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1 (1917) [Calligramme (silhouette de femme)] « [Caligramme (silhouette de femme)] »
[Caligramme (silhouette de femme )] [silhouette de femme] Vive Vive la France
[Caligramme (silhouette de femme)] [silhouette de femme ] Vive Vive la France semble-t-il être écrit dans
2 (1912) Fanny « Fanny »
de roses ; Il contient aussi une villa Qui est une grande rose. Une femme se promène souvent Dans le jardin toute seule, Et
sur la route, bordée de tilleuls, Nous nous regardons. Comme cette femme est mennonite Ses rosiers et ses vêtements n’ont
3 (1914) 1890 « 1890 »
1890 l’X Toutes les femmes de 45 à 50 ans se souviennent d’avoir été amoureu
4 (1908) Le Chat « Le Chat »
Le Chat Je souhaite dans ma maison : Une femme ayant sa raison, Un chat passant parmi les livres
5 (1914) Un dernier chapitre « Un dernier chapitre »
soupoudrait Et des commis de commerçants de toutes sortes Il vint des femmes terribles et portant des enfants ou en ayant d’au
des enfants ou en ayant d’autres accrochés à leurs jupes Il vint des femmes pauvres mais effrontées plâtrées maquillées aux g
6 (1917) à Louise Marion « à Louise Marion »
vos multiples tétons La féconde raison a jailli de ma fable Plus de femme stérile et non plus d’avortons Votre voix a chang
7 (1915) Mutation « Mutation »
Mutation Une femme qui pleurait Eh     Oh     Ha Des soldats qui pas
8 (1915) Mutation « Mutation »
Mutation Une femme qui pleurait Eh        Oh        Ha Des soldats q
9 (1913) La Grenouillère « La Grenouillère »
tres ni Maupassant ne se promènent Bras nus sur leurs canots avec des femmes à grosse poitrine                  Et bêtes comme
10 (1914) Anvers « Anvers »
tricentenaires Des noms le mien et celui qui A la saveur du laurier femme
11 (1913) Inscription pour le tombeau du peintre Henri Rousseau douanier « Inscription pour le tombeau du peintre Henri Rousseau douanier »
uanier Gentil Rousseau tu nous entends Nous te saluons Delaunay sa femme Monsieur Queval et moi Laisse passer nos bagages
12 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
a rue Saint-Martin Jouant l’air que je chante et que j’ai inventé Les femmes qui passaient s’arrêtaient près de lui Il en vena
cha jusqu’à la rue de la Verrerie Où il entra suivi par la troupe des femmes Qui sortaient des maisons Qui venaient par les ru
plus le sol Et tandis que le monde vivait et variait Le cortège des femmes long comme un jour sans pain Suivait dans la rue
uand l’émeute mourait autour de Saint-Merry Cortèges ô cortèges Les femmes débordaient tant leur nombre était grand Dans tou
a le musicien Et sa musique qui s’éloignait devint langoureuse Et les femmes le suivirent dans la maison abandonnée Et toutes
ts de la garde républicaine O nuit troupeau de regards langoureux des femmes O nuit toi ma douleur et mon attente vaine J’ente
13 (1909) Le jour des morts « Le jour des morts »
e Hans et Henri Nul coq n’a chanté aujourd’hui Kikiriki. Les vieilles femmes Tout en pleurant cheminent Et les bons ânes Brail
jour des morts et de toutes leurs âmes. Les enfants et les vieilles femme Allument des bougies et des cierges Sur chaque to
tant pleuré aujourd’hui Avec ces morts, leurs enfants et les vieilles femmes Sous le ciel sans soleil Au cimetière plein de fl
14 (1913) Arbre « Arbre »
changée en plusieurs mirages Ne m’abandonnez pas parmi cette foule de femmes au marché Ispahan s’est fait un ciel de carreaux
e cachait point un revolver aimé Tu t’es promené à Leipzig avec une femme mince déguisée en homme Intelligence car voilà ce
me mince déguisée en homme Intelligence car voilà ce que c’est qu’une femme intelligente Et il ne faudrait pas oublier les lé
15 (1916) Arbre « Arbre »
changée en plusieurs mirages Ne m’abandonnez pas parmi cette foule de femmes au marché Ispahan s’est fait un ciel de carreaux
e cachait point un revolver aimé Tu t’es promené à Leipzig avec une femme mince déguisée en homme Intelligence car voilà ce
me mince déguisée en homme Intelligence car voilà ce que c’est qu’une femme intelligente Et il ne faudrait pas oublier les lé
16 (1917) Arbre « Arbre »
changée en plusieurs mirages Ne m’abandonnez pas parmi cette foule de femmes au marché Ispahan s’est fait au ciel de carreaux
e cachait point un réwolver armé Tu t’es promené à Leipzig avec une femme mince déguisée en homme Intélligence car voilà ce
emme mince déguisée en homme Intélligence car voilà ce qui est qu’une femme intelligente Et il ne faudrait pas oublier les lé
17 (1916) Tristesse d'une étoile « Il pleut »
Il pleut Il pleut des voix de femmes comme si elles étaient mortes même dans le souven
18 (1914) Poème sans titre (incipit : « Gentil Rousseau, tu nous entends ») « Poème sans titre (incipit : « Gentil Rousseau, tu nous entends ») »
ous te saluons                                           Delaunay, sa femme , Monsieur Quéval et moi.                         
