[Calligramme (cheval)] [cheval]
Homme
vous trouverez ici une nouvelle représentation de
tation de l’univers en ce qu’il a de plus poétique et de plus moderne
Homme
Homme Homme Homme Homme Homme Homme Homme Laissez
de l’univers en ce qu’il a de plus poétique et de plus moderne Homme
Homme
Homme Homme Homme Homme Homme Homme Laissez-vous
univers en ce qu’il a de plus poétique et de plus moderne Homme Homme
Homme
Homme Homme Homme Homme Homme Laissez-vous allez
s en ce qu’il a de plus poétique et de plus moderne Homme Homme Homme
Homme
Homme Homme Homme Homme Laissez-vous allez à cet
e qu’il a de plus poétique et de plus moderne Homme Homme Homme Homme
Homme
Homme Homme Homme Laissez-vous allez à cet art où
l a de plus poétique et de plus moderne Homme Homme Homme Homme Homme
Homme
Homme Homme Laissez-vous allez à cet art où le su
plus poétique et de plus moderne Homme Homme Homme Homme Homme Homme
Homme
Homme Laissez-vous allez à cet art où le sublime
poétique et de plus moderne Homme Homme Homme Homme Homme Homme Homme
Homme
Laissez-vous allez à cet art où le sublime n’excl
Acousmate (incipit : « Paix sur terre aux
hommes
de bonne volonté ») Paix sur terre aux hommes
« Paix sur terre aux hommes de bonne volonté ») Paix sur terre aux
hommes
de bonne volonté Les maris voudraient agir l’outi
maris voudraient agir l’outil n’a pas de manche Sur les doigts de cet
homme
on voit des tâches d’encre Les hommes et les FEMM
de manche Sur les doigts de cet homme on voit des tâches d’encre Les
hommes
et les FEMMES sont tous insermentés Les bergers
L’Enfer Un
homme
a traversé le désert sans rien boire Et parvient
sur les bords de la mer Il a plus soif encore à voir le flot amer Cet
homme
est mon désir, la mer est ta victoire. Tout hab
e brûlât l’horrible main de gloire. Le pendu, le beau masque et cet
homme
altéré Descendent dans l’enfer que je creuse moi-
: — Hébé ! La belle Dit : « Oui ! » Puis elle Jouit Tout comme Son
homme
. L’abbé de Thélème.
: — Hébé ! La belle Dit : « Oui ! » Puis elle Jouit Tout comme Son
homme
. L’abbé de Thélème.
itre Tout le peuple se précipita sur la place publique Il vint des
hommes
blancs des nègres des jaunes et quelques rouges I
e jatte des manchots des boiteux Il vint même des prêtres et quelques
hommes
mis avec élégance Et hors la place la ville sembl
de route, Genoux en sang, mais que voulez-vous que ça foute ? Tant d’
hommes
sur le front meurent à tout moment Que c’est un v
e la guerre où nous sommes. Le reste est dans la joie et la vertu des
hommes
.
étoiles Or nous savons qu’en nous beaucoup d’
hommes
respirent Qui vinrent de
tres causes Mon pauvre cœur mon cœur brisé Pareil au cœur de tous les
hommes
Voici voici nos mains que
me (maison)] [maison] Survage est le nom qui lui convient car l’
homme
moderne est un sauvage supérieur notre civilisati
en des Négrities Des Eldorados ou bien des Cimméries Rivière d’
hommes
forts et d’obus dont l’orient chatoie Diam
plat fumant Le repas n’est pas une action vile Et tous les
hommes
devraient avoir du pain La mère et les deux fils
que les repas sont beaux, sont sacrés Qui font vivre les
hommes
.
