Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») À André Rouveyre.
Feu
d’artifice en acier Qu’il est charmant cet éclair
ête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») À André Rouveyre.
Feu
d’artifice en acier Qu’il est charmant cet éclair
(incipit : « Feu d’artifice en acier ») à André Rouveyre.
Feu
d’artifice en acier… Qu’il est charmant, cet écla
la fenêtre Mais moi qui veux fumer pour faire des mirages J’allume au
feu
du jour ma cigarette Je ne veux pas travailler je
O Bateaux Souvenirs et vous Nuages Flottes Qui fuyez la Sirène et les
feux
d’un cargo Je suis à Villequier au milieu des pil
on ami, le grand poète P.-N. Roinard. I J’ai jeté dans le noble
feu
Que je transporte et que j’adore De vives mains e
le noble feu Que je transporte et que j’adore De vives mains et même
feu
Ce passé, ces têtes de morts. Flamme, je fais ce
le noble feu Que je transporte et que j’adore De vives mains et même
feu
Ce passé, ces têtes de morts. Flamme, je fais ce
gnez du pyrée les ossements Je suffis pour l’éternité à entretenir le
feu
de mes délices Et des oiseaux protègent de leurs
le chant du pâtre toute la vie, Là haut, le théâtre est bâti avec le
feu
solide Comme les astres dont se nourrit le vide.
le noble feu Que je transporte et que j’adore De vives mains et même
feu
Ce passé, ces têtes de morts. Flamme, je fais ce
z du brasier les ossements, Je suffis pour l’éternité à entretenir le
feu
de mes délices Et des oiseaux protègent de leurs
le chant du pâtre toute la vie, Là haut, le théâtre est bâti avec le
feu
solide Comme les astres dont se nourrit le vide.
el. Or, caché je conçois la très douce aventure. J’ai peur du dard de
feu
de cette abeille, Arcture, Qui posa dans mes main
pas leurs destins, Indécis comme feuilles mortes Leurs yeux sont des
feux
mal éteints, Leurs cœurs bougent comme leurs port
se délassent Femmes Jeux Usines Commerce Industrie Agriculture Métal
Feu
Cristal Vitesse Voix Regard Tact à part Et ensemb
se délassent Femmes Jeux Usines Commerce Industrie Agriculture Métal
Feu
Cristal Vitesse Voix Regard Tact à part Et ensemb
jeux, usines, commerce, industrie, agriculture, métal,
feu
, cristal, vitesse, voix, regard, .. et plus encor
, Quand en signe de peur ils dresseront leurs mains, Calmes devant le
feu
, les maisons qui s’effondrent, Les cadavres tout
murs Et comme lui, indolemment, nous chanterons. Nous chanterons le
feu
, la noblesse des forges, La force des grands gars
très cher amour, toi, mon œuvre et que j’aime, A jamais j’allumai le
feu
de ton regard, Je t’aime comme j’aime une belle œ
très cher amour, toi, mon œuvre, et que j’aime, A jamais j’allumai le
feu
de ton regard, Je t’aime comme j’aime une belle œ
z du brasier les ossements, Je suffis pour l’éternité à entretenir le
feu
de mes délices Et des oiseaux protègent de leurs
t dit qu’on pût être à ce point anthropophage Et qu’il fallût tant de
feu
pour rôtir le corps humain C’est pourquoi l’air a
est une façon de ne pas se nourrir Et se contente de jongler avec des
feux
versicolores Mais j’ai coulé dans la douceur de
pieds Et notre amour ainsi se mêlait à la mort. Au loin, près d’un
feu
, chantaient des bohémiennes. Un train passait, le
le chant du pâtre toute la vie. Là-haut, le théâtre est bâti avec le
feu
solide Comme les astres dont se nourrit le vide.
