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1 (1916) Les Feux du bivouac « Les Feux du bivouac »
Les Feux du bivouac Les feux mourants du bivouac Éclair
Les Feux du bivouac Les feux mourants du bivouac Éclairent des formes de rêve
2 (1915) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
Fête (incipit : «  Feu d’artifice en acier ») À André Rouveyre.  F
Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») À André Rouveyre.   Feu d’artifice en acier Qu’il est charmant cet éclair
3 (1915) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
Fête (incipit : «  Feu d’artifice en acier ») À André Rouveyre.   
ête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») À André Rouveyre.    Feu d’artifice en acier Qu’il est charmant cet éclair
4 (1916) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
Fête (incipit : «  Feu d’artifice en acier ») à André Rouveyre.      
(incipit : « Feu d’artifice en acier ») à André Rouveyre.          Feu d’artifice en acier… Qu’il est charmant, cet écla
5 (1914) Hôtel « Hôtel »
la fenêtre Mais moi qui veux fumer pour faire des mirages J’allume au feu du jour ma cigarette Je ne veux pas travailler je
6 (1913) Poème sans titre (incipit : « O Bateaux Souvenirs et vous Nuages Flottes ») « Poème sans titre (incipit : « O Bateaux Souvenirs et vous Nuages Flottes ») »
O Bateaux Souvenirs et vous Nuages Flottes Qui fuyez la Sirène et les feux d’un cargo Je suis à Villequier au milieu des pil
7 (1913) Le Brasier - I « Le Brasier »
on ami, le grand poète P.-N. Roinard. I J’ai jeté dans le noble feu Que je transporte et que j’adore De vives mains e
le noble feu Que je transporte et que j’adore De vives mains et même feu Ce passé, ces têtes de morts. Flamme, je fais ce
8 (1907) Le Pyrée « Le Pyrée »
Le Pyrée I J’ai jeté dans le noble feu Que je transporte et que j’adore De vives mains e
le noble feu Que je transporte et que j’adore De vives mains et même feu Ce passé, ces têtes de morts. Flamme, je fais ce
gnez du pyrée les ossements Je suffis pour l’éternité à entretenir le feu de mes délices Et des oiseaux protègent de leurs
le chant du pâtre toute la vie, Là haut, le théâtre est bâti avec le feu solide Comme les astres dont se nourrit le vide.
9 (1912) Le Brasier « Le Brasier »
Le Brasier I J’ai jeté dans le noble feu Que je transporte et que j’adore De vives mains e
le noble feu Que je transporte et que j’adore De vives mains et même feu Ce passé, ces têtes de morts. Flamme, je fais ce
z du brasier les ossements, Je suffis pour l’éternité à entretenir le feu de mes délices Et des oiseaux protègent de leurs
le chant du pâtre toute la vie, Là haut, le théâtre est bâti avec le feu solide Comme les astres dont se nourrit le vide.
10 (1901) Lunaire « Lunaire »
el. Or, caché je conçois la très douce aventure. J’ai peur du dard de feu de cette abeille, Arcture, Qui posa dans mes main
11 (1912) Marie-Sybille « Marie-Sibylle »
pas leurs destins, Indécis comme feuilles mortes Leurs yeux sont des feux mal éteints, Leurs cœurs bougent comme leurs port
12 (1915) Guerre « Guerre »
se délassent Femmes Jeux Usines Commerce Industrie Agriculture Métal Feu Cristal Vitesse Voix Regard Tact à part Et ensemb
13 (1915) Guerre « Guerre »
se délassent Femmes Jeux Usines Commerce Industrie Agriculture Métal Feu Cristal Vitesse Voix Regard Tact à part Et ensemb
14 (1916) Guerre « Guerre »
jeux, usines, commerce,        industrie, agriculture, métal,         feu , cristal, vitesse, voix, regard, .. et plus encor
15 (1903) Avenir « Avenir »
, Quand en signe de peur ils dresseront leurs mains, Calmes devant le feu , les maisons qui s’effondrent, Les cadavres tout
murs Et comme lui, indolemment, nous chanterons. Nous chanterons le feu , la noblesse des forges, La force des grands gars
16 (1912) Per te præsentit aruspex « Per te præsentit aruspex »
très cher amour, toi, mon œuvre et que j’aime, A jamais j’allumai le feu de ton regard, Je t’aime comme j’aime une belle œ
17 (1912) Immortalité « Immortalité »
très cher amour, toi, mon œuvre, et que j’aime, A jamais j’allumai le feu de ton regard, Je t’aime comme j’aime une belle œ
18 (1913) Le Brasier - II « Le Brasier »
z du brasier les ossements, Je suffis pour l’éternité à entretenir le feu de mes délices Et des oiseaux protègent de leurs
19 (1917) Merveille de la guerre « Merveille de la guerre »
t dit qu’on pût être à ce point anthropophage Et qu’il fallût tant de feu pour rôtir le corps humain C’est pourquoi l’air a
est une façon de ne pas se nourrir Et se contente de jongler avec des feux versicolores Mais j’ai coulé dans la douceur de
20 (1909) Élégie « Élégie »
pieds Et notre amour ainsi se mêlait à la mort. Au loin, près d’un feu , chantaient des bohémiennes. Un train passait, le
21 (1913) Le Brasier - III « Le Brasier »
le chant du pâtre toute la vie. Là-haut, le théâtre est bâti avec le feu solide Comme les astres dont se nourrit le vide.
