ntes Et l’Arc-en-ciel est exilé Puisqu’on exile qui l’irise Mais un
drapeau
s’est envolé Prendre ta place au vent de bise
me lu au mariage d’André Salmon le 13 juillet 1909 En voyant des
drapeaux
, ce matin, je ne me suis pas dit : Voilà les rich
coup pourraient confondre nos yeux et les étoiles, Ni : parce que les
drapeaux
claquent aux fenêtres des citoyens qui sont conte
ousseau ! » O peintre glorieux de l’alme République, Ton nom est le
drapeau
des fiers Indépendants Et dans le marbre blanc, i