es De ce miel lumineux qui dégoutte des treilles. Car, voici que tout doux et leur tombant du ciel Chaque rayon de lune est

aque rayon de lune est un rayon de miel. Or, caché je conçois la très douce aventure. J’ai peur du dard de feu de cette abeil

abe [étoile] Des Souvenirs [cœur] mais il y a d’autres chansons moins douces [lettre, autour d’une croix] Bonjour mon poète Je

abe [étoile] Des Souvenirs [cœur] mais il y a d’autres chansons moins douces [lettre, autour d’une croix] Bonjour mon poète Je

sa Vie sera le Désespoir Et le rire de tous l’écho de sa Pensée. O douce Vie, ô doux Amour que je rebute Tendresse du Prin

le Désespoir Et le rire de tous l’écho de sa Pensée. O douce Vie, ô doux Amour que je rebute Tendresse du Printemps qui me

[jet d’eau] la lune ardente et toujours neuve un bouton de rose doux comme un papillon comme une fleur mourant entre l

notre amour pathétique. Et Thomas de Quincey buvant L’opium poison doux et chaste A sa pauvre Anne allait rêvant. Passons

adolescence Accompagne à pas lents sa femme, votre absence, Qui, très douce , le mène et, tranquille, se tait. Et l’amour qu

dans les vals et les beaux bois frais du tendre été si pâle [ciel] la douce nuit lunaire et pleine d’étoiles c’est ton visage

dans les vals et les beaux bois frais du tendre été si pâle [ciel] la douce nuit lunaire et pleine d’étoiles c’est ton visage

t Un régiment de jours plus bleus que les collines lointaines et plus doux que ne sont les coussins de l’auto GUILLAUME AP

e me confonds avec l’horizon jusqu’à la nuit et c’est un plaisir trés doux De ne rien dire de plus, tout ce que je fais c’es

nions un quinquina Au bar des Iles Marquises rue de la Gaîté Un matin doux de verduresse                    Les matelots l

filles                    Dans l’arrondissement                    De douces de gentilles                    Et qui n’ont pas

nions un quinquina Au bar des Iles Marquises rue de la Gaîté Un matin doux de verduresse              Les matelots l’atten

a d’autres filles              Dans l’arrondissement              De douces des gentilles              Et qui n’ont pas d’ama

               Le vieux monde pleure encore             Il était si doux si joli             Que de choses bonnes pour l

des belles Galamment en souvenir d’elles Ainsi que les loups étaient doux Mais aujourd’hui les temps sont pires Les loups

t les séraphins qui chantent maintenant. Et c’est la Vierge la plus douce du royaume. Elle vécut au bord du Rhin pieusement

    France ô Pacifique                                            O douce ô belle France Amaro vous savez que je vous aim

Si je voulais savoir mon âge Il faudrait le demander à l’évêque    Si doux si doux avec ma mère    De beurre de beurre avec

ulais savoir mon âge Il faudrait le demander à l’évêque    Si doux si doux avec ma mère    De beurre de beurre avec ma sœur

Si je voulais savoir mon âge Il faudrait le demander à l’évêque    Si doux si doux avec ma mère    De beurre de beurre avec

ulais savoir mon âge Il faudrait le demander à l’évêque    Si doux si doux avec ma mère    De beurre de beurre avec ma sœur

cateur                      France ô Pacifique                      ô douce ô belle France Amaro vous savez que je vous aim

gros et blonds wie du La mienne aussi mon vieux était blonde aux yeux doux Mais pas d’ici Seigneur que votre règne arrive

s obus miaulaient un amour à mourir    Un amour qui se meurt est plus doux que les autres Mon souffle nage au fleuve où le s

s obus miaulaient un amour à mourir    Un amour qui se meurt est plus doux que les autres Mon souffle nage au fleuve où le s

Les obus miaulaient un amour à mourir Un amour qui se meurt est plus doux que les autres Mon souffle nage au fleuve où le s

c’est un flambeau. La sixième, métal de gloire, C’est l’ami aux si douces mains Dont chaque matin nous sépare : « Adieu, vo

es obus miaulaient un amour à mourir — Un amour qui se meurt est plus doux que les autres — mon souffle nage au fleuve où le

noix le crâne féminin ? Ayez pitié, Seigneur, de mes soupirs bénins. Doux Seigneur, pardonnez au printemps qui viédaze. F

En vain, j’ai supplié tous les saints aémères, Aucun n’a consacré mes doux pains sans levain. Et je marche, je fuis, ô nui

je marche, je fuis. O jour, l’émoi de l’aube Ferma le regard fixe et doux de vieux rubis Des hiboux et voici le regard des

[Notre-Dame] souvenirs de Paris avant la guerre ils seront bien plus doux après la victoire [Tour Eiffel] salut monde dont

fécondité. — Puis quand la peste aura purifié la terre, Vivront en doux amour les bienheureux humains, Paisibles et très

               Et j’attends Pour la suivre toujours la forme noble et douce Qu’elle prend afin que je l’aime seulement Elle v

tous les sapins. « Lotte, l’amour rend triste. » — « Ilse, la vie est douce . » La nuit tombait. Les vignobles aux ceps tord

mon amant s’y tient, il m’a vue, il m’appelle. Mon cœur devient si doux . C’est mon amant qui vient. — Elle se penche alor

barbare et bon, pardonnez-lui ! » — « Je confesse le vol des fruits doux , des fruits mûrs, Mais ce n’est pas l’exil que je

astes mourir, La forêt précieuse aux oiseaux gemmipares Où des fruits doux et vénéneux pour eux mûrirent. Un triomphe pass

anse ; « Morgane regardait du haut du mont Gibel. « Ah ! qu’il fait doux danser quand pour vous se déclare « Un mirage, in

aux fleurs de fulminate jaillit des trous penchés Tas de cloches aux doux sons des douilles rutilantes Sapins élégants et p

SUS AUX TUDESQUES Nous l’armée invisible aux cris éblouissants Plus doux que n’est le miel et plus simples qu’un peu de te

e il est barbare et bon pardonnez-lui Je confesse le vol des fruits doux des fruits mûrs Mais ce n’est pas l’exil que je v

alors que déjà ivre dans la vigne Paris Vendangeait le raisin le plus doux de la terre Ces grains miraculeux qui aux treille