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1 (1917) [Calligramme (cheval)] « [Calligramme (cheval)] »
[Calligramme (cheval)] [cheval] Homme vous trouverez ici une nouvelle représentation de
tation de l’univers en ce qu’il a de plus poétique et de plus moderne Homme Homme Homme Homme Homme Homme Homme Homme Laissez
de l’univers en ce qu’il a de plus poétique et de plus moderne Homme Homme Homme Homme Homme Homme Homme Homme Laissez-vous
univers en ce qu’il a de plus poétique et de plus moderne Homme Homme Homme Homme Homme Homme Homme Homme Laissez-vous allez
s en ce qu’il a de plus poétique et de plus moderne Homme Homme Homme Homme Homme Homme Homme Homme Laissez-vous allez à cet
e qu’il a de plus poétique et de plus moderne Homme Homme Homme Homme Homme Homme Homme Homme Laissez-vous allez à cet art où
l a de plus poétique et de plus moderne Homme Homme Homme Homme Homme Homme Homme Homme Laissez-vous allez à cet art où le su
plus poétique et de plus moderne Homme Homme Homme Homme Homme Homme Homme Homme Laissez-vous allez à cet art où le sublime
poétique et de plus moderne Homme Homme Homme Homme Homme Homme Homme Homme Laissez-vous allez à cet art où le sublime n’excl
2 (1915) Acousmate (incipit : « Paix sur terre aux hommes de bonne volonté ») « Acousmate (incipit : « Paix sur terre aux hommes de bonne volonté ») »
Acousmate (incipit : « Paix sur terre aux hommes de bonne volonté ») Paix sur terre aux hommes
« Paix sur terre aux hommes de bonne volonté ») Paix sur terre aux hommes de bonne volonté Les maris voudraient agir l’outi
maris voudraient agir l’outil n’a pas de manche Sur les doigts de cet homme on voit des tâches d’encre Les hommes et les FEMM
de manche Sur les doigts de cet homme on voit des tâches d’encre Les hommes et les FEMMES sont tous insermentés Les bergers
3 (1912) L'Enfer « L’Enfer »
L’Enfer Un homme a traversé le désert sans rien boire Et parvient
sur les bords de la mer Il a plus soif encore à voir le flot amer Cet homme est mon désir, la mer est ta victoire. Tout hab
e brûlât l’horrible main de gloire. Le pendu, le beau masque et cet homme altéré Descendent dans l’enfer que je creuse moi-
4 (1910) Pyrame et Thisbé « Pyrame et Thisbé »
 : — Hébé ! La belle Dit : « Oui ! » Puis elle Jouit Tout comme Son homme . L’abbé de Thélème.
5 (1910) Pyrame et Thisbé « Pyrame et Thisbé »
 : — Hébé ! La belle Dit : « Oui ! » Puis elle Jouit Tout comme Son homme . L’abbé de Thélème.
6 (1914) Un dernier chapitre « Un dernier chapitre »
itre Tout le peuple se précipita sur la place publique Il vint des hommes blancs des nègres des jaunes et quelques rouges I
e jatte des manchots des boiteux Il vint même des prêtres et quelques hommes mis avec élégance Et hors la place la ville sembl
7 (1915) Poème sans titre (« J’ai tant aimé les arts que je suis artilleur ») « Poème sans titre (« J’ai tant aimé les arts que je suis artilleur ») »
de route, Genoux en sang, mais que voulez-vous que ça foute ? Tant d’ hommes sur le front meurent à tout moment Que c’est un v
e la guerre où nous sommes. Le reste est dans la joie et la vertu des hommes .
8 (1917) Sanglots « Sanglots »
étoiles                         Or nous savons qu’en nous beaucoup d’ hommes respirent                         Qui vinrent de
tres causes Mon pauvre cœur mon cœur brisé Pareil au cœur de tous les hommes                         Voici voici nos mains que
9 (1917) [Calligramme (maison)] « [Calligramme (maison)] »
me (maison)] [maison] Survage est le nom qui lui convient car l’ homme moderne est un sauvage supérieur notre civilisati
10 (1917) De la batterie de tir « De la batterie de tir »
en des Négrities        Des Eldorados ou bien des Cimméries Rivière d’ hommes forts et d’obus dont l’orient chatoie        Diam
11 (1915) Le Repas « Le Repas »
plat fumant           Le repas n’est pas une action vile Et tous les hommes devraient avoir du pain La mère et les deux fils
que les repas sont beaux, sont sacrés              Qui font vivre les hommes .
