Clotilde L’anémone et l’ancolie Ont pourri dans le jardin Où
dort
la Mélancolie Entre l’Amour et le Dédain. Il y
rth Semblait passer ancienne parmi les fillettes Les sept montagnes
dormaient
comme les bêtes Enfin lasses qui gardaient les pr
envoyée quelqu’un que j’aime Je vais me laver Je sors du trou où nous
dormons
Je suis dispos Et content de pouvoir me laver ce
oit aphrodisiaque * * * Mais O rgues aux fétus de la paille où tu
dors
L’hymne de l’avenir est paradisiaque
l’art, soit aphrodisiaque. Mais, Orgues, aux fétus de la paille où tu
dors
, — L’hymne de l’avenir est paradisiaque [étoiles]
s en grappes de raisin Ne sors plus de chez moi diamant qui parlais
Dors
doucement tu es chez toi tout t’appartient Mon li
des météores Ils fleurissaient en l’air pendant ces nuits où rien ne
dort
Jardins de la lumière où j’ai cueilli des bouquet
ouge et les lilas sont morts, La couleuvre se love en la paille où je
dors
Quand s’éveille la nuit la Champagne Tonnante, La
ouge et les lilas sont morts, La couleuvre se love en la paille où je
dors
Quand s’éveille la nuit la Champagne Tonnante, La
e Nous avions loué deux coupés dans le transsibérien Tour à tour nous
dormions
le voyageur en bijouterie et moi Mais celui qui v
e Nous avions loué deux coupés dans le transsibérien Tour à tour nous
dormions
le voyageur en bijouterie et moi Mais celui qui v
ne Nous avons loué deux coupés dans le Transsibérien Tour à tour nous
dormions
le voyageur en bijouterie et moi Mais celui qui v
ya, puis, la bouche ouverte, Il s’en revint en surnageant Sur la rive
dormir
inerte, Face tournée au ciel changeant… … Juin,
e noir Pourquoi ne pas danser et discourir Manger et puis
dormir
Et nous tirons sur les ravitaillements boches O
e noir Pourquoi ne pas danser et discourir Manger et puis
dormir
Et nous tirons sur les ravitaillements boches O
ont vendu tous mes crachats d’or fin ; Mais, habillé de neuf, je veux
dormir
enfin Sous des arbres pleins d’oiseaux muets et d
ont vendu tous mes crachats d’or fin ; Mais, habillé de neuf, je veux
dormir
enfin Sous des arbres pleins d’oiseaux muets et d
ble Et tu observes au lieu d’écrire ton conte en prose La cétoine qui
dort
dans le cœur de la rose Epouvanté tu te vois de
ne eau-de-vie Tu marches vers Auteuil tu veux aller chez toi à pied
Dormir
parmi tes fétiches d’Océanie et de Guinée Ils son
ble Et tu observes au lieu d’écrire ton conte en prose La cétoine qui
dort
dans le cœur de la rose Epouvanté tu te vois de
ne eau-de-vie Tu marches vers Auteuil tu veux aller chez toi à pied
Dormir
parmi tes fétiches d’Océanie et de Guinée Ils son
nt les sapins Ont égaré ma route et mes rêves poupins Souvent et j’ai
dormi
au sol des sapinières. Enfin, ô soir pâmé, au b
vais à pleins verres les étoiles, Un ange a exterminé, pendant que je
dormais
, Les agneaux, les pasteurs des tristes bergeries.
d’avoir bu tout l’univers Sur le quai d’où je voyais l’onde couler et
dormir
les bélandres Ecoutez mes chants d’universelle