22 (1913) Les Fenêtres « Les Fenêtres »
eteries Étincelant diamant Vancouver Où le train blanc de neige et de feux nocturnes fuit l’hiver O Paris Du rouge au vert t
23 (1913) Les Fenêtres « Les Fenêtres »
eteries Étincelant diamant Vancouver Où le train blanc de neige et de feux nocturnes fuit l’hiver O Paris Du rouge au vert t
24 (1915) Le Repas « Le Repas »
             Et de la cuisine arrive La chanson vive du beurre sur le feu Un rayon traverse un verre presque plein de vin m
25 (1914) Rotsoge « Rotsoge »
s Mais tes cheveux sont le trolley A travers l’Europe vêtue de petits feux multicolores.
26 (1914) Rotsoge « Rotsoge »
tes cheveux sont comme le trolley A travers l’Europe vêtue de petits feux multicolores Guillaume Apollinaire
27 (1917) Le palais du tonnerre « Le palais du tonnerre »
ux emballages Il y a un trou qui sert d’âtre et ce qui y brûle est un feu semblable à l’âme Tant il tourbillonne et tant il
figé de ce domaine idéal Mais privé d’eau car ici il ne roule que le feu jailli de la mélinite Le parc aux fleurs de fulmi
28 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
ous mes vignerons dans ces belles maisons Qui reflètent le soir leurs feux dans nos deux eaux Dans ces belles maisons nettem
la ville entre nous comme entre des ciseaux Ne reflète en dormant nul feu dans ses deux eaux Dont quelque sifflement lointa
à genoux sur la rive du ciel Et le docile fer notre bon compagnon Le feu qu’il faut aimer comme on s’aime soi-même Tous le
verselle ivrognerie Et la nuit de septembre s’achevait lentement Les feux rouges des ponts s’éteignaient dans la Seine Les
29 (1905) Dans le palais de Rosemonde « Dans le Palais de Rosemonde »
entrecôtes, Ces grands pâtés, os à la moelle et mirotons ? Langues de feu , où sont-elles, mes pentecôtes, Pour mes pensées
30 (1917) Dans l'abri caverne « Dans l’abri caverne »
ble aussi que tu te jettes vers moi Une force part de nous qui est un feu solide qui nous soude Et puis il y a aussi une co
31 (1911) Dans le palais de Rosemonde « Dans le palais de Rosemonde »
ces entrecôtes Ces grands pâtés os à la moelle et mirotons Langues de feu où sont-elles mes pentecôtes Pour mes pensées de
32 (1909) [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] « [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] »
Soirs de Paris, ivres du gin Flambant de l’électricité. Les tramways, feux verts sur l’échine, Musiquent, au long des portée
33 (1915) Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] « Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] »
hes Ou sur les fils de fer devant les bobosses     Sous la tempête de feux métalliques           Je me souviens d’un lac a
34 (1915) Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] « Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] »
hes Ou sur les fils de fer devant les bobosses     Sous la tempête de feux métalliques           Je me souviens d’un lac af
35 (1918) La Jolie Rousse « La Jolie Rousse »
s Où le mystère en fleur s’offre à qui veut le cueillir Il y a là des feux nouveaux des couleurs jamais vues Mille phantasme
36 (1917) Pablo Picasso « Pablo Picasso »
’hiver est rigoureux Lustres   or toile irisée or   loi des stries de feu   fond en murmurant. Bleu   flamme légère   argen
37 (1909) [« Un soir de demi-brume, à Londres »] « [« Un soir de demi-brume, à Londres »] »
n’es pas l’amour unique ! Au tournant d’une rue brûlant De tous les feux de ses façades, Plaies du brouillard sanguinolent
38 (1912) Le Voyageur « Le Voyageur »
s photographies ? Te souviens-tu du jour où une abeille tomba dans le feu  ? C’était, tu t’en souviens, à la fin de l’été.
39 (1911) Poème lu au mariage d’André Salmon « Poème lu au mariage d’André Salmon »
s et buvons comme autrefois. Réjouissons-nous parce que, Directeur du feu et des poètes, L’amour qui emplit ainsi que la lu
40 (1912) Merlin et la vieille femme « Merlin et la vieille femme »
mme « Il sera bien mon fils, mon ouvrage immortel « Le front nimbé de feu , sur le chemin de Rome « Il marchera tout seul en
41 (1911) Cortège « Cortège »
e paupière Ni à cause du soleil, ni à cause de la terre, Mais pour ce feu oblong dont l’intensité ira s’augmentant Au point
42 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
rose, mon giroflier… Les satyres et les pyraustes, Les êgypans, les feux follets, Et les destins damnés ou faustes, La cor
43 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
i vous. Prophétisons ensemble, ô grands maîtres, je suis Le désirable feu qui pour vous se dévoue, Et la girande tourne, ô
44 (1911) Le Larron « Le Larron »
les colliers tinteront cherront les masques Va-t’en va-t’en contre le feu l’ombre prévaut Ah Ah le larron de gauche dans la
45 (1903) Le Larron « Le Larron »
colliers tinteront, cherront les masques. Va-t’en, va-t’en, contre le feu l’ombre prévaut. Ah ! Ah ! le larron de gauche da
46 (1912) Zône « Zône »
vous vous surprenez à dire une prière Tu te moques de toi et comme le feu de l’enfer ton rire pétille Les étincelles de ton
47 (1913) Zône « Zône »
vous vous surprenez à dire une prière Tu te moques de toi et comme le feu de l’enfer ton rire pétille Les étincelles de ton
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