[Calligramme (bouquet)] [bouquet] Il y a aussi des
fleurs
vénéneuses pourquoi pleurer revenez demain et des
a aussi des fleurs vénéneuses pourquoi pleurer revenez demain et des
fleurs
toujours ouvertes le soir elle aime le ciné elle
te et tout finit dans les parfums souvenez-vous-en laisse s’ouvrir la
fleur
et laisse pourrir le fruit et laisse germer la gr
arbre fruitier sur lequel s’épanouissent Les
fleurs
de l’amour Pendant le blanc et nocturne novembr
e novembre Tandis que chantaient épouvantablement les obus Et que les
fleurs
mortes de la terre exhalaient
écrivais tous les jours mon amour à Madeleine La neige met de pâles
fleurs
sur les arbres Et toisonne d’hermine l
Pour te redire je t’aime Ton visage est un bouquet de
fleurs
Aujourd’hui je te vois non Panthère
qui de leurs belles mains Me font signe de venir La fusée s’épanouit
fleur
nocturne Quand il
que couleur de cerne et de lilas Y fleurit. Tes yeux sont comme cette
fleur
-là, Violâtres comme leur cerne et comme cet autom
e leurs filles et sont couleur de tes paupières Qui battent comme les
fleurs
battent au vent dément. Le gardien du troupeau ch
que couleur de cerne et de lilas Y fleurit. Tes yeux sont comme cette
fleur
-là, Violâtres comme leur cerne et comme cet autom
s de leurs filles, et sont comme tes paupières Qui battent, comme les
fleurs
battent au vent dément. Le gardien du troupeau ch
eilli les roses Nos cœurs pendaient ensemble au même grenadier Et les
fleurs
de grenade en nos regards écloses En tombant tour
eilli les roses Nos cœurs pendaient ensemble au même grenadier Et les
fleurs
de grenade en nos regards écloses En tombant tour
Les nuages coulaient comme un flux menstruel. Au carrefour où nulle
fleur
si non la rose Des vents, mais sans épine n’a fle
est étaient couvertes D’ossements, d’herbes drues, de destinées et de
fleurs
, De monuments tremblants, et de charognes vertes,
sont rien qu’un pur effet de l’Art. « Je n’ai jamais cueilli que la
fleur
d’aubépine, « Aux printemps finissants qui voulai
dant ta vie, je danse, « Mais, j’eusse été tôt lasse et l’aubépine en
fleur
« Cet avril aurait eu la pauvre confidence « D’un
a marjolaine et les pas d’ânes, « Je m’éterniserai sous l’aubépine en
fleurs
. Guillaume Apollinaire.
et toujours neuve un bouton de rose doux comme un papillon comme une
fleur
mourant entre les mains d’un soldat blessé un jet
lli les roses Nos cœurs pendent ensemble au même grenadier Et les
fleurs
de grenade en nos regards écloses En tombant to
Ton sourire m’attire comme Pourrait m’attirer une
fleur
Photographie tu es le champignon brun
hef du Signe de l’Automne, Partant, j’aime les fruits, je déteste les
fleurs
; Je regrette chacun des baisers que je donne, Te
hef du Signe de l’Automne, Partant, j’aime les fruits, je déteste les
fleurs
, Je regrette chacun des baisers que je donne, Tel
voie lactée. Souvent pour nouer leurs sandales Ou pour cueillir des
fleurs
athées, Loin des vérités sidérales Ceux de ma tro
ses Carnaval chapeau rose Ave ! A Rome à Nice et à Cologne Dans les
fleurs
et les confetti Carnaval j’ai revu ta trogne O ro
oyaux les squelettes Cherront au fond des mers où surnagèrent tant De
fleurs
de cheveux roux et de rames flottant Parmi les
joyaux, des squelettes Coulés au fond des mers où surnagèrent tant De
fleurs
, de cheveux roux et de rames flottant Parmi les
de l’hôtel avec deux plantes vertes Vertes qui jamais Ne porteront de
fleurs
Où sont mes fruits Où me planté-je O porte de l’h
La Vierge à la
fleur
de haricot à Cologne La Vierge au brin fleuri
eries Erige un monument de rumeurs Tresse les couronnes faites en
fleurs
d’éclatements Amaro écoutez L
du Rhin secoue, sur le bord, les osiers Et les roseaux jaseurs et les
fleurs
nues des vignes. Leutesdorf, mai 1902. GUILLAUM
Erige un tombeau de rumeurs Tresse les couronnes faites en
fleurs
d’éclatements
ière. Nous creuserons un trou et l’y enterrerons. Nous planterons des
fleurs
et danserons en rond Jusqu’à l’heure où j’aurai p
ière. Nous creuserons un trou et l’y enterrerons. Nous planterons des
fleurs
et danserons en rond Jusqu’à l’heure où j’aurai p
ière. Nous creuserons un trou et l’y enterrerons. Nous planterons des
fleurs
et danserons en rond Jusqu’à l’heure où j’aurai p
citrons couleur d’huile et à saveur d’eau froide Pendaient parmi les
fleurs
