’est assis Il ne regarde pas le pyrogène à cheveux rouges L’allumette
flambe
Il est parti Guillaume APOLLINAIRE.
ants m’y rejettent multiple, innombrablement Les membres des intercis
flambent
auprès de moi, Éloignez du brasier les ossements,
tous les tons charmants Qui rendent les pierres agiles. II Je
flambe
dans le pyrée à l’ardeur adorable Et les mains de
ants m’y rejettent multiple, innombrablement Les membres des intercis
flambent
auprès de moi Eloignez du pyrée les ossements Je
e Jardins rouant plus haut que tous les ciels mobiles L’avenir masqué
flambe
en traversant les cieux. Nous attendons ton bon p
tous les tons charmants Qui rendent les pierres agiles. II Je
flambe
dans le brasier à l’ardeur adorable Et les mains
ts m’y rejettent multiple, innombrablement ; Les membres des intercis
flambent
auprès de moi, Eloignez du brasier les ossements,
Jardins rouant plus haut que tous les ciels mobiles, L’avenir masqué
flambe
en traversant les cieux ‒ Nous attendons ton bo
quand le jour s’éteint ; Je reviendrai demain avec mon infortune Voir
flamber
l’aurore, l’électre du matin. Tu méprises ma pe
Jardins rouant plus haut que tous les ciels mobiles, L’avenir masqué
flambe
en traversant les cieux. Nous attendons ton bon p
scends, et, le firmament S’est changé très vite en méduse, Puisque je
flambe
atrocement, Que mes bras seuls sont les excuses E
descends, et le firmament S’est changé très vite en méduse Puisque je
flambe
atrocement, Que mes bras seuls sont les excuses E
n des pierreries Jetez, jetez aux flammes cette sorcellerie. — — Je
flambe
dans ces flammes, ô belle Loreley Qu’un autre te
les, ô liberté végétale, ô seule liberté terrestre ! Ni : les maisons
flambent
, parce qu’on partira pour ne plus revenir ; Ni :