19 (1901) Épousailles « Épousailles »
i bien que mon amour pour votre adolescence Accompagne à pas lents sa femme , votre absence, Qui, très douce, le mène et, tran
20 (1914) « Tè »
l satisfait un rut qui le pousse et respecte la liberté d’amour de la femme — Fumer comme un condamné à mort — Le cyclope ave
21 (1917) [Calligramme (oiseau)] « [Calligramme (oiseau)] »
ncombre des grappes de raisin, un profil d’homme à la tête bandée une femme nue qui rêve des chevaux à l’écurie et des cavali
22 (1901) Les Femmes « Les Femmes »
Les Femmes Dans la maison du vigneron les femmes cousent…
Les Femmes Dans la maison du vigneron les femmes cousent… « Lenchen, remplis le poêle et mets l’ea
t du sacristain, « Lise, il faut attiser le poêle qui s’éteint. » Les femmes se signaient dans la nuit indécise. Honnef, Déc
23 (1915) Guerre « Guerre »
après Nous prendrons toutes les joies Des vainqueurs qui se délassent Femmes Jeux Usines Commerce Industrie Agriculture Métal
24 (1915) Guerre « Guerre »
après Nous prendrons toutes les joies Des vainqueurs qui se délassent Femmes Jeux Usines Commerce Industrie Agriculture Métal
25 (1909) [« Un soir de demi-brume, à Londres »] « [« Un soir de demi-brume, à Londres »] »
Plaies du brouillard sanguinolent Où se lamentaient les façades, Une femme lui ressemblant — C’était son regard d’inhumain
Son vieux chien de lui se souvint ; Près d’un tapis de haute lisse Sa femme attendait qu’il revînt. L’époux royal de Sacont
la belle aube au triste soir ?… Adieu, faux amour confondu Avec la femme qui s’éloigne, Avec celle que j’ai perdue L’année
26 (1910) La Cathédrale de Prague « La Cathédrale de Prague »
beau, monsieur Chauvin. Prague a sa cathédrale Que ne peut oublier la femme qui la vit. Rien ne vaut à Paris cette monumental
27 (1910) La Cathédrale de Prague « La Cathédrale de Prague »
beau, monsieur Chauvin. Prague a sa cathédrale Que ne peut oublier la femme qui la vit. Rien ne vaut à Paris cette monumental
28 (1912) Nuit rhénane « Nuit rhénane »
chanson lente d’un batelier Qui raconte avoir vu, sous la lune, sept femmes Tordre leurs cheveux verts et longs jusqu’à leurs
29 (1916) Guerre « Guerre »
s toutes les joies           des vainqueurs qui se délassent :         femmes , jeux, usines, commerce,        industrie, agricu
30 (1915) Acousmate (incipit : « Paix sur terre aux hommes de bonne volonté ») « Acousmate (incipit : « Paix sur terre aux hommes de bonne volonté ») »
les doigts de cet homme on voit des tâches d’encre Les hommes et les FEMMES sont tous insermentés Les bergers écoutaient ce
31 (1913) Le Brasier - I « Le Brasier »
qui m’acclament Et les astres qui ont saigné Ne sont que des têtes de femmes , Le fleuve épinglé sur la ville T’y fixe comme
32 (1917) Pablo Picasso « Pablo Picasso »
s   lourdes ailes   l’incandesce   quelques brasses encore Bourdons   femmes striées   éclat de   plongeon-diamant Arlequins  
assauts du vent   qui s’assoupit Ouis les vagues et le fracas d’une   femme bleue Enfin la grotte à l’atmosphère dorée   par
33 (1905) Le Mendiant « Le Mendiant »
ma sébile. Va-t’en vers le spectacle où des acteurs feront Gémir les femmes grâce aux grimaces flébiles. Je n’ai que ma doule
34 (1914) Mille regrets « Mille regrets »
sé d’amour de l’amour regretté Avec tous les sapins changés en bonnes femmes .