des citronniers tordus Les oiseaux de leur bec on
nc Par ironie veux-tu qu’on serve un plat de fèves Ou des beignets de
fleurs
trempés dans du miel blond Une femme lui dit Tu
ous jetèrent dans l’avenir Les alcancies pleines de cendre ou bien de
fleurs
Nous aurons des baisers florentins sans le dire M
s pourront seuls nier l’aséité Vois les vases sont pleins d’humides
fleurs
morales Va-t’en mais dénudé puisque tout est à no
ne Ce riche juif, au bord du Rhin, Au clair des torches de résine… La
fleur
de mai, c’est le florin. » On mange alors, tout
citrons couleur d’huile et à saveur d’eau froide Pendaient parmi les
fleurs
des citronniers tordus, Les oiseaux de leur bec o
. Par ironie, veux-tu qu’on serve un plat de fèves Ou des beignets de
fleurs
trempés dans du miel blond ? » Une femme lui di
ous jetèrent dans l’avenir Les alcancies pleines de cendre ou bien de
fleurs
, Nous aurons des baisers florentins sans le dire,
pourront seuls nier l’aséité. Vois, les vases sont pleins d’humides
fleurs
morales. Va-t’en mais dénudé, puisque tout est à
dieux narquois partout se meurent Et s’émeuvent les enchanteurs, Les
fleurs
se fanent, les fées pleurent. Guillaume Apollin
e mon double orgueil. * Si les bateliers ont ramé Loin des lèvres à
fleur
de l’onde. Mille et mille animaux charmés Flairen
de mon double orgueil. Si les bateliers ont ramé Loin des lèvres à
fleur
de l’onde, Mille et mille animaux charmés Flairen
erai fumer du Kief Ça a l’air de rimer Des piles de soucoupes des
fleurs
un calendrier Pim pam pim Je dois fiche près de 3
rafales sont ses cris de joie Ses
fleurs
sont nos obus aux gerbes merveilleuses
eminent Et les bons ânes Braillent hi han et se mettent à brouter les
fleurs
Des couronnes mortuaires C’est le jour des morts
main et s’attristaient ensemble Sur leurs tombeaux ce sont les mêmes
fleurs
qui tremblent Tu as raison elle est belle Mais je
main et s’attristaient ensemble Sur leurs tombeaux ce sont les mêmes
fleurs
qui tremblent Tu as raison elle est belle Mais
ouvrages, la fraîcheur de ses bouquets, la simplicité des fruits, des
fleurs
et des feuilles. Nul avant Survage n’a su mettre
nt Et les orgues de Barbarie Y sanglotent dans les cours grises ; Les
fleurs
, aux balcons de Paris, Penchent comme la tour de
voulons vous donner de vastes et d’étranges domaines Où le mystère en
fleur
s’offre à qui veut le cueillir Il y a là des feux
lequins semblables à Dieu en variété Aussi distingués qu’un lac
Fleurs
brillant comme deux perles monstres qui pal
onfortable Et de ce qui est l’extérieur dans l’art et l’industrie Les
fleurs
sont nos enfants et non les leurs Même la fleur d
t et l’industrie Les fleurs sont nos enfants et non les leurs Même la
fleur
de lys qui meurt au Vatican La plaine est infin
tirs Te souviens-tu ? Vagues, poissons arqués,
fleurs
surmarines ! Une nuit, c’était la mer Et les fleu
ui tendent sans espoir de si jolis culs roses. Et, c’est le soir, les
fleurs
de jour déjà se closent Et les souris dans l’ombr
ai compris que je saignais du nez À cause des parfums violents de mes
fleurs
. Et j’ai ri du vieil ange qui n’est point venu
en jeu des vers. Je ne sais plus rien et j’aime uniquement ; Mais les
fleurs
, à mes yeux, redeviennent des flammes. Je médite
. Ce collier de gouttes d’eau va parer la noyée. Voici mon bouquet de
fleurs
de la passion, Qui offrent tendrement deux couron
’eau car ici il ne roule que le feu jailli de la mélinite Le parc aux
fleurs
de fulminate jaillit des trous penchés Tas de clo
stinées Les feuillards repoussés sur l’arbre de la croix Et même la
fleur
de lys qui meurt au Vatican Macèrent dans le vin
mes demeures lacustres Au bord des yeux de celle que j’aime tant Les
fleurs
qui s’écrient hors de bouches Et tout ce que je n
e leurs églises, L’odeur des fleuves dans leurs villes, Le parfum des
fleurs
dans les jardins publics, L’odeur d’un petit chie
corps incertain — Te fuient, ô bûcher divin qu’ornent Des astres, des
fleurs
du matin ! Malheur, dieu pâle aux yeux d’ivoire
ant tu es au bord de la Méditerranée Sous les citronniers qui sont en
fleur
toute l’année Avec tes amis tu te promènes en bar
ant tu es au bord de la Méditerranée Sous les citronniers qui sont en
fleur
toute l’année Avec tes amis tu te promènes en bar
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