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1 (1917) [Calligramme (maison)] « [Calligramme (maison)] »
sation quoi qu’on pense n’est plus fondée sur les canons de la beauté humaine tous les efforts des artistes depuis l’impression
2 (1917) [Calligramme (lunettes)] « [Calligramme (lunettes)] »
les foules et il en a exprimé la vie par le moyen de quelques ombres humaines il n’attend pas que le temps donne de l’originali
3 (1914) L'Ignorance « L’Ignorance »
brûle divinement Mon corps qu’être divin voulut mon ignorance Et ciel Humains je tourne en l’éblouissement Bateliers Un dieu
4 (1903) Avenir « Avenir »
la peste aura purifié la terre, Vivront en doux amour les bienheureux humains , Paisibles et très purs car les lacs et les mers,
5 (1917) [Page 1] « [Page 1] »
ile, une ville entière avec l’intérieur de ses maisons Et cette ombre humaine qui surgit aux carrefours
6 (1909) [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] « [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] »
ment nous mènent. A sons perdus, leurs violons Font danser notre race humaine Sur la descente, à reculons. Destins, destins i
7 (1917) Merveille de la guerre « Merveille de la guerre »
e point anthropophage Et qu’il fallût tant de feu pour rôtir le corps humain C’est pourquoi l’air a un petit goût empyreumatiq
8 (1911) Cortège « Cortège »
ent, puis je parus moi-même Qu’ont formé tous les corps et les choses humaines . Temps passés, trépassés, les dieux qui me form
9 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
jà se closent Et les souris dans l’ombre incantent le plancher. Les humains savent tant de jeux : l’amour, la mourre. L’amour
10 (1911) Le Larron « Le Larron »
ombre équivoque et tendre est le deuil de ta chair Et sombre elle est humaine et puis la nôtre aussi Va-t’en le crépuscule a de
11 (1903) Le Larron « Le Larron »
bre équivoque et tendre est le deuil de ta chair, Et sombre, elle est humaine et puis la nôtre aussi. Va-t’en, le crépuscule a
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