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1 (1917) Un poème « Un poème »
’est assis Il ne regarde pas le pyrogène à cheveux rouges L’allumette flambe Il est parti Guillaume APOLLINAIRE.
2 (1913) Le Brasier - II « Le Brasier »
Le Brasier II Je flambe dans le brasier à l’ardeur adorable, Et les mains
ants m’y rejettent multiple, innombrablement Les membres des intercis flambent auprès de moi, Éloignez du brasier les ossements,
3 (1917) Fusée-signal « Fusée-signal »
Fusée-signal Des villages flambaient dans la nuit intérieure Une fermière conduit son
4 (1907) Le Pyrée « Le Pyrée »
tous les tons charmants Qui rendent les pierres agiles. II Je flambe dans le pyrée à l’ardeur adorable Et les mains de
ants m’y rejettent multiple, innombrablement Les membres des intercis flambent auprès de moi Eloignez du pyrée les ossements Je
e Jardins rouant plus haut que tous les ciels mobiles L’avenir masqué flambe en traversant les cieux. Nous attendons ton bon p
5 (1912) Le Brasier « Le Brasier »
tous les tons charmants Qui rendent les pierres agiles. II Je flambe dans le brasier à l’ardeur adorable Et les mains
ts m’y rejettent multiple, innombrablement ; Les membres des intercis flambent auprès de moi, Eloignez du brasier les ossements,
Jardins rouant plus haut que tous les ciels mobiles, L’avenir masqué flambe en traversant les cieux ‒ Nous attendons ton bo
6 (1905) Le Mendiant « Le Mendiant »
quand le jour s’éteint ; Je reviendrai demain avec mon infortune Voir flamber l’aurore, l’électre du matin. Tu méprises ma pe
7 (1913) Le Brasier - III « Le Brasier »
Jardins rouant plus haut que tous les ciels mobiles, L’avenir masqué flambe en traversant les cieux. Nous attendons ton bon p
8 (1907) Lul de Faltenin « Lul de Faltenin »
scends, et, le firmament S’est changé très vite en méduse, Puisque je flambe atrocement, Que mes bras seuls sont les excuses E
9 (1907) Fragment « Fragment »
descends, et le firmament S’est changé très vite en méduse Puisque je flambe atrocement, Que mes bras seuls sont les excuses E
10 (1902) La Loreley « La Loreley »
n des pierreries Jetez, jetez aux flammes cette sorcellerie. — — Je flambe dans ces flammes, ô belle Loreley Qu’un autre te
11 (1911) Poème lu au mariage d’André Salmon « Poème lu au mariage d’André Salmon »
les, ô liberté végétale, ô seule liberté terrestre ! Ni : les maisons flambent , parce qu’on partira pour ne plus revenir ; Ni :
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