le bouquet de demain Et leurs regards s’écoulent Dans ce
fleuve
à tous étranger Qui vient de loin qui va si loin
bac rectangulaire Des gens descendant venaient aussi pour passer le
fleuve
Trois dames au parler hanovrien Effeuillaient san
Qui semble une veine de Ton Corps si noble Sur la route bordant le
fleuve
et tachée d’ombre Fuyaient tremb
Plongeon Pique une tête pour pêcher les perles du
fleuve
Dit vert, qui est bleu et jaunit qu’il neige ou
incent en se heurtant Et l’on entend aussi se lamenter l’autan Et, du
fleuve
prochain à grand’voix triomphales Les elfes rire
rico J’ai bâti une maison au milieu de l’océan Ses fenêtres sont les
fleuves
qui s’écoulent de mes yeux Des poulpes grouillent
ent en se heurtant ; Et l’on entend aussi se lamenter l’autan, Et, du
fleuve
prochain, à grand’voix triomphales, Les elfes rir
pétales flétris sont comme ses paupières. Sur le chemin du bord du
fleuve
, lentement, Un ours, un singe, un chien menés par
nt Et les astres qui ont saigné Ne sont que des têtes de femmes, Le
fleuve
épinglé sur la ville T’y fixe comme un vêtement P
Mon spectre juste aux gueules du tricapité Et me tenant au bord du
fleuve
sur qui volent Les obscures migrations des oiseau
n amour qui se meurt est plus doux que les autres Mon souffle nage au
fleuve
où le sang va tarir Les obus miaulaient. Entends
n amour qui se meurt est plus doux que les autres Mon souffle nage au
fleuve
où le sang va tarir Les obus miaulaient. Entends
n amour qui se meurt est plus doux que les autres Mon souffle nage au
fleuve
où le sang va tarir Les obus miaulaient entends c
poissons arqués, fleurs surmarines ! Une nuit, c’était la mer Et les
fleuves
s’y répandaient. Je m’en souviens, je m’en souv
été, Un oiseau langoureux et toujours irrité Et le bruit éternel d’un
fleuve
large et sombre Mais tandis que, mourants, roul
ppe, Devant l’antipapesse, un nain. La quatrième, Malourène, Est un
fleuve
vert et doré ; C’est le soir quand les riveraines
uvelles, Donnent des ordres aux hommes apprivoisés O Déchirée que les
fleuves
ont reprisée. J’aimerais mieux nuit et jour dans
amour qui se meurt est plus doux que les autres — mon souffle nage au
fleuve
où le sang va tarir, Les obus miaulaient… entends
nt Et les astres qui ont saigné Ne sont que des têtes de femmes. Le
fleuve
épinglé sur la ville T’y fixe comme un vêtement P
uvelles, Donnent des ordres aux hommes apprivoisés O Déchirée que les
fleuves
ont reprisée. J’aimerais mieux nuit et jour dan
, à travers les contrées, à travers la raison. Je le revis au bord du
fleuve
sur lequel flottait Ophélie, Qui, blanche, flotte
se marie. Réjouissons-nous non pas parce que notre amitié a été le
fleuve
qui nous a fertilisés, Terrains riverains dont l’
nt Et les astres qui ont saigné Ne sont que des têtes de femmes. Le
fleuve
épinglé sur la ville T’y fixe comme un vêtement :
fois encore mon beau château, Pour me mirer une fois encore dans le
fleuve
. Puis j’irai au couvent des vierges et des veuves
n Maubeuge Vouziers Nous jetons nos villes comme des grenades Nos
fleuves
sont brandis comme des sabres Nos montagnes cha
montagnes chargent comme cavalerie Nous reprendrons les villes les
fleuves
et les collines De la frontière helvétique aux fr
ésence J’ai creusé le lit où je coule en me ramifiant en mille petits
fleuves
qui vont partout Je suis dans la tranchée de prem
e vieille, sur une mule à chape verte, S’en vînt, suivant la berge du
fleuve
, en aval, Et l’antique Merlin dans la plaine dése
uvrier russe de Longwy Haltères noirs et creuses qui ont pour tige un
fleuve
figé Doigts roulants une cigarette amère et délic
palais il y a un haut tumulus de craie Et des plaques de tôle ondulée
Fleuve
figé de ce domaine idéal Mais privé d’eau car ici
-dessus. Il me suffit de sentir l’odeur de leurs églises, L’odeur des
fleuves
dans leurs villes, Le parfum des fleurs dans les
ouvrier russe de Longwy, Haltères noirs et creux qui ont pour tige un
fleuve
figé, Doigts roulant une cigarette amère et dél
hipel, Des femmes demandaient l’amour et la dulie, Et sombre, sombre
fleuve
, je me rappelle Les ombres qui passaient n’étaien