Lanturlu ! Mais laissons pousser sur la tombe,                 O folle  ! ô fou ! Le romarin en touffes sombres,         

lu ! Mais laissons pousser sur la tombe,                 O folle ! ô fou  ! Le romarin en touffes sombres,                 

a conquête. Mars et Vénus sont revenus ; Ils s’embrassent à bouches folles Devant des sites ingénus Où sous les roses qui fe

Petit balai         Je nettoyai le trou         Voilà qu’un jeune fou Par derrière me pince la taille         Le balai

         O Bavardes le long du fleuve                    O Bavardes o folles le long du fleuve GUILLAUME APOLLINAIRE

nez tous avec moi, là-bas, sous les quinconces. Ne pleure pas, ô joli fou du roi ; Prends cette tête au lieu de ta marotte

nez tous avec moi, là-bas, sous les quinconces. Ne pleure pas, ô joli fou du roi ; Prends cette tête au lieu de ta marotte

nez tous avec moi, là-bas, sous les quinconces. Ne pleure pas, ô joli fou du roi ; Prends cette tête au lieu de ta marotte

            Les masques n’ont pas tressailli              Mais quel fou rire sous le masque              Blancheur éterne

canon                Sur cette mer aux blanches vagues                 Fou stoïque comme Zénon                Pilote du cœur

accable. Luitpold, le vieux prince régent, Tuteur de deux royautés folles , Sanglote-t-il en y songeant Quand vacillent les

es           Je me souviens d’un lac affreux               Une nuit folle           Une nuit de sorcellerie Et de couples e

ues           Je me souviens d’un lac affreux               Une nuit folle           Une nuit de sorcellerie Et de couples e

uits livides de l’alcool, Les villes que j’ai vues vivaient comme des folles Te souviens-tu des banlieues et du troupeau pla

Tu as souffert de l’amour à vingt et à trente ans J’ai vécu comme un fou et j’ai perdu mon temps Tu n’oses plus regarder l

Tu as souffert de l’amour à vingt et à trente ans J’ai vécu comme un fou et j’ai perdu mon temps Tu n’oses plus regarder l