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1 (1917) [Calligramme (bouquet)] « [Calligramme (bouquet)] »
[Calligramme (bouquet)] [bouquet] Il y a aussi des fleurs vénéneuses pourquoi pleurer revenez demain et des
a aussi des fleurs vénéneuses pourquoi pleurer revenez demain et des fleurs toujours ouvertes le soir elle aime le ciné elle
te et tout finit dans les parfums souvenez-vous-en laisse s’ouvrir la fleur et laisse pourrir le fruit et laisse germer la gr
2 (1917) Chevaux de frise « Chevaux de frise »
arbre fruitier sur lequel s’épanouissent                         Les fleurs de l’amour Pendant le blanc et nocturne novembr
e novembre Tandis que chantaient épouvantablement les obus Et que les fleurs mortes de la terre exhalaient                    
écrivais tous les jours mon amour à Madeleine La neige met de pâles fleurs sur les arbres            Et toisonne d’hermine l
                Pour te redire je t’aime Ton visage est un bouquet de fleurs            Aujourd’hui je te vois non Panthère   
qui de leurs belles mains Me font signe de venir La fusée s’épanouit fleur nocturne                                Quand il
3 (1902) Les Colchiques « Les Colchiques »
que couleur de cerne et de lilas Y fleurit. Tes yeux sont comme cette fleur -là, Violâtres comme leur cerne et comme cet autom
e leurs filles et sont couleur de tes paupières Qui battent comme les fleurs battent au vent dément. Le gardien du troupeau ch
4 (1912) Les Colchiques « Les Colchiques »
que couleur de cerne et de lilas Y fleurit. Tes yeux sont comme cette fleur -là, Violâtres comme leur cerne et comme cet autom
s de leurs filles, et sont comme tes paupières Qui battent, comme les fleurs battent au vent dément. Le gardien du troupeau ch
5 (1915) Vers le Sud « Vers le Sud »
eilli les roses Nos cœurs pendaient ensemble au même grenadier Et les fleurs de grenade en nos regards écloses En tombant tour
6 (1915) Vers le Sud « Vers le Sud »
eilli les roses Nos cœurs pendaient ensemble au même grenadier Et les fleurs de grenade en nos regards écloses En tombant tour
7 (1912) Merlin et la vieille femme « Merlin et la vieille femme »
Les nuages coulaient comme un flux menstruel. Au carrefour où nulle fleur si non la rose Des vents, mais sans épine n’a fle
est étaient couvertes D’ossements, d’herbes drues, de destinées et de fleurs , De monuments tremblants, et de charognes vertes,
sont rien qu’un pur effet de l’Art. « Je n’ai jamais cueilli que la fleur d’aubépine, « Aux printemps finissants qui voulai
dant ta vie, je danse, « Mais, j’eusse été tôt lasse et l’aubépine en fleur « Cet avril aurait eu la pauvre confidence « D’un
a marjolaine et les pas d’ânes, « Je m’éterniserai sous l’aubépine en fleurs . Guillaume Apollinaire.
