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1 (1914) L'Ignorance « L’Ignorance »
peu de cire fixe à mes épaules nues Et j’ai pris mon essor vers ta face splendide Les horizons terrestres se sont étalés
des sources du Nil aux brumes de Thulé Soleil je viens caresser ta face splendide Et veux fixer ta flamme unique aveuglém
u nu les mains vides Au semblant des noyés il ira sur une île Pourrir face tournée vers le soleil splendide Deux ailes feuil
2 (1913) Inscription pour le tombeau du peintre Henri Rousseau douanier « Inscription pour le tombeau du peintre Henri Rousseau douanier »
ière réelle Tu les consacres à peindre comme tu tiras mon portrait La face des étoiles. GUILLAUME APOLLINAIRE.
3 (1914) Poème sans titre (incipit : « Gentil Rousseau, tu nous entends ») « Poème sans titre (incipit : « Gentil Rousseau, tu nous entends ») »
                                                                  La face des étoiles.
4 (1901) Passion « Passion »
pâle, au bois plaintif ou dans le champ En rentrant tourneront leurs faces au couchant Embaumé par les foins d’occidental ci
5 (1912) Passion « Passion »
pâle, au bois plaintif ou dans le champ, En rentrant tourneront leurs faces au couchant Embaumé par les foins d’occidental ci
6 (1913) Le Brasier - II « Le Brasier »
enir le feu de mes délices Et des oiseaux protègent de leurs ailes ma face et le soleil. O mémoire, combien de races qui f
7 (1904) La Synagogue « La Synagogue »
 » ou « Que le diable entre dans ton père. » Le vieux Rhin soulève sa face ruisselante et se détourne pour sourire. Ottomar
8 (1914) La Farce du Miroir « La Farce du Miroir »
la raison où son amour l’induit Est parjure à présent pour la seconde face Or depuis ce jour-là j’ai souvent comparé Dans
9 (1914) Poème sans titre (incipit : « Tu te souviens, Rousseau, du paysage astèque ») « Poème sans titre (incipit : « Tu te souviens, Rousseau, du paysage astèque ») »
pendants Et dans le marbre blanc, issu du Pentélique, On sculptera ta face , orgueil de notre temps. Or sus ! que l’on se l
10 (1903) Avenir « Avenir »
Il y aura du sang et sur les rouges mares Penchés, nous mirerons nos faces calmement Et nous regarderons aux tragiques miroi
11 (1909) [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] « [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] »
uche ouverte, Il s’en revint en surnageant Sur la rive dormir inerte, Face tournée au ciel changeant… … Juin, ton soleil,
12 (1912) Le Voyageur « Le Voyageur »
sèrent des ombres vivaces, De profil ou soudain tournant leurs vagues faces Et tenant l’ombre de leurs lances en avant. Les
13 (1907) Le Pyrée « Le Pyrée »
enir le feu de mes délices Et des oiseaux protègent de leurs ailes ma face et le soleil. O mémoire, combien de races qui f
14 (1911) Poème lu au mariage d’André Salmon « Poème lu au mariage d’André Salmon »
s faisant ceci ou cela en l’honneur des mêmes paroles Qui changent la face des enfants et je dis toutes ces choses, Souvenir
15 (1912) Le Brasier « Le Brasier »
enir le feu de mes délices Et des oiseaux protègent de leurs ailes ma face et le soleil. O mémoire, combien de races qui f
16 (1917) Le palais du tonnerre « Le palais du tonnerre »
à droite fuir l’humide couloir désert Où meurt étendue une pelle à la face effrayante à deux yeux réglementaires qui servent
17 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
trois voix suaves et sereines Le détroit tout-à-coup avait changé de face Visages de la chair de l’onde de tout Ce que l’on
de tout Ce que l’on peut imaginer Vous n’êtes que des masques sur des faces masquées Il souriait jeune nageur entre les riv
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