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1 (1908) La Chenille « La Chenille »
esse, Pauvres poètes, travaillons ! La chenille en peinant sans cesse Devient le riche papillon.
2 (1917) Lou « Lou »
nt doux Mais aujourd’hui les temps sont pires Les loups sont tigres devenus Et les Soldats et les Empires Les Césars devenus
es loups sont tigres devenus Et les Soldats et les Empires Les Césars devenus Vampires Sont aussi cruels que Vénus J’en ai pr
3 (1917) [Calligramme (sphère)] « [Calligramme (sphère)] »
chapeau ce n’est pas un métier moderne il faut que les galettes mêmes deviennent modernes
4 (1913) Le Brasier - I « Le Brasier »
ais ce que tu veux. Le galop soudain des étoiles N’étant que ce qui deviendra Se mêle au hennissement mâle Des centaures dans l
t ces têtes que j’avais ? Où est le Dieu de ma jeunesse ? L’amour est devenu mauvais. Qu’au brasier les flammes renaissent ! M
5 (1914) Anvers « Anvers »
Toutes tes mains à la dérive Maigre comme un cou de vautour Maisons deviennent des lumières Des corps marchent sans intellect On
6 (1915) Visée « Visée »
e élucide Entends nager le Mot, poisson subtil Les villes tour à tour deviennent des clefs Le masque bleu comme met Dieu, son Ciel
7 (1915) Visée « Visée »
e élucide Entends nager le Mot, poisson subtil Les villes tour à tour deviennent des clefs Le masque bleu comme met Dieu, son Ciel
8 (1917) à Yeta Daesslé « à Yeta Daesslé »
petits moricauds Qui pullulaient au 2e acte de mon drame Grâce à vous deviendront de bons petits français Blancs et roses ainsi que
9 (1910) Les Jumeaux « Les Jumeaux »
             Ayant été souvent étreinte,                   Cette dame devint enceinte. Au bout d’un certain temps, l’un des ju
10 (1916) 4 heures « 4 heures »
le fait puis-qu’une fois boutonné tout bleu confondu dans le ciel je deviens invisible Guillaume Apollinaire.
11 (1907) [Poème sans titre (incipit : « Trente ans debout à la frontière »)] « Poème sans titre (incipit : « Trente ans debout à la frontière ») »
rrêtai le contrebandier. Je palpai la contrebandière : Puis, quand je devins brigadier, Un soir, dans le train de dix heures,
12 (1914) La Farce du Miroir « La Farce du Miroir »
re Et j’emportai grâce au miroir en m’en allant La première raison de devenir parjure Linda fut nonpareille avant mais aujour
13 (1907) Le Pyrée « Le Pyrée »
ais ce que tu veux. Le galop soudain des étoiles N’étant que ce qui deviendra . Se mêle au hennissement mâle Des centaures dans
t ces têtes que j’avais ? Où est le Dieu de ma jeunesse ? L’amour est devenu mauvais. Qu’au pyrée les flammes renaissent ! Mon
14 (1916) Le Désir « Désir »
Demain l’assaut Nuit violente ô nuit dont l’épouvantable cri profond devenait plus intense de minute en minute Nuit des hommes
15 (1917) Désir « Désir »
 Demain l’assaut Nuit violente ô nuit dont l’épouvantable cri profond devenait plus intense de minute en minute Nuit qui criait
16 (1912) Le Brasier « Le Brasier »
ais ce que tu veux. Le galop soudain des étoiles N’étant que ce qui deviendra Se mêle au hennissement mâle Des centaures dans l
t ces têtes que j’avais ? Où est le Dieu de ma jeunesse ? L’amour est devenu mauvais. Qu’au Brasier les flammes renaissent ! M
17 (1902) Élégie du voyageur aux pieds blessés « Élégie du voyageur aux pieds blessés »
ant avec de frais sanglots La naissance triste de l’eau. L’eau pure deviendra l’eau sale, La source enfante et pleure ou râle,
18 (1907) Lul de Faltenin « Lul de Faltenin »
avide. J’aime Vos yeux. Les degrés sont glissants. Au loin, que vous devenez naines. N’attirez plus aucun passant. * Dans l’
19 (1907) Fragment « Fragment »
avide. J’aime Vos yeux. Les degrés sont glissants. Au loin, que vous devenez naines, N’attirez plus aucun passant. Dans l’at
