nourrit son mal et dont il meurt Mon sens comme celui d’un tel que
folie
lèse N’exprime plus qu’injuste et très vaine fu
voiles Peut-être es-tu très pure immaculée ô toi Qu’à travers ma
folie
jadis j’ai crue impure J’ai les yeux de l’Amour
te, à reculons. Destins, destins impénétrables, Rois secoués par la
folie
… Et ces grelottantes étoiles… De fausses femmes d
eux verts sur l’échine, Musiquent, au long des portées De rails, leur
folie
de machines. Les cafés gonflés de fumée Crient
Caresser les seins durs comme des obus De ma sœur au rire en
folie
Et je revois Ma mère la sorcière q
Caresser les seins durs comme des obus De ma sœur au rire en
folie
Et je revois Ma mère la sorcière q
: — Menez jusqu’au couvent cette femme en démence. Va-t’en, Lore en
folie
, va Lore aux yeux tremblants Tu seras une nonne v
ait au milieu des Hamlets blafards Sur la flûte jouant les airs de la
folie
. Je le revis qui regardait un ours faire l’agile
mélancolie Sans morfil, ô claires douleurs, Sont dans mon cœur et la
folie
Veut raisonner pour mon malheur, Comment voulez-v
uois car nous savons faire la part des choses Et il n’y a pas plus de
folie
chez celui qui jette les grenades que chez celui
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