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1 (1914) Poème sans titre (incipit : « Gentil Rousseau, tu nous entends ») « Poème sans titre (incipit : « Gentil Rousseau, tu nous entends ») »
Poème sans titre (incipit : « Gentil Rousseau, tu nous entends  »)                                            
                                             Gentil Rousseau, tu nous entends .                                                 
2 (1908) La Marchande (incipit : « Admirez le pouvoir insigne ») « La Marchande (incipit : « Admirez le pouvoir insigne ») »
     Et la noblesse de la ligne : Elle est la voix que la lumière fit entendre Et dont parle Hermès Trismégiste en son Pimandre.
3 (1917) Ombre « Ombre »
affût pendant l’éternité Ombre vous rampez près de moi Mais vous ne m’ entendez plus Vous ne connaîtrez plus les poèmes divins qu
onnaîtrez plus les poèmes divins que je chante Tandis que moi je vous entends je vous vois encore Destinées Ombre multiple que
4 (1916) Les Grenadines repentantes « Les Grenadines repentantes »
de Qui se change en un œuf coché Puisqu’il en naît des coqs Infante Entends -les chanter leurs dédains Et que la grenade est t
5 (1913) Inscription pour le tombeau du peintre Henri Rousseau douanier « Inscription pour le tombeau du peintre Henri Rousseau douanier »
tombeau du peintre Henri Rousseau douanier Gentil Rousseau tu nous entends Nous te saluons Delaunay sa femme Monsieur Queval
6 (1911) La Porte « La Porte »
la profonde eau triste Anges frais débarqués à Marseille hier matin J’ entends mourir et remourir un chant lointain Humble comme
7 (1917) Photographie « Photographie »
                  Des tons alanguis                              On y entend                            Une mélopée           
8 (1916) Le Désir « Désir »
sote La tole ondulée sous la pluie Et sous la pluie ma bourguignote Entends la terre véhémente Vois les lueurs avant d’entend
ma bourguignote Entends la terre véhémente Vois les lueurs avant d’ entendre les coups Et tel obus siffler de la démence Ou le
9 (1917) Désir « Désir »
sote La tôle ondulée sous la pluie Et sous la pluie ma bourguignote Entends la terre véhémente Vois les lueurs avant d’entend
ma bourguignote Entends la terre véhémente Vois les lueurs avant d’ entendre les coups Et tel obus siffler de la démence Ou le
10 (1915) Visée « Visée »
nemi plaie d’argent au soleil Et l’avenir secret que la fusée élucide Entends nager le Mot, poisson subtil Les villes tour à to
11 (1915) Guerre « Guerre »
         Contact par l’écoute On fore dans la direction « des bruits entendus  »         Les jeunes de la classe 1915 Et ces fil
12 (1915) Visée « Visée »
nemi plaie d’argent au soleil Et l’avenir secret que la fusée élucide Entends nager le Mot, poisson subtil Les villes tour à to
13 (1915) Guerre « Guerre »
          Contact par l’écoute On fore dans la direction « des bruits entendus  »           Les jeunes de la classe 1915 Et ces f
14 (1914) Le tabac à priser « Le tabac à priser »
la ville s’en sont venus dîner Les olives sont mûres et partout l’on entend Les chants des oliveuses sous les oliviers Le c
15 (1909) Vent nocturne « Vent nocturne »
t nocturne Oh ! les cimes des pins grincent en se heurtant Et l’on entend aussi se lamenter l’autan Et, du fleuve prochain
16 (1910) La Cathédrale de Prague « La Cathédrale de Prague »
onumentale Merveille… » — « Notre-Dame… » — « Notre-Dame ravit, C’est entendu , mais rien ne vaut la cathédrale                 
17 (1910) La Cathédrale de Prague « La Cathédrale de Prague »
onumentale Merveille… » — « Notre-Dame… » — « Notre-Dame ravit, C’est entendu , mais rien ne vaut la cathédrale                 
18 (1918) Océan de terre « Océan de terre »
mes yeux Des poulpes grouillent partout où se tiennent les murailles Entendez battre leur triple cœur et leur bec cogner aux vi
19 (1912) Nuit rhénane « Nuit rhénane »
urs pieds. Debout, chantez plus haut en dansant une ronde, Que je n’ entende plus le chant du batelier, Et mettez près de moi
20 (1912) Le Vent nocturne « Le Vent nocturne »
nocturne Oh ! les cimes des pins grincent en se heurtant ; Et l’on entend aussi se lamenter l’autan, Et, du fleuve prochain
21 (1916) Guerre « Guerre »
