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1 (1916) Poème (incipit : « Deux lacs nègres ») - section II
armonium C’était une voix faite d’yeux Tandis qu’il traîne de petites gens
2 (1916) Poème (incipit : « Deux lignes nègres ») - section II
n harmonium C’était une voix faite d’yeux Tandis qu’il est de petites gens
3 (1917) à Juliette Norville « à Juliette Norville »
à Juliette Norville Voici le temps Madame où parlent les gens d’armes J’en suis et c’est pourquoi suscitant les
4 (1912) Marie-Sybille « Marie-Sibylle »
’avait, venant de Formose, Tirée d’un bordel de Shangaï. Je connais gens de toutes sortes, Ils n’égalent pas leurs destins
5 (1913) Rolandseck « Rolandseck »
incesses légendaires Et rêvant j’attendais le bac rectangulaire Des gens descendant venaient aussi pour passer le fleuve T
6 (1914) Prophéties « Prophéties »
e mon cher André Billy Mais il y a si longtemps qu’on fait croire aux gens Qu’ils n’ont aucun avenir qu’ils sont ignorants à
7 (1911) Cortège « Cortège »
ues autres. Il me suffit de voir leurs pieds pour pouvoir refaire ces gens à milliers. De voir leurs pieds paniques, un seul
toucher les vêtements Pour ne pas douter si l’on est frileux ou non O gens que je connais, Il me suffit d’entendre le bruit
8 (1918) La Jolie Rousse « La Jolie Rousse »
hé qui se fanent Mais riez riez de moi Hommes de partout et surtout gens d’ici Car il y a tant de choses que je n’ose vous
9 (1914) Lettre-Océan « Lettre-Océan »
u partis pour le Mexique Ta voix me parvient malgré l’énorme distance Gens de mauvaise mine sur le quai à la Vera Cruz [cart
10 (1914) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
midi Je descendis dans la rue pour aller voir les saltimbanques Ces gens qui font des tours en plein air Commencent à être
11 (1917) La Victoire « La Victoire »
son hoquet On imagine difficilement A quel point le succès rend les gens stupides et tranquilles          A l’Institut d
12 (1913) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
di, Je descendis dans la rue pour aller voir les saltimbanques. Ces gens qui font des tours en plein air Commencent à être
13 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
d’argent Fuit les dendrophores livides Du printemps cher aux pauvres gens Qui resourient les yeux humides. Et moi j’ai le
14 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
e sais rigoler Je ne suis pas sentimental à l’excès comme le sont ces gens sans mesure que leurs actions dépassent sans qu’i
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