s Nuages Flottes ») O Bateaux Souvenirs et vous Nuages Flottes Qui
fuyez
la Sirène et les feux d’un cargo Je suis à Villeq
sance Un seul bouleau crépusculaire Pâlit au seuil de l’horizon Où
fuit
la mesure angulaire Du cœur à l’âme et la raison
e Pagès Un seul Bouleau crépusculaire Pâlit au seuil de l’horizon Où
fuit
la mesure angulaire Du cœur à l’âme et la raison
e Pagès Un seul Bouleau crépusculaire Pâlit au seuil de l’horizon Où
fuit
la mesure angulaire Du cœur à l’âme et la raison
e qui ») A Mlle Paula Valmont [nuage] Adieu amour nuage qui
fuis
et n’a pas chu pluie fécondante refais le voyage
age qui ») A Mlle Paula Valmont [nuage] Adieu amour nuage qui
fuis
et n’a pas chu pluie fécondante refais le voyage
e Sur la route bordant le fleuve et tachée d’ombre
Fuyaient
tremblant de peur Comme des chevaliers indignes l
ont raillé Parce qu’un de tes pins s’abat au vent gothique. La forêt
fuit
au loin comme une armée antique Dont les lances,
nt raillé Parce qu’un de tes pins s’abat au vent gothique. La forêt
fuit
au loin comme une armée antique Dont les lances,
œur et ses yeux ; Lyre, trop vieille image, mot délicieux. Le paysage
fuit
et sans qu’il m’en souvienne, O trai
ant diamant Vancouver Où le train blanc de neige et de feux nocturnes
fuit
l’hiver O Paris Du rouge au vert tout le jaune se
ant diamant Vancouver Où le train blanc de neige et de feux nocturnes
fuit
l’hiver O Paris Du rouge au vert tout le jaune se
erres Et que renaisse ici la française gaieté ; Arrière noirs soucis,
fuyez
ô fronts sévères, Je bois à mon Rousseau, je bois
ns, La licorne et le capricorne — Mon âme et mon corps incertain — Te
fuient
, ô bûcher divin qu’ornent Des astres, des fleurs
er. Mort d’immortels argyraspides ! La neige aux boucliers d’argent
Fuit
les dendrophores livides Du printemps cher aux pa
es, Aucun n’a consacré mes doux pains sans levain. Et je marche, je
fuis
, ô nuit, Lilith ulule Et clame vainement et je vo
r vert Quand meurt le jour avec un râle inattendu. Et je marche, je
fuis
. O jour, l’émoi de l’aube Ferma le regard fixe et
nt la paroi adverse qui semble en nougat On voit à gauche et à droite
fuir
l’humide couloir désert Où meurt étendue une pell
onquérants égarés qui s’éloignent trop vite Et des bandes souvent qui
fuyaient
aux éclairs Un homme bègue ayant au front deux
s conquérants fictifs rués pour la vindicte Et des bandes souvent qui
fuyaient
aux éclairs. Un homme bègue ayant au front deux
ne nageur entre les rives Et les noyés flottant sur son onde nouvelle
Fuyaient
en le suivant les chanteuses plaintives Elles dir