20 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
ur à tour ils mouraient silencieux et tristes Et trois fois courageux devenaient trismégistes Que Paris était beau à la fin de s
trismégistes Que Paris était beau à la fin de septembre Chaque nuit devenait une vigne où les pampres Répandaient leur clarté
e on rompt les hosties Ces très-hautes amours et leur danse orpheline Deviendront à Paris le vin pur que tu aimes Et un râle infi
s beau et que seul tu es noble Parce que c’est dans toi que Dieu peut devenir Et tous mes vignerons dans ces belles maisons Qui
21 (1917) [Page 1] « [Page 1] »
de pianos. Ne voulant pas qu’il fût peintre, il exigeait que son fils devint un industriel. Ce Rythme coloré auquel il consacr
22 (1901) Les Femmes « Les Femmes »
la vie est douce. » La nuit tombait. Les vignobles aux ceps tordus Devenaient dans l’obscurité des ossuaires. En neige et repli
23 (1902) La Loreley « La Loreley »
nacelle. Et mon amant s’y tient, il m’a vue, il m’appelle. Mon cœur devient si doux. C’est mon amant qui vient. — Elle se pen
24 (1917) Merveille de la guerre « Merveille de la guerre »
pothéose quotidienne de toutes mes Bérénices dont les chevelures sont devenues des comètes Ces danseuses surdorées appartiennent
25 (1916) Chant de l'horizon en Champagne « Chant de l’horizon en Champagne »
          Tandis que nous n’y sommes pas                Que de filles deviennent belles                Voici l’hiver et pas à pas
26 (1911) Poème lu au mariage d’André Salmon « Poème lu au mariage d’André Salmon »
es petits, et ne sachant pas encore rire. La table et les deux verres devinrent un mourant qui nous jeta le dernier regard d’Orph
27 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
Avec des mines de l’autre monde. Mais leur visage et leurs attitudes Devinrent bientôt moins funèbres. Le ciel et la terre perdi
t-il rien qui vous élève Comme d’avoir aimé un mort ou une morte ? On devient si pur qu’on en arrive Dans les glaciers de la mé
28 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
vec des mines de l’autre monde. Mais leur visage et leurs attitudes Devinrent bientôt moins funèbres. Le ciel et la terre perdi
t-il rien qui vous élève Comme d’avoir aimé un mort ou une morte ? On devient si pur qu’on en arrive Dans les glaciers de la mé
29 (1914) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
tre points cardinaux Et quand il marcha sur une boule Son corps mince devint une musique si délicate que nul parmi les spectat
30 (1917) La Victoire « La Victoire »
                        Mais qui sait si demain                La rue devenait immobile                Qui sait où serait mon ch
31 (1911) Cortège « Cortège »
s pour ce feu oblong dont l’intensité ira s’augmentant Au point qu’il deviendra un jour l’unique lumière. Un jour, Un jour je m
32 (1913) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
e points cardinaux, Et quand il marcha sur une boule, Son corps mince devint une musique si délicate que nul parmi les spectat
33 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
issant, « O mes cosaques Zaporogues « Votre Seigneur éblouissant. «  Devenez mes sujets fidèles », Leur avait écrit le Sultan.
34 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
livraison C’est là qu’entra le musicien Et sa musique qui s’éloignait devint langoureuse Et les femmes le suivirent dans la ma
35 (1911) Le Larron « Le Larron »
sentiment Puisque l’absolu choit la chute est une preuve Qui double devient triple avant d’avoir été Nous avouons que les gro
36 (1903) Le Larron « Le Larron »
ntiment. Puisque l’absolu choit, la chûte est une preuve Qui double devient triple avant d’avoir été. Nous avouons que les gr
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