Reconnaissance Un seul bouleau crépusculaire Pâlit au seuil de l’
horizon
Où fuit la mesure angulaire Du cœur à l’âme et la
tin rose de l’euphorbe verruquée Voici les nez des soldats invisibles
Horizon
invisible je chante Que les civils et les femmes
rs Envolez-vous essaims des avions blonds ainsi que les avettes Moi l’
horizon
je fais la roue comme un grand paon Ecoutez renaî
r Il se fait une muse ardente Il regarde longtemps l’
horizon
Couteaux tonneaux d’eaux Des lanternes allumées s
outeaux tonneaux d’eaux Des lanternes allumées se sont croisées Moi l’
horizon
je combattrai pour la victoire Je suis l’invisibl
à Mlle Pagès Un seul Bouleau crépusculaire Pâlit au seuil de l’
horizon
Où fuit la mesure angulaire Du cœur à l’âme et la
à Mlle Pagès Un seul Bouleau crépusculaire Pâlit au seuil de l’
horizon
Où fuit la mesure angulaire Du cœur à l’âme et la
ine une infirmière plus blanche que l’hiver Eblouissant tandis qu’à l’
horizon
décroît Un régiment de jours plus bleus que les c
avé je vais me faire raser Ensuite bleu de ciel je me confonds avec l’
horizon
jusqu’à la nuit et c’est un plaisir trés doux De
s sanglots Secouaient le monarque ainsi que la carène Qui tremble à l’
horizon
sur l’écume des flots La chanson des rameurs su
on chantait courbé dans sa vigne Un vigneron sans bouche au fond de l’
horizon
Un vigneron qui était lui-même la bouteille vivan
mie, J’ose à peine regarder la divine mascarade — Quand bleuira sur l’
horizon
la Désirade ? — Au delà de notre atmosphère s’é
mes épaules nues Et j’ai pris mon essor vers ta face splendide Les
horizons
terrestres se sont étalés Des déserts de Lybie au
les rives qui moururent. Seuls, des bateaux d’enfant tremblaient à l’
horizon
. Un tout petit bouquet, flottant à l’aventure, Co
les rives qui moururent. Seuls, des bateaux d’enfant tremblaient à l’
horizon
. Un tout petit bouquet, flottant à l’aventure, Co
mie. J’ose à peine regarder la divine mascarade — Quand bleuira sur l’
horizon
la Désirade ? — Au delà de notre atmosphère s’é
J’ose à peine regarder la divine mascarade. ‒ Quand bleuira sur l’
horizon
la Désirade ? ‒ Au delà de notre atmosphère s’é
uf mon ombre. Les dragues, les ballots, les sirènes mi-mortes ! A l’
horizon
brumeux s’enfonçaient les trois-mâts. Les vents o
nt dans les serres le crâne d’Adam la première tête L’aigle fond de l’
horizon
en poussant un grand cri Et d’Amérique vient le p
nt dans les serres le crâne d’Adam la première tête L’aigle fond de l’
horizon
en poussant un grand cri Et d’Amérique vient le p