L’
enfant
d’or C’est la barque où fuyait près d’une o
flots La chanson des rameurs sur les vagues se traîne La reine et l’
enfant
d’or agitaient les grelots Dont la fente évoquait
duses violettes Cortège de ta fuite ou floraison d’effroi Lorsque cet
enfant
d’or souriait au vieux roi Guillaume APOLLINAIRE
Le jour des morts Les
enfants
des morts vont jouer Dans le cimetière Martin Ger
nes mortuaires C’est le jour des morts et de toutes leurs âmes. Les
enfants
et les vieilles femme Allument des bougies et des
omme le destin Vous, les beaux gars morts à la guerre Et vous, petits
enfants
, morts en prière. Ah ! que vous êtes bien dans
in ulule avec tous les hiboux, Il éteint les cierges que toujours les
enfants
rallument Et les feuilles mortes Viennent couvrir
ts rallument Et les feuilles mortes Viennent couvrir les morts. Des
enfants
morts parlent parfois avec leur mère, Et des mort
s coupées. Nous avons tant pleuré aujourd’hui Avec ces morts, leurs
enfants
et les vieilles femmes Sous le ciel sans soleil A
voir Lorsque crie un prophète il faut que l’alliez voir Et faites des
enfants
c’est le but de mon conte L’enfant est la richess
t que l’alliez voir Et faites des enfants c’est le but de mon conte L’
enfant
est la richesse et la seule qui compte. GUILLAUM
aniers. Le malheur s’acharna sur ta progéniture 1 , Tu perdis tes
enfants
et tes femmes aussi Et te remarias avecque la pei
mes aussi Et te remarias avecque la peinture Pour faire tes tableaux,
enfants
de ton esprit. Nous sommes réunis pour célébrer
e Maurice Raynal] Le poète croyait alors que Rousseau avait perdu ses
enfants
. Or, une de ses filles vit encore. Le Douanier ne
uaient à colin-maillard A soixante-dix ans Joues fraîches de petits
enfants
Venez venez Éléonore Et que sais-je encore Rega
Jean Thillois Vous fûtes le mari sublime ingénieux Qui faisant des
enfants
nous suscite des dieux Mieux armés plus unis plus
ançaise Le goût d’être nombreuse afin de vivre à l’aise Ainsi que les
enfants
du mari de Thérèse
eu que de choses étranges dans les boîtes et les yeux voyons mon cher
enfant
en vos mains on ne pourra redire.
un chant lointain Humble comme je suis qui ne suis rien qui vaille
Enfant
je t’ai donné ce que j’avais travaille
as Son vrai nom il voyage il a quitté la ville Bleue Lanchi où tant d’
enfants
l’appellaient papa Au fond du golfe calme en face
t l’huis des auberges grises, Par les villages sans églises. Et les
enfants
s’en vont devant, Les autres suivent en rêvant ;
comme met Dieu, son Ciel Guerre paisible ascèse solitude métaphysique
Enfant
aux mains coupées parmi les roses oriflammes
comme met Dieu, son Ciel Guerre paisible ascèse solitude métaphysique
Enfant
aux mains coupées parmi les roses oriflammes
es Des pauvres spectateurs qui ne le savaient pas Qu’il leur faut des
enfants
ou passer au trépas Vous fûtes par deux fois la
Tristesse d’une étoile Une belle Minerve est l’
enfant
de ma tête Une étoile de sang me couronne à jamai
uté de la vie passe la douleur de mourir [heures] Mon cœur les yeux l’
enfant
Agla la main Tircis semaine l’infini redressé par
mme cet automne Et ma vie pour tes yeux lentement s’empoisonne. Les
enfants
de l’école viennent avec fracas, Vêtus de hoqueto
pieds un pendu Sonne en mesure les cymbales. L’aveugle berce un bel
enfant
; La biche passe avec ses faons ; Le nain regarde
pieds un pendu Sonne en mesure les cymbales L’aveugle berce un bel
enfant
La biche passe avec ses faons Le nain regarde, d’
t par ligne] c’est pour toi seule que le sang coule Tous les
enfants
savent pourquoi
omme cet automne, Et ma vie pour tes yeux lentement s’empoisonne. Les
enfants
de l’école viennent avec fracas, Vêtus de hoqueto
ncolie
Enfant
souris ô sœur écoute Pauvres marchez sur la grand
qui se promènera avec toi en Europe tout en restant En Amérique Un
enfant
Un veau dépouillé pendu à l’étal Un enfant Et cet
n restant En Amérique Un enfant Un veau dépouillé pendu à l’étal Un
enfant
Et cette banlieue de sable autour d’une pauvre vi
qui se promènera avec toi en Europe tout en restant En Amérique Un
enfant
Un veau dépouillé pendu à l’étal Un enfant Et cet
n restant En Amérique Un enfant Un veau dépouillé pendu à l’étal Un
enfant
Et cette banlieue de sable autour d’une pauvre vi
de qui se promène avec toi en Europe tout en restant En Amérique Un
enfant
Un veau dépouillé pendu à l’étal Un enfant Et cet
n restant En Amérique Un enfant Un veau dépouillé pendu à l’étal Un
enfant
Et cette banlieue de sable autour d’une petite vi
merçants de toutes sortes Il vint des femmes terribles et portant des
enfants
ou en ayant d’autres accrochés à leurs jupes Il v