35 (1909) Les Sept Épées « Les Sept Épées »
 » Les coqs s’épuisaient en fanfares. Et la septième s’exténue, Une femme , une rose morte : « Merci, que le dernier venu « 
36 (1916) Le Désir « Désir »
minute en minute Nuit des hommes seulement Nuit qui criait comme une femme qui accouche
37 (1917) Le Dépôt « Le Dépôt »
ent Le territorial se mange une salade A l’anchois en parlant de sa femme malade 4 pointeurs fixaient les bulles des nive
38 (1917) Désir « Désir »
d devenait plus intense de minute en minute Nuit qui criait comme une femme qui accouche                   Nuit des hommes se
39 (1914) Poème sans titre (incipit : « Tu te souviens, Rousseau, du paysage astèque ») « Poème sans titre (incipit : « Tu te souviens, Rousseau, du paysage astèque ») »
alheur s’acharna sur ta progéniture 1 , Tu perdis tes enfants et tes femmes aussi Et te remarias avecque la peinture Pour fai
40 (1911) Le Larron « Le Larron »
es Lydiennes nues Or les hommes ayant des masques de théâtre Et les femmes ayant des colliers où pendait La pierre prise au
t de fèves Ou des beignets de fleurs trempés dans du miel blond Une femme lui dit Tu n’invoques personne Crois-tu donc au h
comme la pantaure Que n’avait-il la voix et les jupes d’Orphée Et les femmes la nuit feignant d’être des taures L’eussent aimé
41 (1915) 2e canonnier conducteur « 2e canonnier conducteur »
pipe Le lièvre détale et voici un russieau que j’aime Et cette jeune femme nous salue charretiers                          
42 (1916) Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne « Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne »
t le sapin noir ou le bouleau si blanc. Mais quand reverrons-nous une femme , une chambre ? Quand nous reverrons-nous ? Mais,
43 (1916) Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne « Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne »
t le sapin noir ou le bouleau si blanc. Mais quand reverrons-nous une femme , une chambre ? Quand nous reverrons-nous ? Mais,
44 (1912) Zône « Zône »
is tu vas le regarder de près Aujourd’hui tu marches dans Paris les femmes sont ensanglantées C’était et je voudrais ne pas
ns de larmes ces pauvres émigrants Ils croient en Dieu ils prient les femmes allaitent des enfants Ils emplissent de leur odeu
t rarement comme les pièces aux échecs Il y a surtout des juifs leurs femmes portent perruque Elles restent assises exsangues
dans un grand restaurant On chante on danse on boit du champagne Ces femmes ne sont pas méchantes elles ont des soucis cepend
45 (1913) Zône « Zône »
is tu vas le regarder de près Aujourd’hui tu marches dans Paris les femmes sont ensanglantées C’était et je voudrais ne pa
ns de larmes ces pauvres émigrants Ils croient en Dieu ils prient les femmes allaitent des enfants Ils emplissent de leur odeu
t rarement comme les pièces aux échecs Il y a surtout des juifs leurs femmes portent perruque Elles restent assises exsangues
dans un grand restaurant On chante on danse on boit du champagne Ces femmes ne sont pas méchantes elles ont des soucis cepend
46 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
, J’adore de belles idoles : Les souvenirs lui ressemblant ; Comme la femme de Mausole Je reste fidèle et dolent. Je suis f
avec mon âme, Et sur le pont des Reviens-t’en Si jamais revient cette femme , Je lui dirai : « Je suis content ! » … Mon cœu
47 (1903) Le Larron « Le Larron »
ydiennes nues. » Or, les hommes ayant des masques de théâtre Et les femmes ayant des colliers où pendait La pierre prise au
fèves Ou des beignets de fleurs trempés dans du miel blond ? » Une femme lui dit : « Tu n’invoques personne, Crois-tu donc
omme la pantaure. Que n’avait-il la voix et les jupes d’Orphée Et les femmes , la nuit, feignant d’être des taures L’eussent ai
48 (1909) [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] « [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] »
s, Rois secoués par la folie… Et ces grelottantes étoiles… De fausses femmes dans vos lits Aux déserts que l’histoire accable.
