iques, Où le ciel serait grec si toutes étaient nues, Y pleure d’être
dieu
encore et inconnu, Ce dieu jaloux comme le sont l
ec si toutes étaient nues, Y pleure d’être dieu encore et inconnu, Ce
dieu
jaloux comme le sont les dieux uniques.
leure d’être dieu encore et inconnu, Ce dieu jaloux comme le sont les
dieux
uniques.
u n’eus pas l’aumône D’un iris bleu, d’un iris jaune. Tu foules les
dieux
sous tes pas Au vert bâton que tu coupas Un dieu
ne. Tu foules les dieux sous tes pas Au vert bâton que tu coupas Un
dieu
meurt — tu ne le sais pas ! — Ah ! marche l’ho
l’homme sans déesses Ni tutélaires ni traîtresses, Marche et tue les
dieux
quand ils naissent. Tue les dieux nés de nos cl
ni traîtresses, Marche et tue les dieux quand ils naissent. Tue les
dieux
nés de nos clairs yeux Et dans nos âmes ; le sang
clairs yeux Et dans nos âmes ; le sang pieux De tes pieds console les
dieux
. Les faunes roux et les satyres En te voyant fe
d des routes qui poudroient. Tout rouges de ton sang et froids, Les
dieux
narquois partout se meurent Et s’émeuvent les enc
erbes crues Les oracles c’est vrai désapprouvaient ce zèle Mais nul
dieu
pour tout dire n’est intervenu Et pieux j’ai pein
in qu’Alcide Et son bûcher sera ton éblouissement Pâtres Je vois un
dieu
oblong flotter sous le soleil Puisse le premier d
tres Je vois un dieu oblong flotter sous le soleil Puisse le premier
dieu
visible s’en aller Et si c’était un dieu mourant
le soleil Puisse le premier dieu visible s’en aller Et si c’était un
dieu
mourant cette merveille Prions qu’il tombe ailleu
ignorance Et ciel Humains je tourne en l’éblouissement Bateliers Un
dieu
choît dans la mer un dieu nu les mains vides Au s
je tourne en l’éblouissement Bateliers Un dieu choît dans la mer un
dieu
nu les mains vides Au semblant des noyés il ira s
es le mari sublime ingénieux Qui faisant des enfants nous suscite des
dieux
Mieux armés plus unis plus savants plus dociles P
[« Beaucoup de ces
dieux
ont péri »] Beaucoup de ces dieux ont péri ; C
[« Beaucoup de ces dieux ont péri »] Beaucoup de ces
dieux
ont péri ; C’est sur eux que pleurent les saules.
ô bûcher divin qu’ornent Des astres, des fleurs du matin ! Malheur,
dieu
pâle aux yeux d’ivoire, Tes prêtres fous t’ont-il
ré ? Tes victimes en robe noire Ont-elles vainement pleuré ? Malheur,
dieu
qu’il ne faut pas croire ! Et toi, qui me suis
il ne faut pas croire ! Et toi, qui me suis en rampant, Dieu de mes
dieux
morts en automne, Tu mesures combien d’empans J’a
s Devant des sites ingénus Où sous les roses qui feuillolent De beaux
dieux
roses dansent nus. Viens, ma tendresse est la r
erine rousse avait Mis sur sa tête un chapeau rose Comme Hébé que les
dieux
servait N’en eut jamais ô belles choses Carnaval
ur le pont de leurs paroles La foule passe et repasse en dansant un
dieu
tu reviendras
re Ombre encre du soleil Ecriture de ma lumière Caisson de regrets Un
dieu
qui s’humilie GUILLAUME APOLLINAIRE
s des amants illustres Les cris d’amour des mortelles violées par les
dieux
Les virilités des héros fabuleux érigées comme de
ifflais ta romance Et tes mille soleils ont vidé les caissons Que les
dieux
de mes yeux remplissent en silence Nou
ifflais ta romance Et tes mille soleils ont vidé les caissons Que les
dieux
de mes yeux remplissent en silence Nous
ifflais ta romance Et tes mille soleils ont vidé les caissons Que les
dieux
de mes yeux remplissent en silence Nous nous aimo
t. La seconde, nommée Noubosse, Est un bel arc-en-ciel joyeux ; Les
dieux
s’en servent à leurs noces ; Elle a tué trente Bé
a trahi des matelots sans nombre Engloutit mes grands cris comme des
dieux
noyés Et la mer au soleil ne supporte que l’ombre
t des oiseaux les ailes éployées La parole est soudaine et c’est un
dieu
qui tremble Avance et soutiens-moi je regrette le
ien Diriks Miroir brisé sel renversé ou pain qui tombe Puissent ces
dieux
sans figure m’épargner toujours Au demeurant je n
nt Le métal des caroubiers Tout est plus triste qu’autrefois Tous les
dieux
terrestres vieillissent L’univers se plaint par t
nt Le métal des caroubiers Tout est plus triste qu’autrefois Tous les
dieux
terrestres vieillissent L’univers se plaint par t
ant Le métal des caronhers Tout est plus triste qu’autrefois Tous les
dieux
terrestres vieillissent L’Univers se plaint part
fond des anges rangés Dans le couchant puis au bout de l’an des
dieux
Regarde la tête géante et immense la main verte
tous les corps et les choses humaines. Temps passés, trépassés, les
dieux
qui me formâtes Je ne vis que passant ainsi que v
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