Et la noblesse de la ligne : Elle est la voix que la lumière fit
entendre
Et dont parle Hermès Trismégiste en son Pimandre.
affût pendant l’éternité Ombre vous rampez près de moi Mais vous ne m’
entendez
plus Vous ne connaîtrez plus les poèmes divins qu
onnaîtrez plus les poèmes divins que je chante Tandis que moi je vous
entends
je vous vois encore Destinées Ombre multiple que
de Qui se change en un œuf coché Puisqu’il en naît des coqs Infante
Entends
-les chanter leurs dédains Et que la grenade est t
tombeau du peintre Henri Rousseau douanier Gentil Rousseau tu nous
entends
Nous te saluons Delaunay sa femme Monsieur Queval
la profonde eau triste Anges frais débarqués à Marseille hier matin J’
entends
mourir et remourir un chant lointain Humble comme
sote La tole ondulée sous la pluie Et sous la pluie ma bourguignote
Entends
la terre véhémente Vois les lueurs avant d’entend
ma bourguignote Entends la terre véhémente Vois les lueurs avant d’
entendre
les coups Et tel obus siffler de la démence Ou le
sote La tôle ondulée sous la pluie Et sous la pluie ma bourguignote
Entends
la terre véhémente Vois les lueurs avant d’entend
ma bourguignote Entends la terre véhémente Vois les lueurs avant d’
entendre
les coups Et tel obus siffler de la démence Ou le
nemi plaie d’argent au soleil Et l’avenir secret que la fusée élucide
Entends
nager le Mot, poisson subtil Les villes tour à to
Contact par l’écoute On fore dans la direction « des bruits
entendus
» Les jeunes de la classe 1915 Et ces fil
nemi plaie d’argent au soleil Et l’avenir secret que la fusée élucide
Entends
nager le Mot, poisson subtil Les villes tour à to
Contact par l’écoute On fore dans la direction « des bruits
entendus
» Les jeunes de la classe 1915 Et ces f
la ville s’en sont venus dîner Les olives sont mûres et partout l’on
entend
Les chants des oliveuses sous les oliviers Le c
t nocturne Oh ! les cimes des pins grincent en se heurtant Et l’on
entend
aussi se lamenter l’autan Et, du fleuve prochain
onumentale Merveille… » — « Notre-Dame… » — « Notre-Dame ravit, C’est
entendu
, mais rien ne vaut la cathédrale
onumentale Merveille… » — « Notre-Dame… » — « Notre-Dame ravit, C’est
entendu
, mais rien ne vaut la cathédrale
mes yeux Des poulpes grouillent partout où se tiennent les murailles
Entendez
battre leur triple cœur et leur bec cogner aux vi
urs pieds. Debout, chantez plus haut en dansant une ronde, Que je n’
entende
plus le chant du batelier, Et mettez près de moi
nocturne Oh ! les cimes des pins grincent en se heurtant ; Et l’on
entend
aussi se lamenter l’autan, Et, du fleuve prochain
Contact, par l’écoute, On fore dans la direction des bruits «
entendus
»… Les jeunes de la classe 1915,
ient comme un midi d’été Les bergers comprenaient ce qu’ils croyaient
entendre
Car ils savaient déjà tout ce qu’ils écoutaient
ô fanfares ô tumultes [à gauche, verticalement de droite à gauche] J’
entends
encore le son des cloches [à droite, verticalemen
en accords profonds et agréables à respirer tel l’orgue que j’aime
entendre
Des Arlequines jouent dans le rose et bleus d’u
euses Je vis nos yeux diamants enfermer le reflet du ciel vert et J’
entendis
sa voix qui dorait les forêts tandis que vous p
rive On ne respire plus Bonsoir la compagnie Bonsoir la compagnie j’
entends
un bruit de rames Dans la nuit sur le Rhin et le
s Mon souffle nage au fleuve où le sang va tarir Les obus miaulaient.
Entends
chanter les nôtres Pourpre amour salué par ceux q
s Mon souffle nage au fleuve où le sang va tarir Les obus miaulaient.
Entends
chanter les nôtres Pourpre amour salué par ceux q
es Mon souffle nage au fleuve où le sang va tarir Les obus miaulaient
entends
chanter les nôtres Pourpre Amour salué par ceux q
e continue Les Servants ont limé, limé pendant des mois Le Conducteur
entend
bien caché dans les bois La chanson que chantait
e continue Les Servants ont limé, limé pendant des mois Le Conducteur
entend
bien caché dans les bois La chanson que chantait
mon souffle nage au fleuve où le sang va tarir, Les obus miaulaient…
entends
chanter les nôtres. Pourpre amour salué par ceux
’aurais souvent cassé ma canne Sur le dos d’un paysan J’aurais aimé
entendre
de la musique en mangeant Du jambon J’aurais ju
ux clairs comme mes éperons Un bel après-midi de garde à l’écurie J’
entends
sonner les trompettes d’artillerie J’admire la
passant le long des quais déserts et sombres En rentrant à Auteuil j’
entendis
une voix Qui chantait gravement se taisant quelqu
aux les cimetières les murailles Ces berceaux pleins de cris que tu n’
entendras
pas Et d’amont en aval nos pensées ô rivières Les
erte d’yeux ouverts Errer au site où l’hydre a sifflé et hiver Et j’
entendis
soudain ta voix impérieuse O Rome Maudire d’un se
res tombaient parfois comme les feuilles Du cep lorsqu’il fut temps j’
entendis
la prière Qui joignait la limpidité de ces rivièr
Sa pensée se recueille aux trauchées glorieuses [obus] j’
entends
chanter l’oiseau le bel oiseau rapace Guillaume
pas oublié le son de la clochette d’un marchand de coco d’autrefois J’
entends
déjà le son aigre de cette voix à venir Du camara
i pas oublié le son d’une clochette d’un marchand de coco autrefois J’
entends
déjà le son aigre de cette voix à venir Du camara
i pas oublié le son d’une clochette d’un marchant de coco Autrefois J’
entends
déjà le son aigre de cette voix à venir Du camara
uter si l’on est frileux ou non O gens que je connais, Il me suffit d’
entendre
le bruit de leurs pas Pour pouvoir indiquer à jam
ds langoureux des femmes O nuit toi ma douleur et mon attente vaine J’
entends
mourir le son d’une flûte lointaine Guillaume A
en mon âme bravache ! O tête, j’ai baisé tes dents comme un amant.
Entendez
-vous, Seigneur, quand d’horreur je l’écrase, Craq