La Jolie Rousse Me voici devant tous un
homme
plein de sens Connaissant de la vie et de la mort
s dans l’effroyable lutte Je sais d’ancien et de nouveau autant qu’un
homme
seul pourrait des deux savoir Et sans m’inquiéter
se pavanent Dans les roses-thé qui se fanent Mais riez riez de moi
Hommes
de partout et surtout gens d’ici Car il y a tant
it violente et violette et sombre et pleine d’or par moments Nuit des
hommes
seulement Nuit du 24 septembre 1915 Demain l’assa
ntable cri profond devenait plus intense de minute en minute Nuit des
hommes
seulement Nuit qui criait comme une femme qui acc
lette et sombre et pleine d’or par moments Nuit des
hommes
seulement Nuit du 24 septembre
it qui criait comme une femme qui accouche Nuit des
hommes
seulement 24 Septembre 1915
bien des Négrities Des Eldorados ou bien des Cimmeries Rivière d’
hommes
forts et d’obus dont l’orient chatoie Diamants qu
en des Négrities Des Eldorados ou bien des Cimmeries Rivière d’
hommes
forts et d’obus dont l’orient chatoie Diamants qu
s vents, une amazone, un concombre des grappes de raisin, un profil d’
homme
à la tête bandée une femme nue qui rêve des cheva
le de vulgaires pensées, Vieilles et saines et sensées, Le gars ! ô l’
homme
aux pieds blessés ! Au bois tu n’as point vu de
que tu coupas Un dieu meurt — tu ne le sais pas ! — Ah ! marche l’
homme
sans déesses Ni tutélaires ni traîtresses, Marche
dus Rails qui ligotez les nations Nous ne sommes que deux ou trois
hommes
libres de tous liens Donnons-nous la main Viole
chèvre a regardé les hameaux qui défaillent A l’heure où fatigués les
hommes
qui travaillent Au verger pâle, au bois plaintif
èvre a regardé les hameaux qui défaillent A l’heure où, fatigués, les
hommes
qui travaillent Au verger pâle, au bois plaintif
affreuses Que penses-tu des
hommes
de ton enfance [à droite] Tu connais la bravoure
s mériennes Des millions de mouches éventaient une splendeur Quand un
homme
sans yeux sans nez et sans oreilles Quittant le S
lles Quittant le Sébasto entra dans la rue Aubry-le-Boucher Jeune l’
homme
était brun et ce couleur de fraise sur les joues
cher Jeune l’homme était brun et ce couleur de fraise sur les joues
Homme
Ah! Ariane Il jouait de la flûte et la musique di
des parfumeurs En somme rieurs vous n’avez pas tiré grand chose des
hommes
Et à peine avez-vous extrait un peu de graisse de
La belle Américaine Qui rend les
hommes
fous Dans deux ou trois semain
La belle Américaine Qui rend les
hommes
fous Dans deux ou trois semain
ontra ça La belle Américaine Qui rend les
hommes
fous Dans deux ou trois semaines
s grisée La belle Américaine Qui rend les
hommes
fous Dans deux ou trois semaines
quand je devins brigadier, Un soir, dans le train de dix heures, D’un
homme
correctement mis Voyageant avec un permis Je tâta
te crée à jamais pour qu’après mon départ, Tu transmettes mon nom aux
hommes
en retard Toi, la vie et l’amour, ma gloire et mo
te crée à jamais pour qu’après mon départ Tu transmettes mon nom aux
hommes
en retard, Toi, la vie et l’amour, ma gloire et m
leur bouche Ou près des narines C’est un rose plein de traitrise Cet
homme
portait-il ainsi sur le dos La teinte ignoble de
re Je le regardai longtemps Son visage m’échappe entièrement C’est un
homme
sans tête Un autre enfin avait l’air d’un voyou D
musique des formes Détruisit celle de l’orgue mécanique Que moulait l’
homme
au visage couvert d’ancêtres Le petit saltimban
bouche, Ou près des narines. C’est un rose plein de traîtrise. Cet
homme
portait-il ainsi sur le dos La teinte ignoble de
Je le regardai longtemps. Son visage m’échappe entièrement, C’est un
homme
sans tête. Un autre enfin avait l’air d’un voyo
musique des formes Détruisit celle de l’orgue mécanique Que moulait l’
homme
au visage couvert d’ancêtres. Le petit saltimba