49 (1915) Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] « Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] »
nemi qui dévaste             Le Village                     Viole les femmes                              Emmène les filles Et
50 (1915) Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] « Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] »
nemi qui dévaste             Le Village                     Viole les femmes                              Emmène les filles Et
51 (1902) La Loreley « La Loreley »
r trois chevaliers avec leurs lances : — Menez jusqu’au couvent cette femme en démence. Va-t’en, Lore en folie, va Lore aux
52 (1905) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
Des blancs et de tout noirs, vaincus des cieux qui pleuvent, Quand la femme du diable a battu son amant. Puis, dans un port
53 (1912) Le Voyageur « Le Voyageur »
naient Et vomissaient la nuit le soleil des journées. O matelots, ô femmes sombres, et vous, mes compagnons                 
54 (1912) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
Des blancs et de tout noirs, vaincus des cieux qui pleuvent Quand la femme du diable a battu son amant. Puis, dans un port
55 (1917) Merveille de la guerre « Merveille de la guerre »
l’arrière Dans ceux qui meurent en piétinant dans le barbelé Dans les femmes dans les canons dans les chevaux Au Zenith au Nad
56 (1907) Le Pyrée « Le Pyrée »
qui m’acclament Et les astres qui ont saigné Ne sont que des têtes de femmes . Le fleuve épinglé sur la ville T’y fixe comme
57 (1916) Chant de l'horizon en Champagne « Chant de l’horizon en Champagne »
soldats invisibles Horizon invisible je chante Que les civils et les femmes écoutent les chansons Et voici d’abord la cantilè
58 (1911) Poème lu au mariage d’André Salmon « Poème lu au mariage d’André Salmon »
ik mourant, compter les béatitudes En admirant la neige semblable aux femmes nues. Je le revis faisant ceci ou cela en l’honne
59 (1912) Le Brasier « Le Brasier »
qui m’acclament Et les astres qui ont saigné Ne sont que des têtes de femmes . Le fleuve épinglé sur la ville T’y fixe comme
60 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
passée. Alors, je les dénombrai. Ils étaient quarante-neuf hommes, Femmes et enfants Qui embellissaient à vue d’œil Et me r
A l’avant du bateau que je gouvernais, Un mort parlait avec une jeune femme Vêtue d’une robe jaune, D’un corsage noir Avec de
61 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
passée. Alors, je les dénombrai. Ils étaient quarante-neuf hommes. Femmes et enfants Qui embellissaient à vue d’œil Et me r
A l’avant du bateau que je gouvernais, Un mort parlait avec une jeune femme Vêtue d’une robe jaune, D’un corsage noir Avec de
62 (1912) Merlin et la vieille femme « Merlin et la vieille femme »
Merlin et la vieille femme Le soleil ce jour-là, s’étalait comme un ventr
63 (1917) La Victoire « La Victoire »
seront beaux et ridicules Deux lampes brûlent devant moi Comme deux femmes qui rient Je courbe tristement la tête Devant l’a
64 (1911) Cortège « Cortège »
t la ribambelle ursuline Qui t’inspirait l’erreur touchant toutes les femmes . Il me suffit de goûter la saveur du laurier qu’o
65 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
              Entre toi et nous ITALIE Il y a des patelins pleins de femmes Et près de toi m’attend celle que j’adore    
66 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
t leurs relevailles. La ville, cette nuit, semblait un archipel, Des femmes demandaient l’amour et la dulie, Et sombre, sombr
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