12 (1918) La Jolie Rousse « La Jolie Rousse »
La Jolie Rousse Me voici devant tous un homme plein de sens Connaissant de la vie et de la mort
s dans l’effroyable lutte Je sais d’ancien et de nouveau autant qu’un homme seul pourrait des deux savoir Et sans m’inquiéter
se pavanent Dans les roses-thé qui se fanent Mais riez riez de moi Hommes de partout et surtout gens d’ici Car il y a tant
13 (1916) Le Désir « Désir »
it violente et violette et sombre et pleine d’or par moments Nuit des hommes seulement Nuit du 24 septembre 1915 Demain l’assa
ntable cri profond devenait plus intense de minute en minute Nuit des hommes seulement Nuit qui criait comme une femme qui acc
14 (1917) Désir « Désir »
lette et sombre et pleine d’or par moments                   Nuit des hommes seulement                   Nuit du 24 septembre
it qui criait comme une femme qui accouche                   Nuit des hommes seulement 24 Septembre 1915
15 (1915) De la Batterie de Tir « De la Batterie de Tir »
bien des Négrities Des Eldorados ou bien des Cimmeries     Rivière d’ hommes forts et d’obus dont l’orient chatoie Diamants qu
16 (1915) De la Batterie de Tir « De la Batterie de Tir »
en des Négrities Des Eldorados ou bien des Cimmeries        Rivière d’ hommes forts et d’obus dont l’orient chatoie Diamants qu
17 (1917) [Calligramme (oiseau)] « [Calligramme (oiseau)] »
s vents, une amazone, un concombre des grappes de raisin, un profil d’ homme à la tête bandée une femme nue qui rêve des cheva
18 (1902) Élégie du voyageur aux pieds blessés « Élégie du voyageur aux pieds blessés »
le de vulgaires pensées, Vieilles et saines et sensées, Le gars ! ô l’ homme aux pieds blessés ! Au bois tu n’as point vu de
que tu coupas Un dieu meurt — tu ne le sais pas ! —  Ah ! marche l’ homme sans déesses Ni tutélaires ni traîtresses, Marche
19 (1913) Liens « Liens »
dus Rails qui ligotez les nations Nous ne sommes que deux ou trois hommes libres de tous liens Donnons-nous la main Viole
20 (1901) Passion « Passion »
chèvre a regardé les hameaux qui défaillent A l’heure où fatigués les hommes qui travaillent Au verger pâle, au bois plaintif
21 (1912) Passion « Passion »
èvre a regardé les hameaux qui défaillent A l’heure où, fatigués, les hommes qui travaillent Au verger pâle, au bois plaintif
22 (1917) Bleuet « Bleuet »
affreuses                                           Que penses-tu des hommes de ton enfance [à droite] Tu connais la bravoure
23 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
s mériennes Des millions de mouches éventaient une splendeur Quand un homme sans yeux sans nez et sans oreilles Quittant le S
lles Quittant le Sébasto entra dans la rue Aubry-le-Boucher Jeune l’ homme était brun et ce couleur de fraise sur les joues
cher Jeune l’homme était brun et ce couleur de fraise sur les joues Homme Ah! Ariane Il jouait de la flûte et la musique di
des parfumeurs En somme rieurs vous n’avez pas tiré grand chose des hommes Et à peine avez-vous extrait un peu de graisse de
24 (1914) Souvenir du Douanier « Souvenir du Douanier »
                  La belle Américaine                    Qui rend les hommes fous                    Dans deux ou trois semain
                  La belle Américaine                    Qui rend les hommes fous                    Dans deux ou trois semain
25 (1914) Le los du Douanier « Le los du Douanier »
ontra ça              La belle Américaine              Qui rend les hommes fous              Dans deux ou trois semaines    
s grisée              La belle Américaine              Qui rend les hommes fous              Dans deux ou trois semaines    
26 (1907) [Poème sans titre (incipit : « Trente ans debout à la frontière »)] « Poème sans titre (incipit : « Trente ans debout à la frontière ») »
quand je devins brigadier, Un soir, dans le train de dix heures, D’un homme correctement mis Voyageant avec un permis Je tâta
27 (1912) Per te præsentit aruspex « Per te præsentit aruspex »
te crée à jamais pour qu’après mon départ, Tu transmettes mon nom aux hommes en retard Toi, la vie et l’amour, ma gloire et mo
28 (1912) Immortalité « Immortalité »
te crée à jamais pour qu’après mon départ Tu transmettes mon nom aux hommes en retard, Toi, la vie et l’amour, ma gloire et m
29 (1914) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
leur bouche Ou près des narines C’est un rose plein de traitrise Cet homme portait-il ainsi sur le dos La teinte ignoble de
re Je le regardai longtemps Son visage m’échappe entièrement C’est un homme sans tête Un autre enfin avait l’air d’un voyou D
musique des formes Détruisit celle de l’orgue mécanique Que moulait l’ homme au visage couvert d’ancêtres Le petit saltimban
30 (1913) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
bouche, Ou près des narines. C’est un rose plein de traîtrise. Cet homme portait-il ainsi sur le dos La teinte ignoble de
Je le regardai longtemps. Son visage m’échappe entièrement, C’est un homme sans tête. Un autre enfin avait l’air d’un voyo
