par le moyen de quelques ombres humaines il n’attend pas que le temps
donne
de l’originalité à ses sensations il est sûr de l
mps donne de l’originalité à ses sensations il est sûr de lui il sait
donner
une ordonnance à la fois pompeuse et familière à
ans D’avoir pu en être étonné Et fraternellement je lui
donne
l’accolade Et offre à son baiser de paix
ain Humble comme je suis qui ne suis rien qui vaille Enfant je t’ai
donné
ce que j’avais travaille
aussi et nul ne vit Comment mes baisers retrouvèrent Celle à qui j’ai
donné
ma vie Un jour pendant plus de deux heures. Je
fruits, je déteste les fleurs ; Je regrette chacun des baisers que je
donne
, Tel un noyer gaulé dit au vent ses douleurs. M
fruits, je déteste les fleurs, Je regrette chacun des baisers que je
donne
, Tel un noyer gaulé dit au vent ses douleurs. M
oiseau] Retenez son nom elle porte en elle des millions d’oiseaux qui
donnent
une couleur inconnue au ciel de la région où vive
ations Nous ne sommes que deux ou trois hommes libres de tous liens
Donnons
-nous la main Violente pluie qui peigne les fumé
ra, Un monsieur fort bien mis en coup de vent entra : « Vite, dit-il,
donnez
-moi de la vaseline ! » Le potard, empressé, deman
ra, Un monsieur fort bien mis en coup de vent entra : « Vite, dit-il,
donnez
-moi de la vaseline ! » Le potard, empressé, deman
toi Distribuant des prospectus On n’a jamais si bien défendu la vertu
Donnez
-moi pour toujours une chambre à la semaine Ange b
partout l’aventure Nous ne sommes pas vos ennemis Nous voulons vous
donner
de vastes et d’étranges domaines Où le mystère en
couleurs jamais vues Mille phantasmes impondérables Auxquels il faut
donner
de la réalité Nous voulons explorer la Bonté cont
c’est vous, La cause de l’impossible amour que j’avoue Et qui m’avez
donné
la force de le dire. Et cette lyre accorde et m
el est étoilé par les obus des Boches La forêt merveilleuse où je vis
donne
un bal La mitrailleuse joue un air à triples-croc
el est étoilé par les obus des Boches La forêt merveilleuse où je vis
donne
un bal La mitrailleuse joue un air à triples-croc
el est étoilé par les obus des Boches La forêt merveilleuse où je vis
donne
un bal La mitrailleuse joue un air à triples croc
comme des feuilles. Les acteurs inhumains, claires bêtes nouvelles,
Donnent
des ordres aux hommes apprivoisés O Déchirée que
re C’était un temps béni. Jours vagues et nuits vagues Les marmites
donnaient
aux rondins des cagnats Quelque alluminium où tu
re C’était un temps béni. Jours vagues et nuits vagues Les marmites
donnaient
aux rondins des cagnats Quelque aluminium où tu t
l est étoilé par les obus des boches, La forêt merveilleuse où je vis
donne
un bal, La mitrailleuse joue un air à triples cro
rre C’était un temps béni Jours vagues et nuits vagues Les marmites
donnaient
aux rondins des cagnats Quelque aluminium où tu t
ma probloque Je préférerais me couper le parfaitement que de les lui
donner
Je partirai à 20 h. 27 Six glaces s’y dévisagen
mbreux, en liberté. — Le soleil et les morts aux terres qu’on emblave
Donnent
la beauté blonde et la fécondité. — Puis quand
s essais picturaux de Léopold Survage. Les efforts qu’il a faits pour
donner
une vie à la nuance pure l’ont mis à même d’abord
aris Je ne sais pas mon âge Mais au recrutement On m’a
donné
vingt ans Je suis soldat français on m’a bla
aris Je ne sais pas mon âge Mais au recrutement On m’a
donné
vingt ans Je suis soldat français on m’a bla
comme des feuilles. Des acteurs inhumains, claires bêtes nouvelles,
Donnent
des ordres aux hommes apprivoisés O Déchirée que
Je le revis qui regardait un ours faire l’agile en s’enivrant Pour me
donner
un signe de la liberté. Je le revis, près d’un mo
comme des feuilles. Les acteurs inhumains, claires bêtes nouvelles,
Donnent
des ordres aux hommes apprivoisés,
ait fixé comme prix des tours Mais quand il fut clair que personne ne
donnerait
plus rien On se décida à commencer la séance De
xés comme le prix des tours. Mais, quand il fut clair que personne ne
donnerait
plus rien, On se décida à commencer la séance. De
ts en automne, Tu mesures combien d’empans J’ai droit que la terre me
donne
, O mon ombre, ô mon vieux serpent ! Au soleil,
s matelots Qui dansaient, le cou nu, au son d’un accordéon. J’ai tout
donné
au soleil, Tout, sauf mon ombre. Les dragues, l
s semblables à nos doigts Fabriquent du réel à tant par heure Nous te
donnons
tout cela Et Lyon répondit tandis que les anges
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