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1 (1901) Épousailles « Épousailles »
iques, Où le ciel serait grec si toutes étaient nues, Y pleure d’être dieu encore et inconnu, Ce dieu jaloux comme le sont l
ec si toutes étaient nues, Y pleure d’être dieu encore et inconnu, Ce dieu jaloux comme le sont les dieux uniques.
leure d’être dieu encore et inconnu, Ce dieu jaloux comme le sont les dieux uniques.
2 (1902) Élégie du voyageur aux pieds blessés « Élégie du voyageur aux pieds blessés »
u n’eus pas l’aumône D’un iris bleu, d’un iris jaune. Tu foules les dieux sous tes pas Au vert bâton que tu coupas Un dieu
ne. Tu foules les dieux sous tes pas Au vert bâton que tu coupas Un dieu meurt — tu ne le sais pas ! —  Ah ! marche l’ho
l’homme sans déesses Ni tutélaires ni traîtresses, Marche et tue les dieux quand ils naissent. Tue les dieux nés de nos cl
ni traîtresses, Marche et tue les dieux quand ils naissent. Tue les dieux nés de nos clairs yeux Et dans nos âmes ; le sang
clairs yeux Et dans nos âmes ; le sang pieux De tes pieds console les dieux . Les faunes roux et les satyres En te voyant fe
d des routes qui poudroient. Tout rouges de ton sang et froids, Les dieux narquois partout se meurent Et s’émeuvent les enc
3 (1914) L'Ignorance « L’Ignorance »
erbes crues Les oracles c’est vrai désapprouvaient ce zèle Mais nul dieu pour tout dire n’est intervenu Et pieux j’ai pein
in qu’Alcide Et son bûcher sera ton éblouissement Pâtres Je vois un dieu oblong flotter sous le soleil Puisse le premier d
tres Je vois un dieu oblong flotter sous le soleil Puisse le premier dieu visible s’en aller Et si c’était un dieu mourant
le soleil Puisse le premier dieu visible s’en aller Et si c’était un dieu mourant cette merveille Prions qu’il tombe ailleu
ignorance Et ciel Humains je tourne en l’éblouissement Bateliers Un dieu choît dans la mer un dieu nu les mains vides Au s
je tourne en l’éblouissement Bateliers Un dieu choît dans la mer un dieu nu les mains vides Au semblant des noyés il ira s
4 (1917) à Jean Thillois « à Jean Thillois »
es le mari sublime ingénieux Qui faisant des enfants nous suscite des dieux Mieux armés plus unis plus savants plus dociles P
5 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
[« Beaucoup de ces dieux ont péri »] Beaucoup de ces dieux ont péri ; C
[« Beaucoup de ces dieux ont péri »] Beaucoup de ces dieux ont péri ; C’est sur eux que pleurent les saules.
ô bûcher divin qu’ornent Des astres, des fleurs du matin ! Malheur, dieu pâle aux yeux d’ivoire, Tes prêtres fous t’ont-il
ré ? Tes victimes en robe noire Ont-elles vainement pleuré ? Malheur, dieu qu’il ne faut pas croire ! Et toi, qui me suis
il ne faut pas croire ! Et toi, qui me suis en rampant, Dieu de mes dieux morts en automne, Tu mesures combien d’empans J’a
6 (1909) Aubade chantée à Lætare un an passé « Aubade chantée à Lætare un an passé »
s Devant des sites ingénus Où sous les roses qui feuillolent De beaux dieux roses dansent nus. Viens, ma tendresse est la r
7 (1914) 1904 « 1904 »
erine rousse avait Mis sur sa tête un chapeau rose Comme Hébé que les dieux servait N’en eut jamais ô belles choses Carnaval
8 (1917) Le Pont « Le Pont »
ur le pont de leurs paroles La foule passe et repasse en dansant un dieu              tu reviendras                   
9 (1917) Ombre « Ombre »
re Ombre encre du soleil Ecriture de ma lumière Caisson de regrets Un dieu qui s’humilie GUILLAUME APOLLINAIRE
10 (1917) Chant d'amour « Chant d’amour »
s des amants illustres Les cris d’amour des mortelles violées par les dieux Les virilités des héros fabuleux érigées comme de
11 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
ifflais ta romance Et tes mille soleils ont vidé les caissons Que les dieux de mes yeux remplissent en silence          Nou
12 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
ifflais ta romance Et tes mille soleils ont vidé les caissons Que les dieux de mes yeux remplissent en silence          Nous
13 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
ifflais ta romance Et tes mille soleils ont vidé les caissons Que les dieux de mes yeux remplissent en silence Nous nous aimo
14 (1909) Les Sept Épées « Les Sept Épées »
t. La seconde, nommée Noubosse, Est un bel arc-en-ciel joyeux ; Les dieux s’en servent à leurs noces ; Elle a tué trente Bé
15 (1917) La Victoire « La Victoire »
a trahi des matelots sans nombre Engloutit mes grands cris comme des dieux noyés Et la mer au soleil ne supporte que l’ombre
t des oiseaux les ailes éployées La parole est soudaine et c’est un dieu qui tremble Avance et soutiens-moi je regrette le
16 (1914) Prophéties « Prophéties »
ien Diriks Miroir brisé sel renversé ou pain qui tombe Puissent ces dieux sans figure m’épargner toujours Au demeurant je n
17 (1913) Arbre « Arbre »
nt Le métal des caroubiers Tout est plus triste qu’autrefois Tous les dieux terrestres vieillissent L’univers se plaint par t
18 (1916) Arbre « Arbre »
nt Le métal des caroubiers Tout est plus triste qu’autrefois Tous les dieux terrestres vieillissent L’univers se plaint par t
19 (1917) Arbre « Arbre »
ant Le métal des caronhers Tout est plus triste qu’autrefois Tous les dieux terrestres vieillissent L’Univers se plaint part
20 (1917) Pablo Picasso « Pablo Picasso »
fond des   anges rangés Dans le couchant puis au bout de     l’an des dieux Regarde la tête géante et immense   la main verte
21 (1911) Cortège « Cortège »
tous les corps et les choses humaines. Temps passés, trépassés, les dieux qui me formâtes Je ne vis que passant ainsi que v
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