8 (1917) [Calligramme (jet d'eau)] « [Calligramme (jet d’eau)] »
et toujours neuve un bouton de rose doux comme un papillon comme une fleur mourant entre les mains d’un soldat blessé un jet
9 (1918) Vers le Sud « Vers le Sud »
lli les roses Nos cœurs pendent ensemble au même grenadier Et les fleurs de grenade en nos regards écloses En tombant to
10 (1917) Photographie « Photographie »
      Ton sourire m’attire comme               Pourrait m’attirer une fleur           Photographie tu es le champignon brun  
11 (1911) Stances (Signe de l’Automne) « Stances (Signe de l’Automne) »
hef du Signe de l’Automne, Partant, j’aime les fruits, je déteste les fleurs  ; Je regrette chacun des baisers que je donne, Te
12 (1912) Le Signe de l'Automne « Le Signe de l’Automne »
hef du Signe de l’Automne, Partant, j’aime les fruits, je déteste les fleurs , Je regrette chacun des baisers que je donne, Tel
13 (1908) Poème (incipit : « Le chemin qui mène aux étoiles ») « Poème (incipit : « Le chemin qui mène aux étoiles ») »
voie lactée. Souvent pour nouer leurs sandales Ou pour cueillir des fleurs athées, Loin des vérités sidérales Ceux de ma tro
14 (1914) 1904 « 1904 »
ses Carnaval chapeau rose Ave ! A Rome à Nice et à Cologne Dans les fleurs et les confetti Carnaval j’ai revu ta trogne O ro
15 (1918) L'enfant d'or « L’enfant d’or »
oyaux les squelettes Cherront au fond des mers où surnagèrent tant De fleurs de cheveux roux et de rames flottant Parmi les
16 (1902) La Fuite « La Fuite »
joyaux, des squelettes Coulés au fond des mers où surnagèrent tant De fleurs , de cheveux roux et de rames flottant Parmi les
17 (1913) Montparnasse (incipit : « O porte de l’hôtel avec deux plantes vertes ») « Montparnasse (incipit : « O porte de l’hôtel avec deux plantes vertes ») »
de l’hôtel avec deux plantes vertes Vertes qui jamais Ne porteront de fleurs Où sont mes fruits Où me planté-je O porte de l’h
18 (1909) La Vierge à la fleur de haricot à Cologne « La Vierge à la fleur de haricot à Cologne »
La Vierge à la fleur de haricot à Cologne La Vierge au brin fleuri
19 (1918) A Luigi Amaro « À Luigi Amaro »
eries Erige un monument de rumeurs Tresse les couronnes faites en fleurs d’éclatements                 Amaro écoutez L
20 (1902) Mai « Mai »
du Rhin secoue, sur le bord, les osiers Et les roseaux jaseurs et les fleurs nues des vignes. Leutesdorf, mai 1902. GUILLAUM
21 (1917) à Luigi Amaro « A Luigi Amaro »
           Erige un tombeau de rumeurs Tresse les couronnes faites en fleurs d’éclatements                                  
22 (1905) Salomé « Salomé »
ière. Nous creuserons un trou et l’y enterrerons. Nous planterons des fleurs et danserons en rond Jusqu’à l’heure où j’aurai p
23 (2019) Salomé « Salomé »
ière. Nous creuserons un trou et l’y enterrerons. Nous planterons des fleurs et danserons en rond Jusqu’à l’heure où j’aurai p
24 (1911) Salomé « Salomé »
ière. Nous creuserons un trou et l’y enterrerons. Nous planterons des fleurs et danserons en rond Jusqu’à l’heure où j’aurai p
25 (1911) Le Larron « Le Larron »
citrons couleur d’huile et à saveur d’eau froide Pendaient parmi les fleurs des citronniers tordus Les oiseaux de leur bec on
nc Par ironie veux-tu qu’on serve un plat de fèves Ou des beignets de fleurs trempés dans du miel blond Une femme lui dit Tu
ous jetèrent dans l’avenir Les alcancies pleines de cendre ou bien de fleurs Nous aurons des baisers florentins sans le dire M
s pourront seuls nier l’aséité Vois les vases sont pleins d’humides fleurs morales Va-t’en mais dénudé puisque tout est à no
26 (1904) Schinderhannes « Schinderhannes »
ne Ce riche juif, au bord du Rhin, Au clair des torches de résine… La fleur de mai, c’est le florin. » On mange alors, tout
27 (1903) Le Larron « Le Larron »
citrons couleur d’huile et à saveur d’eau froide Pendaient parmi les fleurs des citronniers tordus, Les oiseaux de leur bec o
. Par ironie, veux-tu qu’on serve un plat de fèves Ou des beignets de fleurs trempés dans du miel blond ? » Une femme lui di
ous jetèrent dans l’avenir Les alcancies pleines de cendre ou bien de fleurs , Nous aurons des baisers florentins sans le dire,
pourront seuls nier l’aséité. Vois, les vases sont pleins d’humides fleurs morales. Va-t’en mais dénudé, puisque tout est à
28 (1902) Élégie du voyageur aux pieds blessés « Élégie du voyageur aux pieds blessés »