eteries Étincelant diamant Vancouver Où le train blanc de neige et de
feux
nocturnes fuit l’hiver O Paris Du rouge au vert t
eteries Étincelant diamant Vancouver Où le train blanc de neige et de
feux
nocturnes fuit l’hiver O Paris Du rouge au vert t
Et de la cuisine arrive La chanson vive du beurre sur le
feu
Un rayon traverse un verre presque plein de vin m
tes cheveux sont comme le trolley A travers l’Europe vêtue de petits
feux
multicolores Guillaume Apollinaire
ux emballages Il y a un trou qui sert d’âtre et ce qui y brûle est un
feu
semblable à l’âme Tant il tourbillonne et tant il
figé de ce domaine idéal Mais privé d’eau car ici il ne roule que le
feu
jailli de la mélinite Le parc aux fleurs de fulmi
ous mes vignerons dans ces belles maisons Qui reflètent le soir leurs
feux
dans nos deux eaux Dans ces belles maisons nettem
la ville entre nous comme entre des ciseaux Ne reflète en dormant nul
feu
dans ses deux eaux Dont quelque sifflement lointa
à genoux sur la rive du ciel Et le docile fer notre bon compagnon Le
feu
qu’il faut aimer comme on s’aime soi-même Tous le
verselle ivrognerie Et la nuit de septembre s’achevait lentement Les
feux
rouges des ponts s’éteignaient dans la Seine Les
entrecôtes, Ces grands pâtés, os à la moelle et mirotons ? Langues de
feu
, où sont-elles, mes pentecôtes, Pour mes pensées
ble aussi que tu te jettes vers moi Une force part de nous qui est un
feu
solide qui nous soude Et puis il y a aussi une co
ces entrecôtes Ces grands pâtés os à la moelle et mirotons Langues de
feu
où sont-elles mes pentecôtes Pour mes pensées de
Soirs de Paris, ivres du gin Flambant de l’électricité. Les tramways,
feux
verts sur l’échine, Musiquent, au long des portée
hes Ou sur les fils de fer devant les bobosses Sous la tempête de
feux
métalliques Je me souviens d’un lac a
hes Ou sur les fils de fer devant les bobosses Sous la tempête de
feux
métalliques Je me souviens d’un lac af
s Où le mystère en fleur s’offre à qui veut le cueillir Il y a là des
feux
nouveaux des couleurs jamais vues Mille phantasme
’hiver est rigoureux Lustres or toile irisée or loi des stries de
feu
fond en murmurant. Bleu flamme légère argen
n’es pas l’amour unique ! Au tournant d’une rue brûlant De tous les
feux
de ses façades, Plaies du brouillard sanguinolent
s photographies ? Te souviens-tu du jour où une abeille tomba dans le
feu
? C’était, tu t’en souviens, à la fin de l’été.
s et buvons comme autrefois. Réjouissons-nous parce que, Directeur du
feu
et des poètes, L’amour qui emplit ainsi que la lu
mme « Il sera bien mon fils, mon ouvrage immortel « Le front nimbé de
feu
, sur le chemin de Rome « Il marchera tout seul en
e paupière Ni à cause du soleil, ni à cause de la terre, Mais pour ce
feu
oblong dont l’intensité ira s’augmentant Au point
rose, mon giroflier… Les satyres et les pyraustes, Les êgypans, les
feux
follets, Et les destins damnés ou faustes, La cor
i vous. Prophétisons ensemble, ô grands maîtres, je suis Le désirable
feu
qui pour vous se dévoue, Et la girande tourne, ô
les colliers tinteront cherront les masques Va-t’en va-t’en contre le
feu
l’ombre prévaut Ah Ah le larron de gauche dans la
colliers tinteront, cherront les masques. Va-t’en, va-t’en, contre le
feu
l’ombre prévaut. Ah ! Ah ! le larron de gauche da
vous vous surprenez à dire une prière Tu te moques de toi et comme le
feu
de l’enfer ton rire pétille Les étincelles de ton
vous vous surprenez à dire une prière Tu te moques de toi et comme le
feu
de l’enfer ton rire pétille Les étincelles de ton