[Caligramme (silhouette de femme)] [silhouette de
femme
] Vive Vive la France semble-t-il être écrit dans
de roses ; Il contient aussi une villa Qui est une grande rose. Une
femme
se promène souvent Dans le jardin toute seule, Et
sur la route, bordée de tilleuls, Nous nous regardons. Comme cette
femme
est mennonite Ses rosiers et ses vêtements n’ont
soupoudrait Et des commis de commerçants de toutes sortes Il vint des
femmes
terribles et portant des enfants ou en ayant d’au
des enfants ou en ayant d’autres accrochés à leurs jupes Il vint des
femmes
pauvres mais effrontées plâtrées maquillées aux g
vos multiples tétons La féconde raison a jailli de ma fable Plus de
femme
stérile et non plus d’avortons Votre voix a chang
tres ni Maupassant ne se promènent Bras nus sur leurs canots avec des
femmes
à grosse poitrine Et bêtes comme
uanier Gentil Rousseau tu nous entends Nous te saluons Delaunay sa
femme
Monsieur Queval et moi Laisse passer nos bagages
a rue Saint-Martin Jouant l’air que je chante et que j’ai inventé Les
femmes
qui passaient s’arrêtaient près de lui Il en vena
cha jusqu’à la rue de la Verrerie Où il entra suivi par la troupe des
femmes
Qui sortaient des maisons Qui venaient par les ru
plus le sol Et tandis que le monde vivait et variait Le cortège des
femmes
long comme un jour sans pain Suivait dans la rue
uand l’émeute mourait autour de Saint-Merry Cortèges ô cortèges Les
femmes
débordaient tant leur nombre était grand Dans tou
a le musicien Et sa musique qui s’éloignait devint langoureuse Et les
femmes
le suivirent dans la maison abandonnée Et toutes
ts de la garde républicaine O nuit troupeau de regards langoureux des
femmes
O nuit toi ma douleur et mon attente vaine J’ente
e Hans et Henri Nul coq n’a chanté aujourd’hui Kikiriki. Les vieilles
femmes
Tout en pleurant cheminent Et les bons ânes Brail
jour des morts et de toutes leurs âmes. Les enfants et les vieilles
femme
Allument des bougies et des cierges Sur chaque to
tant pleuré aujourd’hui Avec ces morts, leurs enfants et les vieilles
femmes
Sous le ciel sans soleil Au cimetière plein de fl
changée en plusieurs mirages Ne m’abandonnez pas parmi cette foule de
femmes
au marché Ispahan s’est fait un ciel de carreaux
e cachait point un revolver aimé Tu t’es promené à Leipzig avec une
femme
mince déguisée en homme Intelligence car voilà ce
me mince déguisée en homme Intelligence car voilà ce que c’est qu’une
femme
intelligente Et il ne faudrait pas oublier les lé
changée en plusieurs mirages Ne m’abandonnez pas parmi cette foule de
femmes
au marché Ispahan s’est fait un ciel de carreaux
e cachait point un revolver aimé Tu t’es promené à Leipzig avec une
femme
mince déguisée en homme Intelligence car voilà ce
me mince déguisée en homme Intelligence car voilà ce que c’est qu’une
femme
intelligente Et il ne faudrait pas oublier les lé
changée en plusieurs mirages Ne m’abandonnez pas parmi cette foule de
femmes
au marché Ispahan s’est fait au ciel de carreaux
e cachait point un réwolver armé Tu t’es promené à Leipzig avec une
femme
mince déguisée en homme Intélligence car voilà ce
emme mince déguisée en homme Intélligence car voilà ce qui est qu’une
femme
intelligente Et il ne faudrait pas oublier les lé
i bien que mon amour pour votre adolescence Accompagne à pas lents sa
femme
, votre absence, Qui, très douce, le mène et, tran
l satisfait un rut qui le pousse et respecte la liberté d’amour de la
femme
— Fumer comme un condamné à mort — Le cyclope ave