dieux narquois partout se meurent Et s’émeuvent les enchanteurs, Les fleurs se fanent, les fées pleurent. Guillaume Apollin
29 (1907) Lul de Faltenin « Lul de Faltenin »
e mon double orgueil. * Si les bateliers ont ramé Loin des lèvres à fleur de l’onde. Mille et mille animaux charmés Flairen
30 (1907) Fragment « Fragment »
de mon double orgueil. Si les bateliers ont ramé Loin des lèvres à fleur de l’onde, Mille et mille animaux charmés Flairen
31 (1913) Lundi rue Christine « Lundi rue Christine »
erai fumer du Kief Ça a l’air de rimer Des piles de soucoupes des fleurs un calendrier Pim pam pim Je dois fiche près de 3
32 (1915) 2e canonnier conducteur « 2e canonnier conducteur »
rafales sont ses cris de joie                                     Ses fleurs sont nos obus aux gerbes merveilleuses          
33 (1909) Le jour des morts « Le jour des morts »
eminent Et les bons ânes Braillent hi han et se mettent à brouter les fleurs Des couronnes mortuaires C’est le jour des morts
34 (1914) Souvenir du Douanier « Souvenir du Douanier »
main et s’attristaient ensemble Sur leurs tombeaux ce sont les mêmes fleurs qui tremblent Tu as raison elle est belle Mais je
35 (1914) Le los du Douanier « Le los du Douanier »
main et s’attristaient ensemble Sur leurs tombeaux ce sont les mêmes fleurs qui tremblent Tu as raison elle est belle Mais
36 (1917) [Page 1] « [Page 1] »
ouvrages, la fraîcheur de ses bouquets, la simplicité des fruits, des fleurs et des feuilles. Nul avant Survage n’a su mettre
37 (1909) [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] « [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] »
nt Et les orgues de Barbarie Y sanglotent dans les cours grises ; Les fleurs , aux balcons de Paris, Penchent comme la tour de
38 (1918) La Jolie Rousse « La Jolie Rousse »
voulons vous donner de vastes et d’étranges domaines Où le mystère en fleur s’offre à qui veut le cueillir Il y a là des feux
39 (1917) Pablo Picasso « Pablo Picasso »
lequins   semblables à Dieu   en variété   Aussi distingués qu’un lac Fleurs   brillant comme deux   perles   monstres qui pal
40 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
onfortable Et de ce qui est l’extérieur dans l’art et l’industrie Les fleurs sont nos enfants et non les leurs Même la fleur d
t et l’industrie Les fleurs sont nos enfants et non les leurs Même la fleur de lys qui meurt au Vatican La plaine est infin
41 (1912) Le Voyageur « Le Voyageur »
tirs                      Te souviens-tu ? Vagues, poissons arqués, fleurs surmarines ! Une nuit, c’était la mer Et les fleu
42 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
ui tendent sans espoir de si jolis culs roses. Et, c’est le soir, les fleurs de jour déjà se closent Et les souris dans l’ombr
ai compris que je saignais du nez À cause des parfums violents de mes fleurs . Et j’ai ri du vieil ange qui n’est point venu
43 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
en jeu des vers. Je ne sais plus rien et j’aime uniquement ; Mais les fleurs , à mes yeux, redeviennent des flammes. Je médite
. Ce collier de gouttes d’eau va parer la noyée. Voici mon bouquet de fleurs de la passion, Qui offrent tendrement deux couron
44 (1917) Le palais du tonnerre « Le palais du tonnerre »
’eau car ici il ne roule que le feu jailli de la mélinite Le parc aux fleurs de fulminate jaillit des trous penchés Tas de clo
45 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
stinées Les feuillards repoussés sur l’arbre de la croix Et même la fleur de lys qui meurt au Vatican Macèrent dans le vin
mes demeures lacustres Au bord des yeux de celle que j’aime tant Les fleurs qui s’écrient hors de bouches Et tout ce que je n
46 (1911) Cortège « Cortège »
e leurs églises, L’odeur des fleuves dans leurs villes, Le parfum des fleurs dans les jardins publics, L’odeur d’un petit chie
47 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
corps incertain — Te fuient, ô bûcher divin qu’ornent Des astres, des fleurs du matin ! Malheur, dieu pâle aux yeux d’ivoire
48 (1912) Zône « Zône »
ant tu es au bord de la Méditerranée Sous les citronniers qui sont en fleur toute l’année Avec tes amis tu te promènes en bar
49 (1913) Zône « Zône »
ant tu es au bord de la Méditerranée Sous les citronniers qui sont en fleur toute l’année Avec tes amis tu te promènes en bar
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