peu de cire fixe à mes épaules nues Et j’ai pris mon essor vers ta
face
splendide Les horizons terrestres se sont étalés
des sources du Nil aux brumes de Thulé Soleil je viens caresser ta
face
splendide Et veux fixer ta flamme unique aveuglém
u nu les mains vides Au semblant des noyés il ira sur une île Pourrir
face
tournée vers le soleil splendide Deux ailes feuil
ière réelle Tu les consacres à peindre comme tu tiras mon portrait La
face
des étoiles. GUILLAUME APOLLINAIRE.
pâle, au bois plaintif ou dans le champ En rentrant tourneront leurs
faces
au couchant Embaumé par les foins d’occidental ci
pâle, au bois plaintif ou dans le champ, En rentrant tourneront leurs
faces
au couchant Embaumé par les foins d’occidental ci
enir le feu de mes délices Et des oiseaux protègent de leurs ailes ma
face
et le soleil. O mémoire, combien de races qui f
» ou « Que le diable entre dans ton père. » Le vieux Rhin soulève sa
face
ruisselante et se détourne pour sourire. Ottomar
la raison où son amour l’induit Est parjure à présent pour la seconde
face
Or depuis ce jour-là j’ai souvent comparé Dans
pendants Et dans le marbre blanc, issu du Pentélique, On sculptera ta
face
, orgueil de notre temps. Or sus ! que l’on se l
Il y aura du sang et sur les rouges mares Penchés, nous mirerons nos
faces
calmement Et nous regarderons aux tragiques miroi
uche ouverte, Il s’en revint en surnageant Sur la rive dormir inerte,
Face
tournée au ciel changeant… … Juin, ton soleil,
sèrent des ombres vivaces, De profil ou soudain tournant leurs vagues
faces
Et tenant l’ombre de leurs lances en avant. Les
enir le feu de mes délices Et des oiseaux protègent de leurs ailes ma
face
et le soleil. O mémoire, combien de races qui f
s faisant ceci ou cela en l’honneur des mêmes paroles Qui changent la
face
des enfants et je dis toutes ces choses, Souvenir
enir le feu de mes délices Et des oiseaux protègent de leurs ailes ma
face
et le soleil. O mémoire, combien de races qui f
à droite fuir l’humide couloir désert Où meurt étendue une pelle à la
face
effrayante à deux yeux réglementaires qui servent
trois voix suaves et sereines Le détroit tout-à-coup avait changé de
face
Visages de la chair de l’onde de tout Ce que l’on
de tout Ce que l’on peut imaginer Vous n’êtes que des masques sur des
faces
masquées Il souriait jeune nageur entre les riv
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