on qui paraît. La nature est belle et touchante, Pan sifflote dans la
forêt
, Les grenouilles humides chantent.
elfes ont raillé Parce qu’un de tes pins s’abat au vent gothique. La
forêt
fuit au loin comme une armée antique Dont les lan
bouts insolemment IL SUT AIMER. Quelle épitaphe — Un poète dans la
forêt
Regarde avec indifférence Son révolver au cran d’
bouts insolemment IL SUT AIMER. Quelle épitaphe — Un poète dans la
forêt
Regarde avec indifférence Son révolver au cran d’
lfes ont raillé Parce qu’un de tes pins s’abat au vent gothique. La
forêt
fuit au loin comme une armée antique Dont les lan
es frênes La reine des prés va fleurir Une petite hutte dans la
forêt
Là-bas plus blanche est la blessure [à gauche,
s La reine des prés va fleurir Une petite hutte dans la
forêt
Là-bas plus blanche est la blessure [à gauche,
bouts insolemment. Il sut aimer… Quelle épitaphe ! Un poète dans la
forêt
regarde avec indifférence — son revolver au cran
l 1915 A L de C C Le ciel est étoilé par les obus des Boches La
forêt
merveilleuse où je vis donne un bal La mitrailleu
l 1915 A L de C C Le ciel est étoilé par les obus des Boches La
forêt
merveilleuse où je vis donne un bal La mitrailleu
1915 A L de S S Le ciel est étoilé par les obus des Boches La
forêt
merveilleuse où je vis donne un bal La mitrailleu
rouge au vert tout le jaune se meurt Quand chantent les aras dans les
forêts
natales Abatis de pihis Il y a un poème à faire s
rouge au vert tout le jaune se meurt Quand chantent les aras dans les
forêts
natales Abatis de pi-his Il y a un poème à faire
t d’avril : 1915 Le ciel est étoilé par les obus des boches, La
forêt
merveilleuse où je vis donne un bal, La mitraille
Schinderhannes A Marius-Ary Leblond Dans la
forêt
, avec sa bande Chante Schinderhannes armé. Le bri
passant. * Dans l’attentive et bien-apprise J’ai vu feuilloler nos
forêts
. Mer, le soleil se gargarise Où les matelots dési
un passant. Dans l’attentive et bien-apprise J’ai vu feuilloler nos
forêts
. Mer, le soleil se gargarise Où les matelots dési
ysage astèque ») Tu te souviens, Rousseau, du paysage astèque, Des
forêts
où poussaient la mangue et l’ananas, Des singes r
fille du vieux bourgmestre brode une étole Pour la fête du curé. » La
forêt
là-bas Grâce au vent chantait à voix grave de gra
nfermer le reflet du ciel vert et J’entendis sa voix qui dorait les
forêts
tandis que vous pleuriez L’acrobate à cheval le p
e jaseur ô poète barbare Regagnait chastement à l’heure d’y mourir La
forêt
précieuse aux oiseaux gemmipares Aux crapauds que
poètes barbares, Troupe lâche, cherchaient, pour y chastes mourir, La
forêt
précieuse aux oiseaux gemmipares Où des fruits do
mmortels qui s’ennuient patiemment Des armées rangées en bataille Des
forêts
de crucifix et mes demeures lacustres Au bord des