que j’adore De vives mains et même feu Ce passé, ces têtes de morts.
Flamme
, je fais ce que tu veux. Le galop soudain des é
e Dieu de ma jeunesse ? L’amour est devenu mauvais. Qu’au brasier les
flammes
renaissent ! Mon âme au soleil se dévêt. Dans l
aissent ! Mon âme au soleil se dévêt. Dans la plaine ont poussé des
flammes
, Nos cœurs pendent aux citronniers, Les têtes cou
que j’adore De vives mains et même feu Ce passé, ces têtes de morts.
Flamme
, je fais ce que tu veux. Le galop soudain des é
le Dieu de ma jeunesse ? L’amour est devenu mauvais. Qu’au pyrée les
flammes
renaissent ! Mon âme au soleil se dévêt. Dans l
aissent ! Mon âme au soleil se dévêt. Dans la plaine ont poussé des
flammes
, Nos cœurs pendent aux citronniers, Les têtes cou
e mes mains dans l’Océan Voici le paquebot et ma vie renouvelée Ses
flammes
sont immenses. Il n’y a plus rien de commun entre
s dans un fauteuil Ma tête, mes genoux, mes coudes, vain pentacle Les
flammes
ont poussé sur moi comme des feuilles. Des acte
t miroir A M. Siéglier-Pascal [cœur] Mon Cœur semblable à une
flamme
renversée [couronne] Les rois qui meurent tour à
que j’adore De vives mains et même feu Ce passé, ces têtes de morts.
Flamme
, je fais ce que tu veux. Le galop soudain des é
e Dieu de ma jeunesse ? L’amour est devenu mauvais. Qu’au Brasier les
flammes
renaissent ! Mon âme au soleil se dévêt. Dans l
aissent ! Mon âme au soleil se dévêt. Dans la plaine ont poussé des
flammes
, Nos cœurs pendent aux citronniers, Les têtes cou
mes mains dans l’Océan, Voici le paquebot et ma vie renouvelée, Ses
flammes
sont immenses. Il n’y a plus rien de commun entre
dans un fauteuil Ma tête, mes genoux, mes coudes, vain pentacle. Les
flammes
ont poussé sur moi comme des feuilles. Les acte
ts Ceux qui m’ont regardé, évêque en ont péri. Mes yeux ce sont des
flammes
, et non des pierreries Jetez, jetez aux flammes c
Mes yeux ce sont des flammes, et non des pierreries Jetez, jetez aux
flammes
cette sorcellerie. — — Je flambe dans ces flamm
Jetez, jetez aux flammes cette sorcellerie. — — Je flambe dans ces
flammes
, ô belle Loreley Qu’un autre te condamne, tu m’as
Nuit rhénane Mon verre est plein d’un vin trembleur comme une
flamme
. Ecoutez la chanson lente d’un batelier Qui racon
s à ma voix Les
flammes
qui brûlent les âmes
es nuages du ciel Sont comme les barbes de biques. L’air tremble de
flammes
et de prières Le cimetière est un beau jardin P
et les vieilles femmes Sous le ciel sans soleil Au cimetière plein de
flammes
, Puis, dans le vent, nous nous en retournâmes…
mes mains dans l’Océan. Voici le paquebot et ma vie renouvelée Ses
flammes
sont immenses. Il n’y a plus rien de commun entre
squ’au jour les lucioles sont Les larmes d’un regret ardent comme une
flamme
Tandis que vous sentez dans la nuit de votre âme
dans un fauteuil. Ma tête, mes genoux, mes coudes, vain pentacle Les
flammes
ont poussé sur moi comme des feuilles. Les acte
e Thulé Soleil je viens caresser ta face splendide Et veux fixer ta
flamme
unique aveuglément Icare étant céleste est plus d
s de l’éveil ! je n’en connais aucune. Les becs de gaz pissaient leur
flamme
au clair de lune, Des croque-morts avec des bocks
et j’aime uniquement ; Mais les fleurs, à mes yeux, redeviennent des
flammes
. Je médite divinement. Et je souris des êtres que
a girande tourne, ô belle, ô belle nuit. Liens déliés par une libre
flamme
, ardeur Que mon souffle éteindra, ô morts, à quar
e Ses cheveux sont d’or on dirait Un bel éclair qui durerait Ou ces
flammes
qui se pavanent Dans les roses-thé qui se fanent
r toile irisée or loi des stries de feu fond en murmurant. Bleu
flamme
légère argent des ondes bleues après le grand
rre avec toute ma compagnie au long des longs boyaux Quelques cris de
flamme
annoncent sans cesse ma présence J’ai creusé le l
en un paysage japonais Le palais s’éclaire parfois d’une bougie à la
flamme
aussi petite qu’une souris O palais minuscule com
qui fuyaient aux éclairs Un homme bègue ayant au front deux jets de
flammes
Passa menant un peuple infime pour l’orgueil De m
ui fuyaient aux éclairs. Un homme bègue ayant au front deux jets de
flammes
Passa, menant un peuple infime pour l’orgueil De
six par six les nombres un à un Des kilos de papier tordus comme des
flammes
Et ceux-là qui sauront blanchir nos ossements Les
ais ne pas m’en souvenir c’était au déclin de la beauté Entourée de
flammes
ferventes Notre-Dame m’a regardé à Chartres Le sa
rais ne pas m’en souvenir c’était au déclin de la beauté Entourée de
flammes
ferventes Notre-Dame m’a regardé à Chartres Le sa
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