Et ciel
Humains
je tourne en l’éblouissement Bateliers Un dieu
la peste aura purifié la terre, Vivront en doux amour les bienheureux
humains
, Paisibles et très purs car les lacs et les mers,
ile, une ville entière avec l’intérieur de ses maisons Et cette ombre
humaine
qui surgit aux carrefours
ment nous mènent. A sons perdus, leurs violons Font danser notre race
humaine
Sur la descente, à reculons. Destins, destins i
e point anthropophage Et qu’il fallût tant de feu pour rôtir le corps
humain
C’est pourquoi l’air a un petit goût empyreumatiq
ent, puis je parus moi-même Qu’ont formé tous les corps et les choses
humaines
. Temps passés, trépassés, les dieux qui me form
jà se closent Et les souris dans l’ombre incantent le plancher. Les
humains
savent tant de jeux : l’amour, la mourre. L’amour
ombre équivoque et tendre est le deuil de ta chair Et sombre elle est
humaine
et puis la nôtre aussi Va-t’en le crépuscule a de
bre équivoque et tendre est le deuil de ta chair, Et sombre, elle est
humaine
et puis la nôtre aussi. Va-t’en, le crépuscule a