à Juliette Norville Voici le temps Madame où parlent les
gens
d’armes J’en suis et c’est pourquoi suscitant les
’avait, venant de Formose, Tirée d’un bordel de Shangaï. Je connais
gens
de toutes sortes, Ils n’égalent pas leurs destins
incesses légendaires Et rêvant j’attendais le bac rectangulaire Des
gens
descendant venaient aussi pour passer le fleuve T
e mon cher André Billy Mais il y a si longtemps qu’on fait croire aux
gens
Qu’ils n’ont aucun avenir qu’ils sont ignorants à
ues autres. Il me suffit de voir leurs pieds pour pouvoir refaire ces
gens
à milliers. De voir leurs pieds paniques, un seul
toucher les vêtements Pour ne pas douter si l’on est frileux ou non O
gens
que je connais, Il me suffit d’entendre le bruit
hé qui se fanent Mais riez riez de moi Hommes de partout et surtout
gens
d’ici Car il y a tant de choses que je n’ose vous
u partis pour le Mexique Ta voix me parvient malgré l’énorme distance
Gens
de mauvaise mine sur le quai à la Vera Cruz [cart
midi Je descendis dans la rue pour aller voir les saltimbanques Ces
gens
qui font des tours en plein air Commencent à être
son hoquet On imagine difficilement A quel point le succès rend les
gens
stupides et tranquilles A l’Institut d
di, Je descendis dans la rue pour aller voir les saltimbanques. Ces
gens
qui font des tours en plein air Commencent à être
d’argent Fuit les dendrophores livides Du printemps cher aux pauvres
gens
Qui resourient les yeux humides. Et moi j’ai le
e sais rigoler Je ne suis pas sentimental à l’excès comme le sont ces
gens
sans mesure que leurs actions dépassent sans qu’i