orieux l’intrépide bleusaille Les 3 servants assis dodelinent leurs
fronts
Où brillent leurs yeux clairs comme mes éperons
’artillerie J’admire la gaîté de ce détachement Qui va rejoindre au
front
notre beau régiment Le territorial se mange une
leaux que tu peins, tu les vis au Mexique : Un soleil rouge ornait le
front
des bananiers Et valeureux soldat, tu troquas ta
que renaisse ici la française gaieté ; Arrière noirs soucis, fuyez ô
fronts
sévères, Je bois à mon Rousseau, je bois à sa san
oux en sang, mais que voulez-vous que ça foute ? Tant d’hommes sur le
front
meurent à tout moment Que c’est un vrai plaisir d
Qui vinrent de très loin et sont un sous nos
fronts
C’est la chanson des rêveurs Qui s’étaient arrach
ends cette tête au lieu de ta marotte et danse. N’y touchez pas ; son
front
, ma mère, est déjà froid. Sire, marchez devant
ends cette tête au lieu de ta marotte et danse. N’y touchez pas ; son
front
, ma mère, est déjà froid. Sire, marchez devant
ends cette tête au lieu de ta marotte et danse. N’y touchez pas ; son
front
, ma mère, est déjà froid. Sire, marchez devant
héros et la gloire des torches Qui font une auréole autour de chaque
front
, La beauté des printemps et les amours fécondes
une ombre d’homme « Il sera bien mon fils, mon ouvrage immortel « Le
front
nimbé de feu, sur le chemin de Rome « Il marchera
des bandes souvent qui fuyaient aux éclairs Un homme bègue ayant au
front
deux jets de flammes Passa menant un peuple infim
es bandes souvent qui fuyaient aux éclairs. Un homme bègue ayant au
front
deux jets de flammes Passa, menant un peuple infi
omme on s’aime soi-même Tous les fiers trépassés qui sont un sous mon
front
L’éclair qui luit ainsi qu’une pensée naissante T