La Tortue Du Thrace magique, ô délire ! Mes doigts sûrs font sonner la lyre. Les animaux passent aux

ns la lumière                Jusqu’au faux pas pis qu’au trépas Des doigts d’ivoire mourir sur des tombes jaunies         

extase d’anges                claquants des dents          De loin un doigt levé                        Jamais              

laisir qu’un palais égyptien [cercle prolongé par un fil] Mesure du doigt      Le Sifflet des tranchées                Tu

laisir qu’un palais égyptien [cercle prolongé par un fil] Mesure du doigt      Le Sifflet des tranchées                  

la dame Que j’avais suivie pendant deux Bonnes heures à Amsterdam Mes doigts jeterent des baisers Mais le canal était désert

al à la nuque, les yeux fixes je vais m’arracher des peaux autour des doigts et si je saigne je me sucerai le doigt jusqu’à ce

arracher des peaux autour des doigts et si je saigne je me sucerai le doigt jusqu’à ce que l’obscurité étant complète je me l

e volonté Les maris voudraient agir l’outil n’a pas de manche Sur les doigts de cet homme on voit des tâches d’encre Les homme

de Longwy Haltères noirs et creuses qui ont pour tige un fleuve figé Doigts roulants une cigarette amère et délicieuse comme

ssa de jouer Et que l’organiste se cacha le visage dans les mains Aux doigts semblables aux descendants de son destin Fœtus mi

                   Partout Parlez avec les mains faites claquer vos doigts Tapez-vous sur la joue comme sur un tambour      

rne                La rue où nagent mes deux mains                Aux doigts subtils fouillant la ville                S’en va

e Longwy, Haltères noirs et creux qui ont pour tige un fleuve figé, Doigts roulant une cigarette amère et délicieuse comme l

ssa de jouer Et que l’organiste se cacha le visage dans les mains Aux doigts semblables aux descendants de son destin, Fœtus m

brils ou jeu de la grande oie. La mourre, jeu du nombre illusoire des doigts . Seigneur, faites, Seigneur, qu’un jour je m’énam

igneur, qu’un jour je m’énamoure. J’attends celle qui me tendra ses doigts menus. Combien de signes blancs aux ongles ? Les

. Mes kilomètres longs, mes tristesses plénières, Les squelettes de doigts terminant les sapins Ont égaré ma route et mes rê

rnée au ciel changeant… … Juin, ton soleil, ardente lyre, Brûle mes doigts endoloris. Triste et silencieux délire, J’erre à

les pâles amants joignant leurs mains démentes L’entrelaces de leurs doigts fut leur seul laps d’amour. Elle balla, mimant

nsées ô rivières Les oreilles des écoles et nos mains rapprochées Aux doigts allongés nos mains les clochers Et nous t’apporto

ctures fabriques mains Oui mains où les ouvriers nus semblables à nos doigts Fabriquent du réel à tant par heure Nous te donno