rira à Abraham. Ils déchanteront sans mesure et les voix graves des
hommes
Feront gémir un Léviathan au fond du Rhin comme u
, Puisque, vous le savez, je ne vous aime pas. Rayons d’un regard d’
homme
, ô cordes de ma lyre, C’est vous qui résonnez qua
es acteurs inhumains, claires bêtes nouvelles, Donnent des ordres aux
hommes
apprivoisés O Déchirée que les fleuves ont repris
lles de ce côté-là Qu’est-ce que tu vois mon vieux M. D… 90 ou 324 un
homme
en l’air un veau qui regarde à travers le ventre
lles de ce côté là Qu’est-ce que tu veux mon vieux M. D. 90 ou 324 un
homme
en l’air un veau qui regarde à travers le ventre
ouïr les voix ligures Au son des cinyres des Lydiennes nues Or les
hommes
ayant des masques de théâtre Et les femmes ayant
sard qui coule au sablier Voleur connais-tu mieux les lois malgré les
hommes
Veux-tu le talisman heureux de mon collier Larr
oignent trop vite Et des bandes souvent qui fuyaient aux éclairs Un
homme
bègue ayant au front deux jets de flammes Passa m
re de la concierge et la concierge laisseront tout passer Si tu es un
homme
tu m’accompagneras ce soir Il suffirait qu’un typ
tue de Memnon. Après, sous le soleil pourriront les cadavres Et les
hommes
mourront, nombreux, en liberté. — Le soleil et le
ver aimé Tu t’es promené à Leipzig avec une femme mince déguisée en
homme
Intelligence car voilà ce que c’est qu’une femme
ver aimé Tu t’es promené à Leipzig avec une femme mince déguisée en
homme
Intelligence car voilà ce que c’est qu’une femme
ver armé Tu t’es promené à Leipzig avec une femme mince déguisée en
homme
Intélligence car voilà ce qui est qu’une femme in
r les voix ligures Au son des cinyres des Lydiennes nues. » Or, les
hommes
ayant des masques de théâtre Et les femmes ayant
d qui coule au sablier ? Voleur, connais-tu mieux les lois malgré les
hommes
? Veux-tu le talisman heureux de mon collier ?
pour la vindicte Et des bandes souvent qui fuyaient aux éclairs. Un
homme
bègue ayant au front deux jets de flammes Passa,
Vendémiaire
Hommes
de l’avenir souvenez-vous de moi Je vivais à l’ép
Nord Tous les grains ont mûri pour cette soif terrible Mes grappes d’
hommes
forts saignent dans le pressoir Tu boiras à longs
maux les plantes Les cités les destins et les astres qui chantent Les
hommes
à genoux sur la rive du ciel Et le docile fer not
, il y avait une sorcière blonde Qui laissait mourir d’amour tous les
hommes
à la ronde Devant son tribunal l’évêque la fit
es acteurs inhumains, claires bêtes nouvelles, Donnent des ordres aux
hommes
apprivoisés O Déchirée que les fleuves ont repris
es acteurs inhumains, claires bêtes nouvelles, Donnent des ordres aux
hommes
apprivoisés,
re, égale de l’amour. « Qu’il monte de la fange ou soit une ombre d’
homme
« Il sera bien mon fils, mon ouvrage immortel « L
n a demandé N’avez-vous point ici de jeune aveugle ailé O Bouches l’
homme
est à la recherche d’un nouveau langage Auquel le
mprend que l’amour de l’antique Le goût de l’anticaille Soit venu aux
hommes
dès le temps des cavernes Tout y était si précieu
cœur. Puis, sur terre il venait mille peuplades blanches Dont chaque
homme
tenait une rose à la main Et le langage qu’ils in
Notre armée invisible est une belle nuit constellée Et chacun de nos
hommes
est un astre merveilleux O nuit,
leur vie passée. Alors, je les dénombrai. Ils étaient quarante-neuf
hommes
, Femmes et enfants Qui embellissaient à vue d’œil
leur vie passée. Alors, je les dénombrai. Ils étaient quarante-neuf
hommes
. Femmes et enfants Qui embellissaient à vue d’œil
s à 25 centimes pleines d’aventures policières O portraits des grands
hommes
et mille titres divers J’ai vu ce matin une jol
s à 25 centimes pleines d’aventures policières O portraits des grands
hommes
et mille titres divers J’ai vu ce matin une jolie
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