c deux dans Grenade Qui pleurent sur ton seul péché Ici l’on jette la
grenade
Qui se change en un œuf coché Puisqu’il en naît
en naît des coqs Infante Entends-les chanter leurs dédains Et que la
grenade
est touchante Dans nos effroyables jardins
roses Nos cœurs pendaient ensemble au même grenadier Et les fleurs de
grenade
en nos regards écloses En tombant tour à tour ont
roses Nos cœurs pendaient ensemble au même grenadier Et les fleurs de
grenade
en nos regards écloses En tombant tour à tour ont
ses Nos cœurs pendent ensemble au même grenadier Et les fleurs de
grenade
en nos regards écloses En tombant tour à tour o
eine et l’enfant d’or agitaient les grelots Dont la fente évoquait la
grenade
qu’égrène Aux échos des récifs le chœur des matel
art des choses Et il n’y a pas plus de folie chez celui qui jette les
grenades
que chez celui qui plume les patates Tu aimes un
int-Quentin Laon Maubeuge Vouziers Nous jetons nos villes comme des
grenades
Nos fleuves sont brandis comme des sabres Nos
fleurs des citronniers tordus Les oiseaux de leur bec ont blessé vos
grenades
Et presque toutes les figues étaient fendues Il
fleurs des citronniers tordus, Les oiseaux de leur bec ont blessé vos
grenades
Et presque toutes les figues étaient fendues. »
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