n comme une fleur mourant entre les mains d’un soldat blessé un jet d’
eau
la queue d’un paon un soir de neige ciel constell
un œil clos, Pleurant avec de frais sanglots La naissance triste de l’
eau
. L’eau pure deviendra l’eau sale, La source enf
os, Pleurant avec de frais sanglots La naissance triste de l’eau. L’
eau
pure deviendra l’eau sale, La source enfante et p
frais sanglots La naissance triste de l’eau. L’eau pure deviendra l’
eau
sale, La source enfante et pleure ou râle, Déplor
unes roux et les satyres En te voyant feignent de rire Et troublent l’
eau
quand tu t’y mires. Tu marches saluant les croi
soleil qui les rend sombres Avec elles disparaîtra. Les déités des
eaux
vives Laissent couler leurs cheveux… Passe ! Il f
yé pour qui seul rien n’existe Pi-mus couples allant dans la profonde
eau
triste Anges frais débarqués à Marseille hier mat
uve Dit vert, qui est bleu et jaunit qu’il neige ou pleuve Dans l’
eau
d’acier ton ombre te précèdera Les vents chante
Un clair de lune Dans un jardin pacifique Plein d’
eaux
vives et de jardiniers endiablés Photographie t
e Et la crâneuse de Clichy Aux rouges yeux de dégueulade Répète Mon
eau
de Vichy Va dans le panier à salade Haha sans fai
pur obstinément Je n’ai confié aucun secret Aux tourbières où de l’
eau
croupissait Les bruyères fleurant le miel Attir
du printemps Tu assassines les arbres qui sont tes G.V.C. La poule d’
eau
caquète et plonge à ton approche Couple des marai
du printemps Tu assassines les arbres qui sont tes G.V.C. La poule d’
eau
caquète et plonge à ton approche Couple des marai
Deux dames le long le long du fleuve Elles se parlent par-dessus l’
eau
Et sur le pont de leurs paroles La foule passe et
Les jours s’en vont, je demeure. L’amour s’en va comme cette
eau
courante, L’amour s’en va ; comme la vie est lent
sur le feu Un rayon traverse un verre presque plein de vin mélangé d’
eau
Oh ! le beau rubis que font du vin rouge et du so
nt tu pleures Je flatte de la main le petit canon gris Gris comme l’
eau
de Seine et je songe à Paris Mais ce pâle bless
ds ports que chaque nuit colorent les fanaux, Je me souviens de vous,
eaux
vertes des canaux Où glissent lentement les pensi
on mixte Il me dit monsieur voulez-vous voir ce que je peux faire d’
eaux
fortes et de tableaux Je n’ai qu’une petite bonne
u printemps Voguait, cygne mourant, sirène. Un jour, le roi, dans l’
eau
d’argent, Se noya, puis, la bouche ouverte, Il s’
ans ces belles maisons Qui reflètent le soir leurs feux dans nos deux
eaux
Dans ces belles maisons nettement blanches et noi
ous liquides mains jointes pour la prière Nous menons vers le sel les
eaux
aventurières Et la ville entre nous comme entre d
s comme entre des ciseaux Ne reflète en dormant nul feu dans ses deux
eaux
Dont quelque sifflement lointain parfois s’élance
du vigneron les femmes cousent… « Lenchen, remplis le poêle et mets l’
eau
du café Dessus… » — « Le chat s’étire après s’êtr
— Elle se penche alors et tombe dans le Rhin. Pour avoir vu dans l’
eau
, la belle Loreley, Ses yeux couleur du Rhin, ses
gile d’un soir d’été qui meurt Immense désir et l’aube émerge des
eaux
si lumineuses Je vis nos yeux diamants enfermer
ique au pied de ce pêcher Les citrons couleur d’huile et à saveur d’
eau
froide Pendaient parmi les fleurs des citronniers
t la manne Et d’avoir vu la mer ouverte comme un œil Les puiseurs d’
eau
barbus coiffés de bandelettes Noires et blanches
une muse ardente Il regarde longtemps l’horizon Couteaux tonneaux d’
eaux
Des lanternes allumées se sont croisées Moi l’hor
que au pied de ce pêcher. Les citrons couleur d’huile et à saveur d’
eau
froide Pendaient parmi les fleurs des citronniers
la manne Et d’avoir vu la mer ouverte comme un œil. Les puiseurs d’
eau
barbus, coiffés de bandelettes Noires et blanches
lac, On s’amusa à faire des ricochets, Avec des cailloux plats, Sur l’
eau
qui dansait à peine. Des barques étaient amarrées
sait à la vivante : — Nous serions si heureux ensemble ! Sur nous l’
eau
se refermera, Mais vous pleurez et vos mains trem
lac, On s’amusa à faire des ricochets Avec des cailloux plats, Sur l’
eau
qui dansait à peine. Des barques étaient amarré
disait à la vivante : ‒ Nous serions si heureux ensemble ! Sur nous l’
eau
se refermera, Mais vous pleurez et vos mains trem
plaques de tôle ondulée Fleuve figé de ce domaine idéal Mais privé d’
eau
car ici il ne roule que le feu jailli de la mélin
tant de tintements d’heures, Quand isochrones, choient des gouttes d’
eau
de pluie. J’ai veillé trente nuits sous les lau
st la lune qui cuit comme un œuf sur le plat. Ce collier de gouttes d’
eau
va parer la noyée. Voici mon bouquet de fleurs de