ncombre des grappes de raisin, un profil d’homme à la tête bandée une
femme
nue qui rêve des chevaux à l’écurie et des cavali
t du sacristain, « Lise, il faut attiser le poêle qui s’éteint. » Les
femmes
se signaient dans la nuit indécise. Honnef, Déc
après Nous prendrons toutes les joies Des vainqueurs qui se délassent
Femmes
Jeux Usines Commerce Industrie Agriculture Métal
après Nous prendrons toutes les joies Des vainqueurs qui se délassent
Femmes
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Plaies du brouillard sanguinolent Où se lamentaient les façades, Une
femme
lui ressemblant — C’était son regard d’inhumain
Son vieux chien de lui se souvint ; Près d’un tapis de haute lisse Sa
femme
attendait qu’il revînt. L’époux royal de Sacont
la belle aube au triste soir ?… Adieu, faux amour confondu Avec la
femme
qui s’éloigne, Avec celle que j’ai perdue L’année
beau, monsieur Chauvin. Prague a sa cathédrale Que ne peut oublier la
femme
qui la vit. Rien ne vaut à Paris cette monumental
beau, monsieur Chauvin. Prague a sa cathédrale Que ne peut oublier la
femme
qui la vit. Rien ne vaut à Paris cette monumental
chanson lente d’un batelier Qui raconte avoir vu, sous la lune, sept
femmes
Tordre leurs cheveux verts et longs jusqu’à leurs
s toutes les joies des vainqueurs qui se délassent :
femmes
, jeux, usines, commerce, industrie, agricu
les doigts de cet homme on voit des tâches d’encre Les hommes et les
FEMMES
sont tous insermentés Les bergers écoutaient ce
qui m’acclament Et les astres qui ont saigné Ne sont que des têtes de
femmes
, Le fleuve épinglé sur la ville T’y fixe comme
s lourdes ailes l’incandesce quelques brasses encore Bourdons
femmes
striées éclat de plongeon-diamant Arlequins
assauts du vent qui s’assoupit Ouis les vagues et le fracas d’une
femme
bleue Enfin la grotte à l’atmosphère dorée par
ma sébile. Va-t’en vers le spectacle où des acteurs feront Gémir les
femmes
grâce aux grimaces flébiles. Je n’ai que ma doule
» Les coqs s’épuisaient en fanfares. Et la septième s’exténue, Une
femme
, une rose morte : « Merci, que le dernier venu «
ent Le territorial se mange une salade A l’anchois en parlant de sa
femme
malade 4 pointeurs fixaient les bulles des nive
d devenait plus intense de minute en minute Nuit qui criait comme une
femme
qui accouche Nuit des hommes se
alheur s’acharna sur ta progéniture 1 , Tu perdis tes enfants et tes
femmes
aussi Et te remarias avecque la peinture Pour fai
es Lydiennes nues Or les hommes ayant des masques de théâtre Et les
femmes
ayant des colliers où pendait La pierre prise au
t de fèves Ou des beignets de fleurs trempés dans du miel blond Une
femme
lui dit Tu n’invoques personne Crois-tu donc au h
comme la pantaure Que n’avait-il la voix et les jupes d’Orphée Et les
femmes
la nuit feignant d’être des taures L’eussent aimé
t le sapin noir ou le bouleau si blanc. Mais quand reverrons-nous une
femme
, une chambre ? Quand nous reverrons-nous ? Mais,
t le sapin noir ou le bouleau si blanc. Mais quand reverrons-nous une
femme
, une chambre ? Quand nous reverrons-nous ? Mais,
is tu vas le regarder de près Aujourd’hui tu marches dans Paris les
femmes
sont ensanglantées C’était et je voudrais ne pas
ns de larmes ces pauvres émigrants Ils croient en Dieu ils prient les
femmes
allaitent des enfants Ils emplissent de leur odeu
t rarement comme les pièces aux échecs Il y a surtout des juifs leurs
femmes
portent perruque Elles restent assises exsangues
