neige aux purs pétales Comme ses mains sur tes baisers Tombaient les
feuilles
automnales GUILLAUME APOLLINAIRE
Fille de celle-là qu’il cueillait en rêvant Prend un grand voile roux
feuilles
mortes devant De Jean-Jacques Rousseau le triste
gens de toutes sortes, Ils n’égalent pas leurs destins, Indécis comme
feuilles
mortes Leurs yeux sont des feux mal éteints, Leur
boux, Il éteint les cierges que toujours les enfants rallument Et les
feuilles
mortes Viennent couvrir les morts. Des enfants
tu sortes L’automne est plein de mains coupées Non, non, ce sont des
feuilles
mortes Ce sont les mains des chères mortes Ce son
Les râles des mourants Mourant dans leurs maisons En automne avec les
feuilles
immences du silence Dema
mpant par là, dit d’un air digne : — « Prenez donc des
feuilles
de vigne ». Et nos premiers parents transformés e
x, mes coudes, vain pentacle Les flammes ont poussé sur moi comme des
feuilles
. Les acteurs inhumains, claires bêtes nouvelles
nique Traumatisme géant Il fait couler les yeux Voilà une jolie jeune
feuille
parmi les jeunes Turinaises Le pauvre jeune homme
graphes galopent Où sont les aveugles où s’en sont-ils allés La seule
feuille
que j’aie cueillie s’est changée en plusieurs mir
graphes galopent Où sont les aveugles où s’en sont-ils allés La seule
feuille
que j’aie cueillie s’est changée en plusieurs mir
raîcheur de ses bouquets, la simplicité des fruits, des fleurs et des
feuilles
. Nul avant Survage n’a su mettre dans une seule t
graphes galopent Où sont les aveugles où s’en sont-ils allés La seule
feuille
que j’aie cueillie s’est changée en plusieurs mir
femme du diable a battu son amant. Puis, dans un port d’automne aux
feuilles
indécises, Quand les mains de la foule y feuillol
femme du diable a battu son amant. Puis, dans un port d’automne aux
feuilles
indécises, Quand les mains de la foule y feuillol
x, mes coudes, vain pentacle Les flammes ont poussé sur moi comme des
feuilles
. Des acteurs inhumains, claires bêtes nouvelles
douleur ; Ni : la liberté en honneur fait qu’on imite maintenant Les
feuilles
, ô liberté végétale, ô seule liberté terrestre !
, mes coudes, vain pentacle. Les flammes ont poussé sur moi comme des
feuilles
. Les acteurs inhumains, claires bêtes nouvelles
La Victoire Un coq chante je rêve et les feuillards agitent Leurs
feuilles
qui ressemblent à de pauvres marins Ailés et to
is sur le quai à Auteuil Quand les heures tombaient parfois comme les
feuilles
Du cep lorsqu’il fut temps j’entendis la prière Q