musique des formes Détruisit celle de l’orgue mécanique Que moulait l’ homme au visage couvert d’ancêtres. Le petit saltimba
31 (1904) La Synagogue « La Synagogue »
rira à Abraham. Ils déchanteront sans mesure et les voix graves des hommes Feront gémir un Léviathan au fond du Rhin comme u
32 (1909) Le Départ « Le Départ ») »
, Puisque, vous le savez, je ne vous aime pas. Rayons d’un regard d’ homme , ô cordes de ma lyre, C’est vous qui résonnez qua
33 (1913) Le Brasier - III « Le Brasier »
es acteurs inhumains, claires bêtes nouvelles, Donnent des ordres aux hommes apprivoisés O Déchirée que les fleuves ont repris
34 (1914) Rotsoge « Rotsoge »
lles de ce côté-là Qu’est-ce que tu vois mon vieux M. D… 90 ou 324 un homme en l’air un veau qui regarde à travers le ventre
35 (1914) Rotsoge « Rotsoge »
lles de ce côté là Qu’est-ce que tu veux mon vieux M. D. 90 ou 324 un homme en l’air un veau qui regarde à travers le ventre
36 (1911) Le Larron « Le Larron »
ouïr les voix ligures Au son des cinyres des Lydiennes nues Or les hommes ayant des masques de théâtre Et les femmes ayant
sard qui coule au sablier Voleur connais-tu mieux les lois malgré les hommes Veux-tu le talisman heureux de mon collier Larr
oignent trop vite Et des bandes souvent qui fuyaient aux éclairs Un homme bègue ayant au front deux jets de flammes Passa m
37 (1913) Lundi rue Christine « Lundi rue Christine »
re de la concierge et la concierge laisseront tout passer Si tu es un homme tu m’accompagneras ce soir Il suffirait qu’un typ
38 (1903) Avenir « Avenir »
tue de Memnon. Après, sous le soleil pourriront les cadavres Et les hommes mourront, nombreux, en liberté. — Le soleil et le
39 (1913) Arbre « Arbre »
ver aimé Tu t’es promené à Leipzig avec une femme mince déguisée en homme Intelligence car voilà ce que c’est qu’une femme
40 (1916) Arbre « Arbre »
ver aimé Tu t’es promené à Leipzig avec une femme mince déguisée en homme Intelligence car voilà ce que c’est qu’une femme
41 (1917) Arbre « Arbre »
ver armé Tu t’es promené à Leipzig avec une femme mince déguisée en homme Intélligence car voilà ce qui est qu’une femme in
42 (1903) Le Larron « Le Larron »
r les voix ligures Au son des cinyres des Lydiennes nues. » Or, les hommes ayant des masques de théâtre Et les femmes ayant
d qui coule au sablier ? Voleur, connais-tu mieux les lois malgré les hommes  ? Veux-tu le talisman heureux de mon collier ?
pour la vindicte Et des bandes souvent qui fuyaient aux éclairs. Un homme bègue ayant au front deux jets de flammes Passa,
43 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
Vendémiaire Hommes de l’avenir souvenez-vous de moi Je vivais à l’ép
Nord Tous les grains ont mûri pour cette soif terrible Mes grappes d’ hommes forts saignent dans le pressoir Tu boiras à longs
maux les plantes Les cités les destins et les astres qui chantent Les hommes à genoux sur la rive du ciel Et le docile fer not
44 (1902) La Loreley « La Loreley »
, il y avait une sorcière blonde Qui laissait mourir d’amour tous les hommes à la ronde Devant son tribunal l’évêque la fit
45 (1907) Le Pyrée « Le Pyrée »
es acteurs inhumains, claires bêtes nouvelles, Donnent des ordres aux hommes apprivoisés O Déchirée que les fleuves ont repris
46 (1912) Le Brasier « Le Brasier »
es acteurs inhumains, claires bêtes nouvelles, Donnent des ordres aux hommes apprivoisés,                                     
47 (1912) Merlin et la vieille femme « Merlin et la vieille femme »
re, égale de l’amour. « Qu’il monte de la fange ou soit une ombre d’ homme « Il sera bien mon fils, mon ouvrage immortel « L
48 (1917) La Victoire « La Victoire »
n a demandé N’avez-vous point ici de jeune aveugle ailé O Bouches l’ homme est à la recherche d’un nouveau langage Auquel le
49 (1917) Le palais du tonnerre « Le palais du tonnerre »
mprend que l’amour de l’antique Le goût de l’anticaille Soit venu aux hommes dès le temps des cavernes Tout y était si précieu
50 (1911) Cortège « Cortège »
cœur. Puis, sur terre il venait mille peuplades blanches Dont chaque homme tenait une rose à la main Et le langage qu’ils in
51 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
Notre armée invisible est une belle nuit constellée Et chacun de nos hommes est un astre merveilleux               O nuit,
52 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
leur vie passée. Alors, je les dénombrai. Ils étaient quarante-neuf hommes , Femmes et enfants Qui embellissaient à vue d’œil
53 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
leur vie passée. Alors, je les dénombrai. Ils étaient quarante-neuf hommes . Femmes et enfants Qui embellissaient à vue d’œil
54 (1912) Zône « Zône »
s à 25 centimes pleines d’aventures policières O portraits des grands hommes et mille titres divers J’ai vu ce matin une jol
55 (1913) Zône « Zône »
s à 25 centimes pleines d’aventures policières O portraits des grands hommes et mille titres divers J’ai vu ce matin une jolie
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