dans un grand restaurant On chante on danse on boit du champagne Ces
femmes
ne sont pas méchantes elles ont des soucis cepend
is tu vas le regarder de près Aujourd’hui tu marches dans Paris les
femmes
sont ensanglantées C’était et je voudrais ne pa
ns de larmes ces pauvres émigrants Ils croient en Dieu ils prient les
femmes
allaitent des enfants Ils emplissent de leur odeu
t rarement comme les pièces aux échecs Il y a surtout des juifs leurs
femmes
portent perruque Elles restent assises exsangues
dans un grand restaurant On chante on danse on boit du champagne Ces
femmes
ne sont pas méchantes elles ont des soucis cepend
, J’adore de belles idoles : Les souvenirs lui ressemblant ; Comme la
femme
de Mausole Je reste fidèle et dolent. Je suis f
avec mon âme, Et sur le pont des Reviens-t’en Si jamais revient cette
femme
, Je lui dirai : « Je suis content ! » … Mon cœu
ydiennes nues. » Or, les hommes ayant des masques de théâtre Et les
femmes
ayant des colliers où pendait La pierre prise au
fèves Ou des beignets de fleurs trempés dans du miel blond ? » Une
femme
lui dit : « Tu n’invoques personne, Crois-tu donc
omme la pantaure. Que n’avait-il la voix et les jupes d’Orphée Et les
femmes
, la nuit, feignant d’être des taures L’eussent ai
s, Rois secoués par la folie… Et ces grelottantes étoiles… De fausses
femmes
dans vos lits Aux déserts que l’histoire accable.
r trois chevaliers avec leurs lances : — Menez jusqu’au couvent cette
femme
en démence. Va-t’en, Lore en folie, va Lore aux
Des blancs et de tout noirs, vaincus des cieux qui pleuvent, Quand la
femme
du diable a battu son amant. Puis, dans un port
naient Et vomissaient la nuit le soleil des journées. O matelots, ô
femmes
sombres, et vous, mes compagnons
Des blancs et de tout noirs, vaincus des cieux qui pleuvent Quand la
femme
du diable a battu son amant. Puis, dans un port
l’arrière Dans ceux qui meurent en piétinant dans le barbelé Dans les
femmes
dans les canons dans les chevaux Au Zenith au Nad
qui m’acclament Et les astres qui ont saigné Ne sont que des têtes de
femmes
. Le fleuve épinglé sur la ville T’y fixe comme
soldats invisibles Horizon invisible je chante Que les civils et les
femmes
écoutent les chansons Et voici d’abord la cantilè
ik mourant, compter les béatitudes En admirant la neige semblable aux
femmes
nues. Je le revis faisant ceci ou cela en l’honne
qui m’acclament Et les astres qui ont saigné Ne sont que des têtes de
femmes
. Le fleuve épinglé sur la ville T’y fixe comme
passée. Alors, je les dénombrai. Ils étaient quarante-neuf hommes,
Femmes
et enfants Qui embellissaient à vue d’œil Et me r
A l’avant du bateau que je gouvernais, Un mort parlait avec une jeune
femme
Vêtue d’une robe jaune, D’un corsage noir Avec de
passée. Alors, je les dénombrai. Ils étaient quarante-neuf hommes.
Femmes
et enfants Qui embellissaient à vue d’œil Et me r
A l’avant du bateau que je gouvernais, Un mort parlait avec une jeune
femme
Vêtue d’une robe jaune, D’un corsage noir Avec de
seront beaux et ridicules Deux lampes brûlent devant moi Comme deux
femmes
qui rient Je courbe tristement la tête Devant l’a
t la ribambelle ursuline Qui t’inspirait l’erreur touchant toutes les
femmes
. Il me suffit de goûter la saveur du laurier qu’o
Entre toi et nous ITALIE Il y a des patelins pleins de
femmes
Et près de toi m’attend celle que j’adore
t leurs relevailles. La ville, cette nuit, semblait un archipel, Des
femmes
demandaient l’amour et la dulie, Et sombre, sombr