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1 (1917) A l’Italie (incipit : « Italie des temps passés de tous les temps ») « A l’Italie (incipit : « Italie des temps passés de tous les temps ») »
lles                     Tu te sublime                     Italie  o divine o française GUILLAUME APOLLINAIRE
2 (1914) L'Ignorance « L’Ignorance »
veux fixer ta flamme unique aveuglément Icare étant céleste est plus divin qu’Alcide Et son bûcher sera ton éblouissement P
d’espérance Mais ton amour soleil brûle divinement Mon corps qu’être divin voulut mon ignorance Et ciel Humains je tourne en
3 (1917) Ombre « Ombre »
e moi Mais vous ne m’entendez plus Vous ne connaîtrez plus les poèmes divins que je chante Tandis que moi je vous entends je v
4 (1909) Le Départ « Le Départ ») »
rebute Tendresse du Printemps qui me fait défaillir, Un vol d’oiseaux divins monte comme un soupir Dans le firmament clair de
5 (1913) Le Brasier - III « Le Brasier »
Nous attendons ton bon plaisir, ô mon amie, J’ose à peine regarder la divine mascarade — Quand bleuira sur l’horizon la Désira
6 (1904) Schinderhannes « Schinderhannes »
mpagnons, ma chère troupe D’ivrognes rauques, mes bandits Voici notre divine soupe, Le vin béni pour nous maudits. Et toi, J
7 (1907) Le Pyrée « Le Pyrée »
Nous attendons ton bon plaisir, ô mon amie. J’ose à peine regarder la divine mascarade — Quand bleuira sur l’horizon la Désira
8 (1912) Le Brasier « Le Brasier »
attendons ton bon plaisir, ô mon amie. ‒ J’ose à peine regarder la divine mascarade. ‒ Quand bleuira sur l’horizon la Dés
9 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
ciel nouveau avec la soie des prières Désaltère-toi Paris avec les divines paroles Que mes lèvres le Rhône et la Saône murmu
ation accouplements musiques éternelles Mouvements adorations douleur divine Mondes qui vous ressemblez et qui nous ressemblez
10 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
le capricorne — Mon âme et mon corps incertain — Te fuient, ô bûcher divin qu’ornent Des astres, des fleurs du matin ! Mal
11 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
x, les mots et les promesses. Malgré les autans bleus, je me dresse divin Comme un rayon de lune adoré par la mer. En vain,
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