opéra toi l’écoutant tu pleures Je flatte de la main le petit canon
gris
Gris comme l’eau de Seine et je songe à Paris M
toi l’écoutant tu pleures Je flatte de la main le petit canon gris
Gris
comme l’eau de Seine et je songe à Paris Mais c
baladins S’éloignent au long des jardins, Devant l’huis des auberges
grises
, Par les villages sans églises. Et les enfants
ardins J’ai parfumé mon âme A la rose Pour ma vie entière Ispahan
grise
et aux faïences bleues Comme si l’on t’avait Fait
llemands Un officier passe au galop Comme un ange bleu dans la plue
grise
Un blessé chemine en fumant une pipe Le lièvre dé
ammes et de prières Le cimetière est un beau jardin Plein de saules
gris
et de romarins Il vous vient souvent des amis qu’
s’y éternisent Et les orgues de Barbarie Y sanglotent dans les cours
grises
; Les fleurs, aux balcons de Paris, Penchent comm
C’est dans la cagnat en rondins voilés d’osier Auprès des canons
gris
voilés tournés vers le nord Que je songe au villa
C’est dans la cagnat en rondins voilés d’osier Auprès des canons
gris
voilés tournés vers le nord Que je songe au villa
venu De vol très indolent me tendre un beau calice. J’ai ri de l’aile
grise
et j’ôte mon cilice Tissé de crins soyeux par de
n talisman Et si tu n’es pas ne droite tu es sinistre Comme une tache
grise
ou le pressentiment Puisque l’absolu choit la c
talisman. Et si tu n’es pas ne droite tu es sinistre Comme une tache
grise
ou le pressentiment. Puisque l’absolu choit, la
e robe jaune, D’un corsage noir Avec des rubans bleus et d’un chapeau
gris
Orné d’une seule petite plume défrisée. — Je vous
e robe jaune, D’un corsage noir Avec des rubans bleus et d’un chapeau
gris
Orné d’une seule plume défrisée. ‒ Je vous aime