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1 (1917) Le Voyage du Kabyle « Le Voyage du Kabyle »
levé                        Jamais                                    Dormons                                                  
             Dormons                                                   Dormez Guillaume Apollinaire
2 (1912) Clotilde « Clotilde »
Clotilde L’anémone et l’ancolie Ont pourri dans le jardin Où dort la Mélancolie Entre l’Amour et le Dédain. Il y
3 (1913) Rolandseck « Rolandseck »
rth Semblait passer ancienne parmi les fillettes Les sept montagnes dormaient comme les bêtes Enfin lasses qui gardaient les pr
4 (1910) Les Jumeaux « Les Jumeaux »
                     « La dame A mis au monde deux jumeaux : le vôtre dort ,                                Le mien est mort.
5 (1916) 4 heures « 4 heures »
envoyée quelqu’un que j’aime Je vais me laver Je sors du trou où nous dormons Je suis dispos Et content de pouvoir me laver ce
6 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
aphrodisiaque              Mais, Orgues aux fétus de la paille où tu dors           L’hymne de l’avenir est paradisiaque
7 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
siaque * * *              Mais, Orgues aux fétus de la paille où tu dors           L’hymne de l’avenir est paradisiaque
8 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
oit aphrodisiaque * *   * Mais O rgues aux fétus de la paille où tu dors L’hymne de l’avenir est paradisiaque
9 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « Nuit d’avril : 1915 »
l’art, soit aphrodisiaque. Mais, Orgues, aux fétus de la paille où tu dors , — L’hymne de l’avenir est paradisiaque [étoiles]
10 (1917) La Victoire « La Victoire »
s en grappes de raisin Ne sors plus de chez moi diamant qui parlais Dors doucement tu es chez toi tout t’appartient Mon li
des météores Ils fleurissaient en l’air pendant ces nuits où rien ne dort Jardins de la lumière où j’ai cueilli des bouquet
11 (1916) Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne « Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne »
ouge et les lilas sont morts, La couleuvre se love en la paille où je dors Quand s’éveille la nuit la Champagne Tonnante, La
12 (1916) Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne « Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne »
ouge et les lilas sont morts, La couleuvre se love en la paille où je dors Quand s’éveille la nuit la Champagne Tonnante, La
13 (1913) Arbre « Arbre »
e Nous avions loué deux coupés dans le transsibérien Tour à tour nous dormions le voyageur en bijouterie et moi Mais celui qui v
14 (1916) Arbre « Arbre »
e Nous avions loué deux coupés dans le transsibérien Tour à tour nous dormions le voyageur en bijouterie et moi Mais celui qui v
15 (1917) Arbre « Arbre »
ne Nous avons loué deux coupés dans le Transsibérien Tour à tour nous dormions le voyageur en bijouterie et moi Mais celui qui v
16 (1909) [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] « [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] »
ya, puis, la bouche ouverte, Il s’en revint en surnageant Sur la rive dormir inerte, Face tournée au ciel changeant… … Juin,
17 (1915) Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] « Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] »
e noir     Pourquoi ne pas danser et discourir         Manger et puis dormir Et nous tirons sur les ravitaillements boches O
18 (1915) Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] « Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] »
e noir     Pourquoi ne pas danser et discourir         Manger et puis dormir Et nous tirons sur les ravitaillements boches O
19 (1905) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
ont vendu tous mes crachats d’or fin ; Mais, habillé de neuf, je veux dormir enfin Sous des arbres pleins d’oiseaux muets et d
20 (1912) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
ont vendu tous mes crachats d’or fin ; Mais, habillé de neuf, je veux dormir enfin Sous des arbres pleins d’oiseaux muets et d
21 (1912) Zône « Zône »
ble Et tu observes au lieu d’écrire ton conte en prose La cétoine qui dort dans le cœur de la rose Epouvanté tu te vois de
ne eau-de-vie Tu marches vers Auteuil tu veux aller chez toi à pied Dormir parmi tes fétiches d’Océanie et de Guinée Ils son
22 (1913) Zône « Zône »
ble Et tu observes au lieu d’écrire ton conte en prose La cétoine qui dort dans le cœur de la rose Epouvanté tu te vois de
ne eau-de-vie Tu marches vers Auteuil tu veux aller chez toi à pied Dormir parmi tes fétiches d’Océanie et de Guinée Ils son
23 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
nt les sapins Ont égaré ma route et mes rêves poupins Souvent et j’ai dormi au sol des sapinières. Enfin, ô soir pâmé, au b
24 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
vais à pleins verres les étoiles, Un ange a exterminé, pendant que je dormais , Les agneaux, les pasteurs des tristes bergeries.
25 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
d’avoir bu tout l’univers Sur le quai d’où je voyais l’onde couler et dormir les bélandres Ecoutez mes chants d’universelle
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