s feront Gémir les femmes grâce aux grimaces flébiles. Je n’ai que ma
douleur
pour émouvoir Caron Et vivant je mendie de chaq
’électre du matin. Tu méprises ma peine et la tienne peut-être ; Ta
douleur
de toujours, mon malheur de jamais. Nous pleurâme
yeux secs j’attends. Si Thanatos m’aimait ! Puisque tu veux nier la
douleur
positive Adapte un masque hilare et drape l’oripe
e chacun des baisers que je donne, Tel un noyer gaulé dit au vent ses
douleurs
. Mon Automne éternel, ô ma Saison mentale, Les
e chacun des baisers que je donne, Tel un noyer gaulé dit au vent ses
douleurs
. Mon Automne éternelle, ô ma saison mentale, Le
n s’amuse bien [bord droit de la montre] la beauté de la vie passe la
douleur
de mourir [heures] Mon cœur les yeux l’enfant Agl
Et le soir vient et les lys meurent Regarde ma
douleur
beau ciel qui me l’envoyes
les destins damnés ou faustes, La corde au cou comme à Calais, Sur ma
douleur
quel holocauste ! Douleur qui doubles les desti
s, La corde au cou comme à Calais, Sur ma douleur quel holocauste !
Douleur
qui doubles les destins, La licorne et le caprico
hors du fourreau !… Sept épées de mélancolie Sans morfil, ô claires
douleurs
, Sont dans mon cœur et la folie Veut raisonner po
nte « Ici fut assassiné, « Sa fiancée en eut une
douleur
touchante « Requiem aeternam dona ei, Domine. »
it eu la pauvre confidence « D’un corps de vieille morte en mimant la
douleur
. » ………………………………………………………………. Et leurs mains s’é
qui m’attend se nomme Viviane « Et vienne le printemps des nouvelles
douleurs
. « Couché parmi la marjolaine et les pas d’ânes,
la vie et de la mort ce qu’un vivant peut connaître Ayant éprouvé les
douleurs
et les joies de l’amour Ayant su quelquefois impo
vêtements des pauvres ; Ni : la pudeur démocratique veut me voiler sa
douleur
; Ni : la liberté en honneur fait qu’on imite mai
les saints et fait pleuvoir le sang Heureuse pluie ô gouttes tièdes ô
douleur
Un enfant regarde les fenêtres s’ouvrir Et des gr
es Végétation accouplements musiques éternelles Mouvements adorations
douleur
divine Mondes qui vous ressemblez et qui nous res
icaine O nuit troupeau de regards langoureux des femmes O nuit toi ma
douleur
et mon attente vaine J’entends mourir le son d’un
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