        Contact, par l’écoute, On fore dans la direction des bruits «  entendus  »…       Les jeunes de la classe 1915,          
22 (1915) Acousmate (incipit : « Paix sur terre aux hommes de bonne volonté ») « Acousmate (incipit : « Paix sur terre aux hommes de bonne volonté ») »
ient comme un midi d’été Les bergers comprenaient ce qu’ils croyaient entendre Car ils savaient déjà tout ce qu’ils écoutaient
23 (1917) Orphée « Orphée »
ô fanfares ô tumultes [à gauche, verticalement de droite à gauche] J’ entends encore le son des cloches [à droite, verticalemen
24 (1917) Pablo Picasso « Pablo Picasso »
en accords profonds   et agréables à respirer tel l’orgue que j’aime entendre Des Arlequines jouent dans le   rose et bleus d’u
euses Je vis nos yeux   diamants enfermer le reflet du ciel vert et J’ entendis sa voix   qui dorait les forêts tandis que vous p
25 (1914) Mille regrets « Mille regrets »
rive On ne respire plus Bonsoir la compagnie Bonsoir la compagnie j’ entends un bruit de rames Dans la nuit sur le Rhin et le
26 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
s Mon souffle nage au fleuve où le sang va tarir Les obus miaulaient. Entends chanter les nôtres Pourpre amour salué par ceux q
27 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
s Mon souffle nage au fleuve où le sang va tarir Les obus miaulaient. Entends chanter les nôtres Pourpre amour salué par ceux q
28 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
es Mon souffle nage au fleuve où le sang va tarir Les obus miaulaient entends chanter les nôtres Pourpre Amour salué par ceux q
29 (1915) Les Saisons « Les Saisons »
e continue Les Servants ont limé, limé pendant des mois Le Conducteur entend bien caché dans les bois La chanson que chantait
30 (1915) Les Saisons « Les Saisons »
e continue Les Servants ont limé, limé pendant des mois Le Conducteur entend bien caché dans les bois La chanson que chantait
31 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « Nuit d’avril : 1915 »
mon souffle nage au fleuve où le sang va tarir, Les obus miaulaient… entends chanter les nôtres. Pourpre amour salué par ceux
32 (1913) Dans le jardin d’Anna « Dans le jardin d’Anna »
’aurais souvent cassé ma canne Sur le dos d’un paysan J’aurais aimé entendre de la musique en mangeant Du jambon J’aurais ju
33 (1917) Le Dépôt « Le Dépôt »
ux clairs comme mes éperons Un bel après-midi de garde à l’écurie J’ entends sonner les trompettes d’artillerie J’admire la
34 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
passant le long des quais déserts et sombres En rentrant à Auteuil j’ entendis une voix Qui chantait gravement se taisant quelqu
aux les cimetières les murailles Ces berceaux pleins de cris que tu n’ entendras pas Et d’amont en aval nos pensées ô rivières Les
erte d’yeux ouverts Errer au site où l’hydre a sifflé et hiver Et j’ entendis soudain ta voix impérieuse O Rome Maudire d’un se
res tombaient parfois comme les feuilles Du cep lorsqu’il fut temps j’ entendis la prière Qui joignait la limpidité de ces rivièr
35 (1915) 2e canonnier conducteur « 2e canonnier conducteur »
      Sa pensée se recueille aux trauchées glorieuses   [obus] j’ entends chanter l’oiseau le bel oiseau rapace Guillaume
36 (1913) Arbre « Arbre »
pas oublié le son de la clochette d’un marchand de coco d’autrefois J’ entends déjà le son aigre de cette voix à venir Du camara
37 (1916) Arbre « Arbre »
i pas oublié le son d’une clochette d’un marchand de coco autrefois J’ entends déjà le son aigre de cette voix à venir Du camara
38 (1917) Arbre « Arbre »
i pas oublié le son d’une clochette d’un marchant de coco Autrefois J’ entends déjà le son aigre de cette voix à venir Du camara
39 (1911) Cortège « Cortège »
uter si l’on est frileux ou non O gens que je connais, Il me suffit d’ entendre le bruit de leurs pas Pour pouvoir indiquer à jam
40 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
ds langoureux des femmes O nuit toi ma douleur et mon attente vaine J’ entends mourir le son d’une flûte lointaine Guillaume A
41 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
en mon âme bravache ! O tête, j’ai baisé tes dents comme un amant. Entendez -vous, Seigneur, quand d’horreur je l’écrase, Craq
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