veux fixer ta flamme unique aveuglément Icare étant céleste est plus
divin
qu’Alcide Et son bûcher sera ton éblouissement P
d’espérance Mais ton amour soleil brûle divinement Mon corps qu’être
divin
voulut mon ignorance Et ciel Humains je tourne en
e moi Mais vous ne m’entendez plus Vous ne connaîtrez plus les poèmes
divins
que je chante Tandis que moi je vous entends je v
rebute Tendresse du Printemps qui me fait défaillir, Un vol d’oiseaux
divins
monte comme un soupir Dans le firmament clair de
Nous attendons ton bon plaisir, ô mon amie, J’ose à peine regarder la
divine
mascarade — Quand bleuira sur l’horizon la Désira
mpagnons, ma chère troupe D’ivrognes rauques, mes bandits Voici notre
divine
soupe, Le vin béni pour nous maudits. Et toi, J
Nous attendons ton bon plaisir, ô mon amie. J’ose à peine regarder la
divine
mascarade — Quand bleuira sur l’horizon la Désira
attendons ton bon plaisir, ô mon amie. ‒ J’ose à peine regarder la
divine
mascarade. ‒ Quand bleuira sur l’horizon la Dés
ciel nouveau avec la soie des prières Désaltère-toi Paris avec les
divines
paroles Que mes lèvres le Rhône et la Saône murmu
ation accouplements musiques éternelles Mouvements adorations douleur
divine
Mondes qui vous ressemblez et qui nous ressemblez
le capricorne — Mon âme et mon corps incertain — Te fuient, ô bûcher
divin
qu’ornent Des astres, des fleurs du matin ! Mal
x, les mots et les promesses. Malgré les autans bleus, je me dresse
divin
Comme un rayon de lune adoré par la mer. En vain,