nt doux Mais aujourd’hui les temps sont pires Les loups sont tigres
devenus
Et les Soldats et les Empires Les Césars devenus
es loups sont tigres devenus Et les Soldats et les Empires Les Césars
devenus
Vampires Sont aussi cruels que Vénus J’en ai pr
ais ce que tu veux. Le galop soudain des étoiles N’étant que ce qui
deviendra
Se mêle au hennissement mâle Des centaures dans l
t ces têtes que j’avais ? Où est le Dieu de ma jeunesse ? L’amour est
devenu
mauvais. Qu’au brasier les flammes renaissent ! M
Toutes tes mains à la dérive Maigre comme un cou de vautour Maisons
deviennent
des lumières Des corps marchent sans intellect On
e élucide Entends nager le Mot, poisson subtil Les villes tour à tour
deviennent
des clefs Le masque bleu comme met Dieu, son Ciel
e élucide Entends nager le Mot, poisson subtil Les villes tour à tour
deviennent
des clefs Le masque bleu comme met Dieu, son Ciel
petits moricauds Qui pullulaient au 2e acte de mon drame Grâce à vous
deviendront
de bons petits français Blancs et roses ainsi que
le fait puis-qu’une fois boutonné tout bleu confondu dans le ciel je
deviens
invisible Guillaume Apollinaire.
rrêtai le contrebandier. Je palpai la contrebandière : Puis, quand je
devins
brigadier, Un soir, dans le train de dix heures,
re Et j’emportai grâce au miroir en m’en allant La première raison de
devenir
parjure Linda fut nonpareille avant mais aujour
ais ce que tu veux. Le galop soudain des étoiles N’étant que ce qui
deviendra
. Se mêle au hennissement mâle Des centaures dans
t ces têtes que j’avais ? Où est le Dieu de ma jeunesse ? L’amour est
devenu
mauvais. Qu’au pyrée les flammes renaissent ! Mon
Demain l’assaut Nuit violente ô nuit dont l’épouvantable cri profond
devenait
plus intense de minute en minute Nuit des hommes
Demain l’assaut Nuit violente ô nuit dont l’épouvantable cri profond
devenait
plus intense de minute en minute Nuit qui criait
ais ce que tu veux. Le galop soudain des étoiles N’étant que ce qui
deviendra
Se mêle au hennissement mâle Des centaures dans l
t ces têtes que j’avais ? Où est le Dieu de ma jeunesse ? L’amour est
devenu
mauvais. Qu’au Brasier les flammes renaissent ! M
ant avec de frais sanglots La naissance triste de l’eau. L’eau pure
deviendra
l’eau sale, La source enfante et pleure ou râle,
avide. J’aime Vos yeux. Les degrés sont glissants. Au loin, que vous
devenez
naines. N’attirez plus aucun passant. * Dans l’
avide. J’aime Vos yeux. Les degrés sont glissants. Au loin, que vous
devenez
naines, N’attirez plus aucun passant. Dans l’at
ur à tour ils mouraient silencieux et tristes Et trois fois courageux
devenaient
trismégistes Que Paris était beau à la fin de s
trismégistes Que Paris était beau à la fin de septembre Chaque nuit
devenait
une vigne où les pampres Répandaient leur clarté
e on rompt les hosties Ces très-hautes amours et leur danse orpheline
Deviendront
à Paris le vin pur que tu aimes Et un râle infi
s beau et que seul tu es noble Parce que c’est dans toi que Dieu peut
devenir
Et tous mes vignerons dans ces belles maisons Qui
de pianos. Ne voulant pas qu’il fût peintre, il exigeait que son fils
devint
un industriel. Ce Rythme coloré auquel il consacr
la vie est douce. » La nuit tombait. Les vignobles aux ceps tordus
Devenaient
dans l’obscurité des ossuaires. En neige et repli
nacelle. Et mon amant s’y tient, il m’a vue, il m’appelle. Mon cœur
devient
si doux. C’est mon amant qui vient. — Elle se pen
pothéose quotidienne de toutes mes Bérénices dont les chevelures sont
devenues
des comètes Ces danseuses surdorées appartiennent
es petits, et ne sachant pas encore rire. La table et les deux verres
devinrent
un mourant qui nous jeta le dernier regard d’Orph
Avec des mines de l’autre monde. Mais leur visage et leurs attitudes
Devinrent
bientôt moins funèbres. Le ciel et la terre perdi
t-il rien qui vous élève Comme d’avoir aimé un mort ou une morte ? On
devient
si pur qu’on en arrive Dans les glaciers de la mé
vec des mines de l’autre monde. Mais leur visage et leurs attitudes
Devinrent
bientôt moins funèbres. Le ciel et la terre perdi
t-il rien qui vous élève Comme d’avoir aimé un mort ou une morte ? On
devient
si pur qu’on en arrive Dans les glaciers de la mé
tre points cardinaux Et quand il marcha sur une boule Son corps mince
devint
une musique si délicate que nul parmi les spectat
s pour ce feu oblong dont l’intensité ira s’augmentant Au point qu’il
deviendra
un jour l’unique lumière. Un jour, Un jour je m
e points cardinaux, Et quand il marcha sur une boule, Son corps mince
devint
une musique si délicate que nul parmi les spectat
issant, « O mes cosaques Zaporogues « Votre Seigneur éblouissant. «
Devenez
mes sujets fidèles », Leur avait écrit le Sultan.
livraison C’est là qu’entra le musicien Et sa musique qui s’éloignait
devint
langoureuse Et les femmes le suivirent dans la ma
sentiment Puisque l’absolu choit la chute est une preuve Qui double
devient
triple avant d’avoir été Nous avouons que les gro
ntiment. Puisque l’absolu choit, la chûte est une preuve Qui double
devient
triple avant d’avoir été. Nous avouons que les gr