ui mon vieux ça va bien ça va même très bien Ces pâtres sachant qu’un
enfant
venait de naître Près de là Sur le
Des petits anges blancs dans le ciel entassés. Les trois dames et l’
enfant
vivaient à Cologne, Le haricot poussait dans un j
Alors, je les dénombrai. Ils étaient quarante-neuf hommes, Femmes et
enfants
Qui embellissaient à vue d’œil Et me regardaient
ne Et de sureau Dont ils firent des sifflets Qu’ils distribuèrent aux
enfants
. Plus tard, dans un bal champêtre, Les couples
ienne. — — Je vous attendrai Toute votre vie… Répondait la morte. Des
enfants
De ce monde ou bien de l’autre Chantaient de ces
gs discours après le banquet Et de la musique, De la musique. — — Nos
enfants
, dit la fiancée, Seront plus beaux, plus beaux en
Des mortes. Un genévrier, parfois, Faisait l’effet d’un fantôme. Les
enfants
déchiraient l’air En soufflant, les joues creuses
Alors, je les dénombrai. Ils étaient quarante-neuf hommes. Femmes et
enfants
Qui embellissaient à vue d’œil Et me regardaient
ne Et de sureau Dont ils firent des sifflets Qu’ils distribuèrent aux
enfants
. Plus tard, dans un bal champêtre, Les couples,
mienne. ‒ Je vous attendrai Toute votre vie… Répondait la morte. Des
enfants
De ce monde ou bien de l’autre Chantaient de ces
gs discours après le banquet Et de la musique, De la musique. ‒ Nos
enfants
, dit la fiancée, Seront plus beaux, plus beaux en
Des mortes. Un genévrier, parfois, Faisait l’effet d’un fantôme. Les
enfants
déchiraient l’air En soufflant, les joues creuses
des triangles de visée pointez-vous sur les lueurs Creusez des trous
enfants
de 20 ans creusez des trous Sculptez les profonde
tout petit soleil d’automne Un fantassin presque un
enfant
Pur comme le jour qui s’écoule
uveau cri de Peau-Rouge Musique angélique des arbres Disparition de l’
enfant
Les saltimbanques soulevèrent les grosses haltère
s jonglèrent avec les poids Mais chaque spectateur cherchait en soi l’
enfant
miraculeux Siècle ô siècle des nuages Gui
ux cris de Peau Rouge. Musique angélique des arbres. Disparition de l’
enfant
. Les saltimbanques soulevèrent les gros haltère
jonglèrent avec les poids, Mais chaque spectateur cherchait en soi l’
enfant
miraculeux. Siècle, ô siècle des nuages. Guilla
t, Et l’aube qui va poindre et la fraîcheur des ondes, Le bonheur des
enfants
et l’éternelle vie. Mais nous ne dirons plus ni
sur le Pavé des Gardes à la jument pisseuse Il dirige un orchestre d’
enfants
Mademoiselle Madeleine Ah ! Mademoiselle Madelein
sur le pavé des gardes à la jument pisseuse Il dirige un orchestre d’
enfants
Mademoiselle Madeleine Ah ! Mademoiselle Madelein
mon frère bercer Sa superbe virilité Qui semblait un petit
enfant
Je me souviens du si délicat si inquiétant F
mon frère bercer Sa superbe virilité Qui semblait un petit
enfant
Je me souviens du si délicat si inquiétant F
ez L’acrobate à cheval le poète à moustaches un oiseau mort et tant d’
enfants
sans larmes Choses cassées des livres déchirés de
Il regarda longtemps les rives qui moururent. Seuls, des bateaux d’
enfant
tremblaient à l’horizon. Un tout petit bouquet, f
Il regarda longtemps les rives qui moururent. Seuls, des bateaux d’
enfant
tremblaient à l’horizon. Un tout petit bouquet, f
à tous les temps et à toutes les races Elles accouchent brusquement d’
enfants
qui n’ont que le temps de mourir Comme c’est beau
ceci ou cela en l’honneur des mêmes paroles Qui changent la face des
enfants
et je dis toutes ces choses, Souvenir et avenir,
eveux, Ou leur langue quand il me plaît de faire le médecin, Ou leurs
enfants
quand il me plaît de faire le prophète, Les vaiss
’avenue des Ternes Voilà la jeune rue et tu n’es encore qu’un petit
enfant
Ta mère ne t’habille que de bleu et de blanc Tu e
res émigrants Ils croient en Dieu ils prient les femmes allaitent des
enfants
Ils emplissent de leur odeur le hall de la gare S
’avenue des Ternes Voilà la jeune rue et tu n’es encore qu’un petit
enfant
Ta mère ne t’habille que de bleu et de blanc Tu e
res émigrants Ils croient en Dieu ils prient les femmes allaitent des
enfants
Ils emplissent de leur odeur le hall de la gare S
onneaux des Danaïdes, Comment faire pour être heureux, Comme un petit
enfant
candide ? Je ne veux jamais l’oublier Ma colomb
ce qui est l’extérieur dans l’art et l’industrie Les fleurs sont nos
enfants
et non les leurs Même la fleur de lys qui meurt a
vous tombiez, Le soleil et l’amour dansaient dans le village. Et tes
enfants
galants, bien ou mal habillés, Ont bâti ce bûcher
et fait pleuvoir le sang Heureuse pluie ô gouttes tièdes ô douleur Un
enfant
regarde les fenêtres s’ouvrir Et des grappes de t
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